Sangalkam, voilà que t’endeuillent ces faux frères
Qui entendent traiter tes fils comme de pauvres hères
Voleurs, ils veulent te chaparder, par deux fois, la volonté populaire
Clame ton refus comme l’ancêtre Lat Dior du Kadjoor
N’accepte jamais qu’on te mette le mors
Car, tu n’as pas tort !
Sangalkam, paradis terrestre ( Mach’ Allah !) qui aiguises tant d’appétits
A l’endroit de ces rapaces, ces félons trop petits
Que de plans abjects, ils ont nourri !
Mais, Oumar a dit un non !
A l’image de son homonyme Seydina, l’histoire retiendra à jamais son nom
Son mentor Idrissa, il restait toujours fidèle, même au fond de sa prison
Sangalkam, tu continues de pleurer à chaudes larmes Malick
Sauvagement fauché par les balles des loustics
Enivrés par l’odeur foncière qu’ils s’apprêtent à muer en frics
Le sang arrose le sol, le beau sol de ce village Rebelle
Œuvre de ce régime wadiste-fasciste-affairiste, il endure des veillées de fiel
Du courage, tu souriras bientôt avec des dents plus belles
Malick est parti sur la pointe des pieds, te laissant dans la tristesse
Martyr, il sera accueilli au jardin des Bienheureux avec des liesses
Il va y récolter des fruits dignes des plus téméraires Soldats d’Allah et, à l’abri de toute attitude vengeresse
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste-Ecrivain
Tel : 77 728 40 52
E-mail :yboupenda@yahoo.fr
Qui entendent traiter tes fils comme de pauvres hères
Voleurs, ils veulent te chaparder, par deux fois, la volonté populaire
Clame ton refus comme l’ancêtre Lat Dior du Kadjoor
N’accepte jamais qu’on te mette le mors
Car, tu n’as pas tort !
Sangalkam, paradis terrestre ( Mach’ Allah !) qui aiguises tant d’appétits
A l’endroit de ces rapaces, ces félons trop petits
Que de plans abjects, ils ont nourri !
Mais, Oumar a dit un non !
A l’image de son homonyme Seydina, l’histoire retiendra à jamais son nom
Son mentor Idrissa, il restait toujours fidèle, même au fond de sa prison
Sangalkam, tu continues de pleurer à chaudes larmes Malick
Sauvagement fauché par les balles des loustics
Enivrés par l’odeur foncière qu’ils s’apprêtent à muer en frics
Le sang arrose le sol, le beau sol de ce village Rebelle
Œuvre de ce régime wadiste-fasciste-affairiste, il endure des veillées de fiel
Du courage, tu souriras bientôt avec des dents plus belles
Malick est parti sur la pointe des pieds, te laissant dans la tristesse
Martyr, il sera accueilli au jardin des Bienheureux avec des liesses
Il va y récolter des fruits dignes des plus téméraires Soldats d’Allah et, à l’abri de toute attitude vengeresse
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste-Ecrivain
Tel : 77 728 40 52
E-mail :yboupenda@yahoo.fr