« Khalifa Sall et Karim Wade ne sont pas des cas qui ont fait l’objet de débat pour obtenir des consensus. Ces cas dépassent la commission politique, mais nous en avons discuté évidemment et des points de vue ont été exprimés, mais puisque ce n’était l’objet d’aucun point sur les termes de référence, ce sont des situations politiques qui sont là que l’État va gérer et il n’appartient pas à la commission politique de dicter à la justice sa décision ou sa manière de faire », a confié l’avocat à Dakaractu.
« La commission politique n’a pas de point de vue consensuel sur la question. C’est maintenant au président de la République en cas de désaccord au niveau de la commission politique, de tracer la question par son arbitrage, puisque toutes les parties lui vouent confiance pour qu’en cas de désaccord, il arbitre », a ajouté Me Ousmane Sèye, membre de la commission du Dialogue politique.
Par ailleurs, l’avocat se félicite de l’engagement de tous les acteurs de la scène politique, tout comme de la société civile, à débattre et trouver des points consensuels par rapport au bon fonctionnement du pays ainsi que son processus électoral.
« La commission politique a travaillé pendant deux années et a abouti au maximum de consensus possible. La majorité présidentielle, l’opposition et la société civile ont fait preuve de concessions mutuelles pour aboutir au consensus et il faut s’en féliciter.
Et je pense que ce qu’il nous faut aujourd’hui dans ce pays, c’est de larges consensus sur la sécurité d’abord, parce que pour parler de développement, il faut s’assurer de la sécurité d’abord, il nous faut un consensus sur la relance de l’économie et il faut aussi des consensus sur le pacte républicain », a soutenu la robe noire.
« La commission politique n’a pas de point de vue consensuel sur la question. C’est maintenant au président de la République en cas de désaccord au niveau de la commission politique, de tracer la question par son arbitrage, puisque toutes les parties lui vouent confiance pour qu’en cas de désaccord, il arbitre », a ajouté Me Ousmane Sèye, membre de la commission du Dialogue politique.
Par ailleurs, l’avocat se félicite de l’engagement de tous les acteurs de la scène politique, tout comme de la société civile, à débattre et trouver des points consensuels par rapport au bon fonctionnement du pays ainsi que son processus électoral.
« La commission politique a travaillé pendant deux années et a abouti au maximum de consensus possible. La majorité présidentielle, l’opposition et la société civile ont fait preuve de concessions mutuelles pour aboutir au consensus et il faut s’en féliciter.
Et je pense que ce qu’il nous faut aujourd’hui dans ce pays, c’est de larges consensus sur la sécurité d’abord, parce que pour parler de développement, il faut s’assurer de la sécurité d’abord, il nous faut un consensus sur la relance de l’économie et il faut aussi des consensus sur le pacte républicain », a soutenu la robe noire.