La Coordination des Etudiants de Saint-Louis s'insurge contre le manque de volonté de leurs autorités à diligenter cette vieille doléance ainsi que leur incapacité à faire bouger les choses. "Au lieu de chercher à satisfaire cette revendication, la Direction du CROUS préfère mettre en mal la CESL avec sa base, en allant jusqu’à remettre en cause la nature et la cohérence de son décret", a regretté Ousmane Guèye, président de séance de la CESL. Il a tenu à rappeler que l’entreprise en charge des travaux a quitté le campus le 5 février passé et depuis lors, elle a tapé à toutes les portes pour savoir l’origine de cet arrêt systématique des travaux.
"Cependant, a-t-il précisé, il a fallu un décret de 48 heures de JST non renouvelables en guise d’alerte, pour que l’autorité réagisse. Ce qui a donné les rencontres du 7 et 10 mars entre la CESL et les représentants du Recteur, de l’Ageroute, de l’entreprise chargée des travaux et de la direction du CROUS." Les exigences des étudiants étaient axées sur la reprise des travaux de la voirie interne et la mise en place d'un comité de suivi. La CESL a tenu également à rappeler qu’elle a d’autres questions aussi capitales que celles-là, qui sont dans le protocole d’accord.
D'après le site ndarinfo, il s'agit de la question des bâtiments pédagogiques et celle des logements sociaux, qui restent toujours préoccupantes. Sans oublier la question de l’eau relatée dans le communiqué du CROUS, qui demeure toujours un calvaire pour l’étudiant sanarois. Toutefois, la CESL a demandé à l’État de Sénégal, par le biais de son ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et du Désenclavement, de prendre cette question de la voirie interne au sérieux, avant que la situation ne dégénère.
"Cependant, a-t-il précisé, il a fallu un décret de 48 heures de JST non renouvelables en guise d’alerte, pour que l’autorité réagisse. Ce qui a donné les rencontres du 7 et 10 mars entre la CESL et les représentants du Recteur, de l’Ageroute, de l’entreprise chargée des travaux et de la direction du CROUS." Les exigences des étudiants étaient axées sur la reprise des travaux de la voirie interne et la mise en place d'un comité de suivi. La CESL a tenu également à rappeler qu’elle a d’autres questions aussi capitales que celles-là, qui sont dans le protocole d’accord.
D'après le site ndarinfo, il s'agit de la question des bâtiments pédagogiques et celle des logements sociaux, qui restent toujours préoccupantes. Sans oublier la question de l’eau relatée dans le communiqué du CROUS, qui demeure toujours un calvaire pour l’étudiant sanarois. Toutefois, la CESL a demandé à l’État de Sénégal, par le biais de son ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et du Désenclavement, de prendre cette question de la voirie interne au sérieux, avant que la situation ne dégénère.