Harper’s Bazaar: Que pensez-vous de la position de la France sur l’Iran?
H.Levey: le gouverne français est celui qui en fait le plus. Ce qui s’est passé à Paris en novembre dernier, est un événement majeur( Emmanuel Macron a reçu une délégation d’opposantes au régime, dont l’Irano-Américaine Masih Alinejad). Le chef de l’Etat, face à Masih Alinejad a repris la phrase du due de la Rechefoucauld à Louis XVI:”Ce n’est pas une révolte Sire, c’est une révolution. Il a ètè le premier à prononcer le mot révolution”.
G.Farahani: Je trouve aussi que la France est le pays que l’on entend le plus. Emmanuel Macron a beaucoup de courage. Je suis une enfant adoptive de la France. Quand je me suis exilée, ce pays m’a ouvert ses bras alors que beaucoup me tournaient le dos et me regardaient comme une personne coupable. Aujourd’hui, je suis en constante résistance. Personne ne peut m’arrêter.
Harper’s Bazaar: Bernard Henry Levy en 2009, vous lanciez un appel à soutenir le réalisateur Jaguar Panahi, emprisonné à Téhéran. Vous déclariez qu’il était la preuve vivante qu’en Iran, la flamme n’était pas morte et que l’esprit de la révolution démocratique continuer d’y vibrer. Il purge actuellement une peine de six ans de prison. Pensez vous que la flamme puisse s’éteindre un jour?
H: Levy: La flamme n’est jamais morte, c’est le miracle de l’humanité. Dans les périodes de ténèbres, lorsque l’on croit que les forces de la répression et de l’esclavage l’ont emporté, la flamme est toujours là. Quand je militais contre le totalitarisme soviétique, je me heurtais à des gens qui pensaient que le soviétisme avait gagné pour toujours et que l’Europe serait séparée en deux à jamais...
H.Levey: le gouverne français est celui qui en fait le plus. Ce qui s’est passé à Paris en novembre dernier, est un événement majeur( Emmanuel Macron a reçu une délégation d’opposantes au régime, dont l’Irano-Américaine Masih Alinejad). Le chef de l’Etat, face à Masih Alinejad a repris la phrase du due de la Rechefoucauld à Louis XVI:”Ce n’est pas une révolte Sire, c’est une révolution. Il a ètè le premier à prononcer le mot révolution”.
G.Farahani: Je trouve aussi que la France est le pays que l’on entend le plus. Emmanuel Macron a beaucoup de courage. Je suis une enfant adoptive de la France. Quand je me suis exilée, ce pays m’a ouvert ses bras alors que beaucoup me tournaient le dos et me regardaient comme une personne coupable. Aujourd’hui, je suis en constante résistance. Personne ne peut m’arrêter.
Harper’s Bazaar: Bernard Henry Levy en 2009, vous lanciez un appel à soutenir le réalisateur Jaguar Panahi, emprisonné à Téhéran. Vous déclariez qu’il était la preuve vivante qu’en Iran, la flamme n’était pas morte et que l’esprit de la révolution démocratique continuer d’y vibrer. Il purge actuellement une peine de six ans de prison. Pensez vous que la flamme puisse s’éteindre un jour?
H: Levy: La flamme n’est jamais morte, c’est le miracle de l’humanité. Dans les périodes de ténèbres, lorsque l’on croit que les forces de la répression et de l’esclavage l’ont emporté, la flamme est toujours là. Quand je militais contre le totalitarisme soviétique, je me heurtais à des gens qui pensaient que le soviétisme avait gagné pour toujours et que l’Europe serait séparée en deux à jamais...