Le verdict des urnes est sans appel. Le leadership de l’ex-maire de Thiès dans sa ville est incontestable. Malgré sa défaite dans les neuf communautés rurales et trois communes rurales de Pout, Kayar et Khombole, Idrissa Seck et sa coalition viennent en tête du département grâce aux seules voix qu’ils ont engrangées dans la cité du rail. Une ville dans laquelle l’ancien Premier ministre a eu à faire face à de puissants adversaires dont l’actuel chef du gouvernement, le ministre de l’Education, ceux du Commerce et de la Santé, des parlementaires et des présidents de conseil d’administration. Toute une armada appuyée par des moyens logistiques et financiers immenses avec comme objectif premier de déboulonner Idrissa Seck qui avait déjà fait l’objet d’une tentative de fragilisation avec la dissolution du conseil municipal qu’il dirigeait. L’argument de ses adversaires politiques ayant été, à l’époque, qu’il (Idrissa seck) s’appuyait sur les moyens que lui conférait sa posture de maire pour combattre le Pds.
De sources dignes de foi, le parti au pouvoir, dans sa volonté de déboulonner celui qui, en 2007, lors de la présidentielle, avait administré une cinglante raclée à son secrétaire général, aurait injecté dans la ville de Thiès la rondelette somme d’un demi-milliard de nos francs. Ces 500 millions de francs Cfa étant destinés à renforcer sa coalition, Sopi 2009. Cette dernière information relative à cette enveloppe financière sera toutefois battue en brèche par les Sopistes. En effet, le député Abdoulaye Dramé, tête de liste majoritaire de la coalition Sopi 2009 dans la commune d’arrondissement Est, joint par téléphone, dégagera en touche. A l’en croire, c’est faire dans le ridicule que de croire que le Pds peut se permettre d’injecter une aussi importante somme d’argent dans la seule ville de Thiès rien que pour déboulonner un homme. Aussi fera-t-il savoir qu’ils n’ont reçu du parti que ce que les autres ont reçu. C'est-à-dire, une première tranche de 4 millions de francs suivie d’une seconde de 2 millions. Pour dire qu’en tout et pour tout, la coalition Sopi 2009 à Thiès n’a reçu que 6 millions de francs. Toutefois, précisera-t-il, il n’en demeure pas moins que des responsables comme Hadjibou Soumaré, le professeur Moustapha Sourang, Ablaye Diop entre autres responsables, ont eu à appuyer financièrement la coalition dans sa campagne électorale.
En tout état de cause, il demeure que seul face aux puissantes machines électorales que sont celles de Sopi 2009 et de Benno Siggil Senegaal, l’ex-maire de Thiès a su démontrer qu’il reste encore le maître incontesté de la cité du rail. Puisqu’en plus des trois communes d’arrondissement qu’il vient de remporter haut la main, il se positionne, à défaut d’être roi, en faiseur de rois pour le contrôle de la région.
source walfadri
De sources dignes de foi, le parti au pouvoir, dans sa volonté de déboulonner celui qui, en 2007, lors de la présidentielle, avait administré une cinglante raclée à son secrétaire général, aurait injecté dans la ville de Thiès la rondelette somme d’un demi-milliard de nos francs. Ces 500 millions de francs Cfa étant destinés à renforcer sa coalition, Sopi 2009. Cette dernière information relative à cette enveloppe financière sera toutefois battue en brèche par les Sopistes. En effet, le député Abdoulaye Dramé, tête de liste majoritaire de la coalition Sopi 2009 dans la commune d’arrondissement Est, joint par téléphone, dégagera en touche. A l’en croire, c’est faire dans le ridicule que de croire que le Pds peut se permettre d’injecter une aussi importante somme d’argent dans la seule ville de Thiès rien que pour déboulonner un homme. Aussi fera-t-il savoir qu’ils n’ont reçu du parti que ce que les autres ont reçu. C'est-à-dire, une première tranche de 4 millions de francs suivie d’une seconde de 2 millions. Pour dire qu’en tout et pour tout, la coalition Sopi 2009 à Thiès n’a reçu que 6 millions de francs. Toutefois, précisera-t-il, il n’en demeure pas moins que des responsables comme Hadjibou Soumaré, le professeur Moustapha Sourang, Ablaye Diop entre autres responsables, ont eu à appuyer financièrement la coalition dans sa campagne électorale.
En tout état de cause, il demeure que seul face aux puissantes machines électorales que sont celles de Sopi 2009 et de Benno Siggil Senegaal, l’ex-maire de Thiès a su démontrer qu’il reste encore le maître incontesté de la cité du rail. Puisqu’en plus des trois communes d’arrondissement qu’il vient de remporter haut la main, il se positionne, à défaut d’être roi, en faiseur de rois pour le contrôle de la région.
source walfadri