Car conscient de cette gravité, première ligne, acteurs politiques, socioéconomiques et même religieux ont répondu, présent dans un élan de solidarité nationale, magnifié par tous ceux qui aiment le navire Sunugal.
En cette concertation directe qui marque à jamais l’histoire politique du Sénégal, des personnalités comme Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Malick Gackou, conscients de la gravité de l’heure ont rangé les lots discordes comme pour reprendre le slogan d’un grand acteur médiatique : « C’est le Sénégal qui nous intéresse !
Loin de reculer la pandémie de COVID-19 avec un élargissement des tests livrait des chiffres plus qu’alarmants. Cette situation vue d’ailleurs, les prévisions les plus pessimistes étaient déversées au-delà du Sénégal, sur le continent africain avec l’expansion de cette pandémie mondiale. Scientifiques, économistes et politiques n’ont cessé durant cette pandémie de lancer des alertes et même projections qui ont fait frémir plus.
Pourtant les pertes en vies humaines étaient énormes ailleurs, en attestent ces chiffres vue sur une chaine internationale d’information qui disaient que le pays du Roi Pelé, en 24 heures a enregistré plus de 400 000 nouveaux et plus de 1100 morts.
En cette concertation directe qui marque à jamais l’histoire politique du Sénégal, des personnalités comme Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Malick Gackou, conscients de la gravité de l’heure ont rangé les lots discordes comme pour reprendre le slogan d’un grand acteur médiatique : « C’est le Sénégal qui nous intéresse !
Loin de reculer la pandémie de COVID-19 avec un élargissement des tests livrait des chiffres plus qu’alarmants. Cette situation vue d’ailleurs, les prévisions les plus pessimistes étaient déversées au-delà du Sénégal, sur le continent africain avec l’expansion de cette pandémie mondiale. Scientifiques, économistes et politiques n’ont cessé durant cette pandémie de lancer des alertes et même projections qui ont fait frémir plus.
Pourtant les pertes en vies humaines étaient énormes ailleurs, en attestent ces chiffres vue sur une chaine internationale d’information qui disaient que le pays du Roi Pelé, en 24 heures a enregistré plus de 400 000 nouveaux et plus de 1100 morts.
« L’heure est grave ! » d’où la nécessité d’un gouvernement d'union nationale
L’espoir soulevé par les découvertes de Gaz et du Pétrole bute sur la réalité d’une récession des plus grosses entreprises mondiales, tous les secteurs économiques du pays à plus de 90% informels.
Mondialement connu comme le pays de la Téranga, des révoltes ont jalonné Sunugal poussant certains vers un départ subtil (Senghor), Diouf après des années de braise entre 1988 et 1999, Wade après une défaite mémorable entrainant la deuxième alternance politique du Sénégal
Mais le mérite du successeur de Senghor, Abdou Diouf, c’est d’avoir su décrypter le message de révolte des populations. Il a été l’artisan d’unité nationale ou gouvernement d'union nationale avec les principaux partis voire de la majorité des partis politiques.
Durant ces moments chauds qui ont paralysé plusieurs activités et même terni l’image du pays, connu pour être un de rigueur, comprenant que « L’heure est grave », comme en cette guerre contre l’ennemi mondial, il a eu la bonne vision d’appeler à la création d’un gouvernement d'unité nationale.
Revenons en arrière pour voir Abdoulaye Wade, farouche opposant, travaillant (même s’il était ministre d’Etat sans portefeuille) Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Ndoye de la LD/MPT.
Dans cet élan, même les chefs religieux sont de bons conseillers pour apaiser la tension sociale, même si les critiques fusent de partout. Car Abdoulaye Wade a été traité de « traitre », pourtant c’est lui qui succédera, deux mandats à l’appui à Diouf.
Le rêve d’un Sénégal émergent c’est aussi de voir Macky Sall travailler avec Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Malick Gackou, et pourquoi pas Karim Wade…
Gouvernement d’union nationale on en parle depuis que Dialogue national a été initié par le Capitaine du bateau, est presque aux oubliettes. Mais il devient une impérieuse nécessité car la crise de la Covid-19 est plus qu’une menace pour la stabilité socioéconomique que pays. En attestent les remous notés ces jours-ci, allant du foncier aux autres dossiers qui sont ressuscités.
Un navire qui tangue demande une réaction unifiée et urgente, le Capitaine ne peut pas seul faire face à la tempête, d’où la nécessité d’un autre élan unitaire.
Travailler avec quelqu’un pour son pays, ne saurait être aux ordres d’un chef, et une gestion sobre et transparente passe forcément par une cohésion et non un copinage.
Un gouvernement d’union nationale est aussi une opportunité de « Restaurer les valeurs » comme disait un défunt candidat à la présidentielle de 2012. Avec des slogans qui montrent que seul, l'essor du Sénégal, les interesse, il serait difficile de voir de vrais patriotes refuser de répondre à l'appel : "Aider à sauver Sunugal, notre navire ! "
Comme le disait une référence, le célèbre guide religieux, Mame Abdou " au sein d'un navire pris dans une tourmente, la prière pour une survie ne doit pas être individuelle, mais collective"
Nos acteurs politiques en commençant par le Capitaine du navire Sunugal doivent en prendre conscience. Car l’autre réalité est cette citation entendue quelque part : « Mon frère, n’est pas seulement Sénégalais celui qui est né ou naturalisé au Sénégal, mais celui qui aime ce pays ! »
Mondialement connu comme le pays de la Téranga, des révoltes ont jalonné Sunugal poussant certains vers un départ subtil (Senghor), Diouf après des années de braise entre 1988 et 1999, Wade après une défaite mémorable entrainant la deuxième alternance politique du Sénégal
Mais le mérite du successeur de Senghor, Abdou Diouf, c’est d’avoir su décrypter le message de révolte des populations. Il a été l’artisan d’unité nationale ou gouvernement d'union nationale avec les principaux partis voire de la majorité des partis politiques.
Durant ces moments chauds qui ont paralysé plusieurs activités et même terni l’image du pays, connu pour être un de rigueur, comprenant que « L’heure est grave », comme en cette guerre contre l’ennemi mondial, il a eu la bonne vision d’appeler à la création d’un gouvernement d'unité nationale.
Revenons en arrière pour voir Abdoulaye Wade, farouche opposant, travaillant (même s’il était ministre d’Etat sans portefeuille) Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Ndoye de la LD/MPT.
Dans cet élan, même les chefs religieux sont de bons conseillers pour apaiser la tension sociale, même si les critiques fusent de partout. Car Abdoulaye Wade a été traité de « traitre », pourtant c’est lui qui succédera, deux mandats à l’appui à Diouf.
Le rêve d’un Sénégal émergent c’est aussi de voir Macky Sall travailler avec Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Malick Gackou, et pourquoi pas Karim Wade…
Gouvernement d’union nationale on en parle depuis que Dialogue national a été initié par le Capitaine du bateau, est presque aux oubliettes. Mais il devient une impérieuse nécessité car la crise de la Covid-19 est plus qu’une menace pour la stabilité socioéconomique que pays. En attestent les remous notés ces jours-ci, allant du foncier aux autres dossiers qui sont ressuscités.
Un navire qui tangue demande une réaction unifiée et urgente, le Capitaine ne peut pas seul faire face à la tempête, d’où la nécessité d’un autre élan unitaire.
Travailler avec quelqu’un pour son pays, ne saurait être aux ordres d’un chef, et une gestion sobre et transparente passe forcément par une cohésion et non un copinage.
Un gouvernement d’union nationale est aussi une opportunité de « Restaurer les valeurs » comme disait un défunt candidat à la présidentielle de 2012. Avec des slogans qui montrent que seul, l'essor du Sénégal, les interesse, il serait difficile de voir de vrais patriotes refuser de répondre à l'appel : "Aider à sauver Sunugal, notre navire ! "
Comme le disait une référence, le célèbre guide religieux, Mame Abdou " au sein d'un navire pris dans une tourmente, la prière pour une survie ne doit pas être individuelle, mais collective"
Nos acteurs politiques en commençant par le Capitaine du navire Sunugal doivent en prendre conscience. Car l’autre réalité est cette citation entendue quelque part : « Mon frère, n’est pas seulement Sénégalais celui qui est né ou naturalisé au Sénégal, mais celui qui aime ce pays ! »
« L’heure est grave ! », une alerte plus économique que sanitaire !
Pendant des mois, le Coronavirus a poussé presque tous les pays du monde au confinement, avec l’arrêt de la majorité des activités économiques.
Là où les grandes puissances économiques à bout de souffle tirent la langue, quelle pensée doit-on avoir pour les pays en développement, voire même les plus pauvres ?
Avec tous les secteurs de l’économie mondiale à l’arrêt, même les pays les plus touchés se déconfinent. Dans les pays faibles où la majorité des populations vivent au jour, le jour, la révolte se faisait sentir et comme le virus semblait se propager.
A l’instar des autres pays d’Afrique et du monde, les projections Post COVID-19 sont plus qu’alarmantes. En cette tempête sanitaire et économique, tous les dirigeants du monde sont tiraillés entre Urgence, Priorités et Défis…
Ces révoltes que le capitaine du bateau Sunugal a décryptées très tôt, l’ont poussé à la levée de l’Etat d’urgence. Qualifiée par certains comme une reculade, elle rime pourtant avec une reprise certes timide des activités économiques, mais aussi à une impérieuse nécessité.
Leral.net
Là où les grandes puissances économiques à bout de souffle tirent la langue, quelle pensée doit-on avoir pour les pays en développement, voire même les plus pauvres ?
Avec tous les secteurs de l’économie mondiale à l’arrêt, même les pays les plus touchés se déconfinent. Dans les pays faibles où la majorité des populations vivent au jour, le jour, la révolte se faisait sentir et comme le virus semblait se propager.
A l’instar des autres pays d’Afrique et du monde, les projections Post COVID-19 sont plus qu’alarmantes. En cette tempête sanitaire et économique, tous les dirigeants du monde sont tiraillés entre Urgence, Priorités et Défis…
Ces révoltes que le capitaine du bateau Sunugal a décryptées très tôt, l’ont poussé à la levée de l’Etat d’urgence. Qualifiée par certains comme une reculade, elle rime pourtant avec une reprise certes timide des activités économiques, mais aussi à une impérieuse nécessité.
Leral.net