Le parti de Me Wade est mal en point en Côte d’Ivoire. Les compatriotes accusent le Pds de non assistance à personne en danger. «Car, au pire de la situation de conflit politique entre Gbagbo et Ouattara, les libéraux qui sont au pouvoir au Sénégal, ne sont pas venus à notre secours, à l’image de certains pays africains à l’endroit de leurs ressortissants, même si l’arrivée du ministre des Affaires Etrangères nous a été signalée», se désole Ousmane Dioum, ancien secrétaire général de l’Ujtl de Côte d’Ivoire, en séjour au Sénégal.
Selon toujours, le libéral, «cette situation, ajoutée aux promesses non tenues des tenants du pouvoir, notamment, l’amélioration des conditions de séjours et l’octroi de terrains au Sénégal aux femmes libérales, a fini de frustrer plus d’un militant libéral de Côte d’Ivoire».
Aussi, à quelques encablures de la Présidentielle, Ousmane Dioum déplore-t-il, qu’au moment où joindre les deux bouts est la croix et la bannière au Sénégal, des responsables libéraux débarquent à Abidjan avec des centaines de millions de F CFA pour débaucher des militants de l’opposition ou dissuader les libéraux à voter pour Me Wade en 2012.
A en croire Ablaye Bâ et Ablaye Sow, tous responsables de l’Afp en Côte d’Ivoire avec qui Rewmi Quotidien est entré en contact téléphonique, hier: «des responsables libéraux sont venus avec une somme estimée à près de 150 millions de F Cfa pour débaucher des militants de Bennoo, mais, nous les avons rejetés, même s’ils comptent revenir fin novembre. Nous restons camper sur notre décision car, depuis des années, comme nos responsables restés au Sénégal, nous voulons faire partir Me Wade qui a, non seulement, trahi nos leaders qui ont contribué à son arrivée au pouvoir, mais surtout, son régime a été à l’origine de tous nos déboires en Côte d’Ivoire, notamment, lors du magistère de Laurent Gbagbo».
Hormis cette question de débauchage à coups de millions, l’organisation des élections en Côte d’Ivoire préoccupe les compatriotes. Car, de l’avis du représentant de l’Afp, Aliou Mané, chargé des élections est contesté. «Nous doutons de sa neutralité, en tant que libéral convaincu. Dans le souci d’avoir des élections apaisées, au sein de la communauté Sénégalaises de Côté d’Ivoire, nous exigeons des autorités Sénégalaises, le choix d’une personne neutre, chargée de la question électorale», a-t-il déclaré.
rewmi.com
Selon toujours, le libéral, «cette situation, ajoutée aux promesses non tenues des tenants du pouvoir, notamment, l’amélioration des conditions de séjours et l’octroi de terrains au Sénégal aux femmes libérales, a fini de frustrer plus d’un militant libéral de Côte d’Ivoire».
Aussi, à quelques encablures de la Présidentielle, Ousmane Dioum déplore-t-il, qu’au moment où joindre les deux bouts est la croix et la bannière au Sénégal, des responsables libéraux débarquent à Abidjan avec des centaines de millions de F CFA pour débaucher des militants de l’opposition ou dissuader les libéraux à voter pour Me Wade en 2012.
A en croire Ablaye Bâ et Ablaye Sow, tous responsables de l’Afp en Côte d’Ivoire avec qui Rewmi Quotidien est entré en contact téléphonique, hier: «des responsables libéraux sont venus avec une somme estimée à près de 150 millions de F Cfa pour débaucher des militants de Bennoo, mais, nous les avons rejetés, même s’ils comptent revenir fin novembre. Nous restons camper sur notre décision car, depuis des années, comme nos responsables restés au Sénégal, nous voulons faire partir Me Wade qui a, non seulement, trahi nos leaders qui ont contribué à son arrivée au pouvoir, mais surtout, son régime a été à l’origine de tous nos déboires en Côte d’Ivoire, notamment, lors du magistère de Laurent Gbagbo».
Hormis cette question de débauchage à coups de millions, l’organisation des élections en Côte d’Ivoire préoccupe les compatriotes. Car, de l’avis du représentant de l’Afp, Aliou Mané, chargé des élections est contesté. «Nous doutons de sa neutralité, en tant que libéral convaincu. Dans le souci d’avoir des élections apaisées, au sein de la communauté Sénégalaises de Côté d’Ivoire, nous exigeons des autorités Sénégalaises, le choix d’une personne neutre, chargée de la question électorale», a-t-il déclaré.
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