Incapable de redonner vie au secteur énergétique, avec à la clé la fin ou la baisse des délestages, le ministre Karim Wade est mis sous pression. Il est appelé à réagir d’urgence pour régler définitivement la crise du sous-secteur de l’énergie, afin de soulager les populations, les travailleurs et l’économie nationale. Les pressions sont davantage plus fortes car les travailleurs de la sous-section demandent à l’Etat de procéder à la réhabilitation et à la fiabilisation des installations de la Senelec (production, distribution, transport etc.…) de régler définitivement les problèmes d’approvisionnement en combustible en assurant la quantité et la qualité.
Poursuivant, la coordination exige que soient tenus en compte, pour les futures nominations, les critères de compétence, de patriotisme et d’expérience dans l’Entreprise. Le directeur général n’est pas en reste, car la coordination lui demande de régler les questions revendicatives, notamment le reliquat de la prime commerciale, celle du service médical, des chefs de poste du transport, la prime annuelle de production et l’élargissement de la prime aux autres agents de la Senelec.
Bakary NDIAYE, leral.net
Poursuivant, la coordination exige que soient tenus en compte, pour les futures nominations, les critères de compétence, de patriotisme et d’expérience dans l’Entreprise. Le directeur général n’est pas en reste, car la coordination lui demande de régler les questions revendicatives, notamment le reliquat de la prime commerciale, celle du service médical, des chefs de poste du transport, la prime annuelle de production et l’élargissement de la prime aux autres agents de la Senelec.
Bakary NDIAYE, leral.net