S’exprimant lors d’une visite de courtoisie dans la ’’capitale du Fouladou’’, M. Sall a rappelé que le poste de vice président de la République ’’n’existe pas dans l’architecture constitutionnelle du Sénégal".
Le leader de l’APR, qui doit se rendre dans la ville religieuse de Médina Gounasse, se veut catégorique : ’’Notre architecture constitutionnelle est très claire : il n’existe pas de poste de vice-président de la République. Et au moment où nous parlons, il n’ y a pas également ce poste.’’
Poursuivant son propos, il a ajouté : ’’Le président de la République a émis le vœu d’en créer un, il est libre de vouloir le faire, il a la liberté de la faire’’.
Pour autant, il n’en pense pas moins que le chef de l’Etat doit suivre un certain nombre de voies pour faire aboutir son projet.
’’(...) j’estime au moment où nous souhaitons qu’il ait un dialogue au plan politique, un poste aussi important devrait faire l’objet sinon d’un accord total avec la classe politique, du moins d’une concertation ou qu’on la soumette aux peuples souverain par un référendum parce qu’il faut aussi que le peuple décide de comment on va nous gouverner et où on veut nous amener’’.
De l’avis de l’ancien Premier ministre, ’’ce ne sont pas des questions qu’on confie à une assemblée qui a perdu sa crédibilité et qui est en cela décriée partout de par sa nature et sa composition’’.
’’Nous n’avons rien contre les personnes, ce n’est pas un débat de personnes, mais un débat de fond et de démocratie’’, a-t-il ajouté.
Pour Macky Sall, ’’le président est libre de vouloir modifier la Constitution’’, car ’’il a la capacité de saisir le parlement en toute légalité’’.
’’Mais, je pense que c’est un problème de légitimité qui se pose, et pour éviter des discussions sempiternelles, ce débat peut être engagé dans le cadre d’une concertation élargie avec les forces vives de la Nation, ou tout au moins il faut que cette loi soit soumise à un référendum. Et en ce moment seulement, le peuple sénégalais saura si la vice présidence est une préoccupation pour lui ou non puisse qu’en définitive, il a le dernier mot’’, a-t-il souligné.
Evoquant les dernières locales, le leader de l’APR Yakaar a dressé un bilan positif de la participation de sa formation politique.
aps
Le leader de l’APR, qui doit se rendre dans la ville religieuse de Médina Gounasse, se veut catégorique : ’’Notre architecture constitutionnelle est très claire : il n’existe pas de poste de vice-président de la République. Et au moment où nous parlons, il n’ y a pas également ce poste.’’
Poursuivant son propos, il a ajouté : ’’Le président de la République a émis le vœu d’en créer un, il est libre de vouloir le faire, il a la liberté de la faire’’.
Pour autant, il n’en pense pas moins que le chef de l’Etat doit suivre un certain nombre de voies pour faire aboutir son projet.
’’(...) j’estime au moment où nous souhaitons qu’il ait un dialogue au plan politique, un poste aussi important devrait faire l’objet sinon d’un accord total avec la classe politique, du moins d’une concertation ou qu’on la soumette aux peuples souverain par un référendum parce qu’il faut aussi que le peuple décide de comment on va nous gouverner et où on veut nous amener’’.
De l’avis de l’ancien Premier ministre, ’’ce ne sont pas des questions qu’on confie à une assemblée qui a perdu sa crédibilité et qui est en cela décriée partout de par sa nature et sa composition’’.
’’Nous n’avons rien contre les personnes, ce n’est pas un débat de personnes, mais un débat de fond et de démocratie’’, a-t-il ajouté.
Pour Macky Sall, ’’le président est libre de vouloir modifier la Constitution’’, car ’’il a la capacité de saisir le parlement en toute légalité’’.
’’Mais, je pense que c’est un problème de légitimité qui se pose, et pour éviter des discussions sempiternelles, ce débat peut être engagé dans le cadre d’une concertation élargie avec les forces vives de la Nation, ou tout au moins il faut que cette loi soit soumise à un référendum. Et en ce moment seulement, le peuple sénégalais saura si la vice présidence est une préoccupation pour lui ou non puisse qu’en définitive, il a le dernier mot’’, a-t-il souligné.
Evoquant les dernières locales, le leader de l’APR Yakaar a dressé un bilan positif de la participation de sa formation politique.
aps