Devant le prétoire, le prévenu, Mohamed Ndiaye, a battu en brèche les accusations portées sur sa personne. Selon lui, la drogue a été trouvée dans son scooter mais il ne sait pas comment elle y a été mise. « C’est vrai que le chanvre indien était dans mon scooter mais je ne sais pas celui qui l’y a mis. Ce n’est pas moi. Je n’ai jamais touché du chanvre indien », a-t-il déclaré pour se dédouaner. Ses arguments ont été jugés très légers par le représentant du ministère public qui, dans son réquisitoire, a fait savoir, d’après le journal, que le prévenu était bel et bien le détenteur du chanvre indien même s’il tente vaille que vaille à nier les faits qui lui sont reprochés. Aussi, le procureur a-t-il requis 2 ans de prison ferme à son encontre
Un réquisitoire que la défense a tenté de démonter. Les avocats du sieur Ndiaye ont soutenu que le tribunal n’a pas suffisamment d’éléments pour entrer en voie de condamnation. Ils estiment qu’il n’y a aucune preuve dans le dossier attestant la culpabilité de leur client. Ils ont, par conséquent, plaidé la relaxe au bénéfice du doute à titre principal. Subsidiairement, ils ont demandé l’application bienveillante de la loi indiquant que leur client est un délinquant primaire qui n’a jamais eu maille à partir avec la justice. L’affaire est mise en délibérée jusqu’au 13 juillet prochain.
Un réquisitoire que la défense a tenté de démonter. Les avocats du sieur Ndiaye ont soutenu que le tribunal n’a pas suffisamment d’éléments pour entrer en voie de condamnation. Ils estiment qu’il n’y a aucune preuve dans le dossier attestant la culpabilité de leur client. Ils ont, par conséquent, plaidé la relaxe au bénéfice du doute à titre principal. Subsidiairement, ils ont demandé l’application bienveillante de la loi indiquant que leur client est un délinquant primaire qui n’a jamais eu maille à partir avec la justice. L’affaire est mise en délibérée jusqu’au 13 juillet prochain.