Les enjeux sont énormes et multiples. Le pays sera en 2023, producteur de pétrole et de gaz, avec une prévision de croissance à deux chiffres qui risque de ne pas profiter au peuple. « À la tête du Sénégal, Macky Sall, un homme sans foi ni loi, est le premier pourfendeur de notre constitution. Un homme qui n’a aucun respect ni pour son peuple ni pour sa parole. Après avoir profité de nos luttes contre le 3e mandat pour arriver au pouvoir, il termine un premier mandat vicié de 7 ans, puis il usurpe un mandat illégitime de 5 ans », fustigent les ressortissants sénégalais de France.
Ainsi, ils précisent qu’aujourd’hui, Macky Sall tente d’imposer une 3e candidature illégale, avec du « wax waxet » comme principe de règne, au moyens de la corruption et de la prédation des ressources publiques. « Le peuple sénégalais malmené, désabusé, trahi par ses élites, qui aspire pourtant à retrouver sa dignité, et surtout, à refaire confiance à ses institutions républicaines, doit-il le laisser arriver à ses fins ? Doit-on ignorer ces aspirations légitimes ? Jusqu’en 2016, notre pays était perçu comme une vitrine de la Démocratie respectée et citée en exemple en Afrique de l’Ouest. Une démocratie que nous avons reçu en héritage de nos pères fondateurs. Devrions-nous la laisser sombrer entre les mains d’un apprenti dictateur ?, s’interroge-t-on.
D’après eux, le devoir des citoyens face à l’Histoire, est sans équivoque. « Nous devons sauver notre Démocratie. Nous devons transmettre cet héritage à nos enfants. Dans l’histoire politique de notre pays, des femmes et des hommes ont su relever ce défi face au péril de notre démocratie. Rappelons-nous en 1999, face à l’hégémonie du pouvoir socialiste du Président Abdou Diouf, ce sont des leaders de parti de gauche qui sont allés chercher le leader d’un parti libéral, pour mettre en place la coalition électorale qui nous donnera la 1ère alternance. Rappelons-nous encore en 2008, c’est à l’initiative de divers courants politiques, d’acteurs des organisations de la société civile et d’autres personnalités civiles, que seront initiées les assises nationales, qui furent le point de départ de la lutte contre le 3e mandat », rappellent ces ressortissants.
La convergence de ces luttes, insistent-ils, a conduit à l’aboutissement de la 2e alternance. Et aujourd’hui aussi, l’Histoire bégaie à nouveau. A l’issue des élections locales de janvier 2022, les résultats montrent clairement que ce régime est désormais minoritaire au sein de l’électorat de ce pays. Ils indiquent qu’il est temps de le rendre aussi minoritaire dans les institutions. Et consolider ainsi le capital social.
« Nous avons en face de nous, un monstre qui ne reculera devant rien pour consolider son pouvoir et sa mainmise sur ce pays. Chers leaders de l’opposition, le peuple vous regarde, le peuple vous écoute. C’est le moment de se rassembler et de faire face à ces kleptocrates. Aucun sacrifice ne doit être de trop. Faisons preuve de dépassement et de générosité et posons ici et maintenant, le 1er jalon d’une 3e Alternance. Pour ces élections législatives, mettons en place une liste commune pour le peuple. La liste des patriotes qui fera face à celle des godillots, des voleurs de BBY », invitent-ils.
Sous ce registre, ils appellent les leaders de l’opposition engagés dans tous les combats des forces vives depuis 2012, à œuvrer pour imposer la cohabitation dans l’hémicycle à ce régime. « Oui, c’est à vous Chers leaders de faire preuve de grandeur historique, en ne présentant qu’une seule liste de l’opposition face à BBY. Oui, c’est tous ensemble que nous devons fermer cette parenthèse décennale d’une gouvernance sombre et vicieuse, en mettant nos intérêts partisans de côté », conclut-on.
Ainsi, ils précisent qu’aujourd’hui, Macky Sall tente d’imposer une 3e candidature illégale, avec du « wax waxet » comme principe de règne, au moyens de la corruption et de la prédation des ressources publiques. « Le peuple sénégalais malmené, désabusé, trahi par ses élites, qui aspire pourtant à retrouver sa dignité, et surtout, à refaire confiance à ses institutions républicaines, doit-il le laisser arriver à ses fins ? Doit-on ignorer ces aspirations légitimes ? Jusqu’en 2016, notre pays était perçu comme une vitrine de la Démocratie respectée et citée en exemple en Afrique de l’Ouest. Une démocratie que nous avons reçu en héritage de nos pères fondateurs. Devrions-nous la laisser sombrer entre les mains d’un apprenti dictateur ?, s’interroge-t-on.
D’après eux, le devoir des citoyens face à l’Histoire, est sans équivoque. « Nous devons sauver notre Démocratie. Nous devons transmettre cet héritage à nos enfants. Dans l’histoire politique de notre pays, des femmes et des hommes ont su relever ce défi face au péril de notre démocratie. Rappelons-nous en 1999, face à l’hégémonie du pouvoir socialiste du Président Abdou Diouf, ce sont des leaders de parti de gauche qui sont allés chercher le leader d’un parti libéral, pour mettre en place la coalition électorale qui nous donnera la 1ère alternance. Rappelons-nous encore en 2008, c’est à l’initiative de divers courants politiques, d’acteurs des organisations de la société civile et d’autres personnalités civiles, que seront initiées les assises nationales, qui furent le point de départ de la lutte contre le 3e mandat », rappellent ces ressortissants.
La convergence de ces luttes, insistent-ils, a conduit à l’aboutissement de la 2e alternance. Et aujourd’hui aussi, l’Histoire bégaie à nouveau. A l’issue des élections locales de janvier 2022, les résultats montrent clairement que ce régime est désormais minoritaire au sein de l’électorat de ce pays. Ils indiquent qu’il est temps de le rendre aussi minoritaire dans les institutions. Et consolider ainsi le capital social.
« Nous avons en face de nous, un monstre qui ne reculera devant rien pour consolider son pouvoir et sa mainmise sur ce pays. Chers leaders de l’opposition, le peuple vous regarde, le peuple vous écoute. C’est le moment de se rassembler et de faire face à ces kleptocrates. Aucun sacrifice ne doit être de trop. Faisons preuve de dépassement et de générosité et posons ici et maintenant, le 1er jalon d’une 3e Alternance. Pour ces élections législatives, mettons en place une liste commune pour le peuple. La liste des patriotes qui fera face à celle des godillots, des voleurs de BBY », invitent-ils.
Sous ce registre, ils appellent les leaders de l’opposition engagés dans tous les combats des forces vives depuis 2012, à œuvrer pour imposer la cohabitation dans l’hémicycle à ce régime. « Oui, c’est à vous Chers leaders de faire preuve de grandeur historique, en ne présentant qu’une seule liste de l’opposition face à BBY. Oui, c’est tous ensemble que nous devons fermer cette parenthèse décennale d’une gouvernance sombre et vicieuse, en mettant nos intérêts partisans de côté », conclut-on.