Serine Modou Kara Mbacké, de par son nom, était attendu dans le domaine de l’éducation religieuse et la diffusion des œuvres de son grand-père Mame Thierno Birahim, frère cadet du fondateur du Mouridisme. Il s’y était employé, avant de commencer à s’écarter de ce chemin à la veille de l’élection présidentielle de l’an 2000 : il avait prédit, faussement et publiquement, la défaite de l’opposant Wade contre le président sortant, Abdou Diouf. Son épouse était à l’époque une journaliste au service du régime socialiste. Depuis la vielle de la dernière élection présidentielle de 2007, Kara s’est complètement détourné du champ qu’il devait cultiver.
Ses prises de position pour Wade, dénoncés par son frère utérin, déclenchent des casses
Il est désormais au service du président Abdoulaye Wade qu’il dénigrait. Celui-ci a fait de son épouse une sénatrice. Wade entretient si bien Kara, que ses faits et gestes avaient entraîné une vendetta, en plein jour, contre le groupe Wal Fadjri. Du sang avait coulé à flot, de leur fait. Mais, le crime fut impuni. Il n’y eut même pas de poursuite judiciaire. D’ailleurs, Kara a amené le président Wade à élargir de prison ses proches et disciples qui avaient assassiné un gardien à l’occasion d’un vol qu’ils avaient commis. Jugés et condamnés, ils pavanent, aujourd’hui, dans Dakar, on ne sait par quelle astuce. Mais, si un herbivore et un carnivore sont censés ne pas se disputer d’espace, sauf si le dernier en veut au premier, Kara ne supporte plus Youssou Ndour.
Pour plaire à Wade, Kara défie You dans son domaine
Une pétition circule pour que l’État octroie le signal de la télévision du groupe Futurs médias, créé par le chanteur. Elle a recueilli plus d’un million de signatures. Kara en lieu et place de soutenir le chanteur, qui, contrairement à lui, crée des emplois et de la plus value pour le Sénégal, a décidé de ramer à contre –courant : il a ordonné à son fils, Moustapha Mbacké, de réunir deux millions de signatures. À quelle fin ? Seul Kara, qui a beaucoup de temps à « tuer », le sait. Son entourage répond qu’il veut démontrer qu’il mobilise plus que Youssou Ndour ! D’ailleurs, il a promis de prouver que musicalement, il est plus doué et adulé que le « roi du mbalax », qu’il dit le fuir.
Pourtant, de par sa famille, Kara se devait de ne pas jouer au musicien, car, l’Islam interdit cette pratique. Son grand-père, le fondateur du mouridisme, la bannit également. Mais Kara tient à chanter, accompagné d’instruments. Après avoir eu le privilège de recevoir le président Wade au Méridien Président, pour le lancement de son récital de poèmes, prétend, maintenant, avoir inventé un piano dont les touches ne libèrent que des notes « divines ».
Modou Kara, veut maintenant en découdre avec le patron du Super Étoile et du groupe Futurs médias. Tout ceci, parce que Youssou Ndour réclame un droit que lui refuse le président Wade. En 45 jours, Modou Kara a fait trois sorties hostiles au « Roi du Mbalax » : d’abord à la Place du souvenir, quelques jours après, le 31 décembre au Stadium Iba Mar Diop, et dernièrement à Touba, le 3 février, le jour du Magal. Serigne Modou Kara prend le relais de Ameth khalifa Niasse, qui s’était attaqué au patron du groupe Futurs médias, par voie de presse, pour défendre Karim. Serigne Modou monte au créneau : une cacophonie en vue qui martyrisera les tympans des Sénégalais. Car, l’inventeur et interprète de la « mélodie divine », qui faisait des sorties tous les six mois, en fait maintenant une par mois. Il va donc parler tous les quinze jours, au moins, pour démontrer au président Wade qu’il travaille pour lui ; tout comme il lui a affecté son parti. C’est dire donc que le « guide » a décidé de rendre moins de services à la religion et à son pays. Il a revêtu des habits de « général » pour être en service commandé permanent pour les Wade. Il a même demandé à ce que le président Wade lui confie son fils Karim, qui est en bisbilles avec Youssou Ndour. Il ouvre un nouveau front pour mener une bataille qui ne doit pas être la sienne.
Les dérives de Kara inquiètent au pus haut point
Il avait attaqué le fils cadet de Serigne Touba, Serigne Mourtada Mbacké, en avançant qu’il était le seul habilité par le fondateur du Mouridisme à propager les enseignements de Bamba en Occident, par sa « mélodie divine » ; faisant table rase, du coup, de l’œuvre du saint homme, dont le fils aîné, Serigne Mame Mor Mbacké, poursuit la mission. Maintenant, Modou Kara s’en prend, presque, au Khalife général des Mourides, en soutenant que les artistes, particulièrement Youssou Ndour qu’il a cité, le fuient pour se réfugier chez Elhadj Bara , après avoir commis tous les pêchés du monde. Ces différentes déclarations inquiètent et ulcèrent les mourides et leurs dignitaires, qui se demandent que faire avec lui. Rappelons, qu’avant l’alternance, au plus fort de ses dérives, il avait occupé illégalement l’hôtel de la famille de Ibra Kassé, composée pour l’essentiel d’artistes, pendant des mois sous les prétexte qu’il avait reçu l’ordre divin de purifier les lieux. il a fallu l’intervention du regretté Serigne Saliou pour le ramener à la raison : le khalife général de l’époque, après avoir été informé des agissements de Kara, qui n’honorait pas la mouridisme, avait dépêché Serigne Saliou Touré qui le représente à Thiès, pour ordonner à Kara de cesser ses déclarations et de quitter les lieux. Aujourd’hui, bien des Mourides se demandent si le Khalife Elhadj Bara ne mettra pas le holà sur Modou Kara, avant qu’il ne soit trop tard.
La Redaction xibar
Ses prises de position pour Wade, dénoncés par son frère utérin, déclenchent des casses
Il est désormais au service du président Abdoulaye Wade qu’il dénigrait. Celui-ci a fait de son épouse une sénatrice. Wade entretient si bien Kara, que ses faits et gestes avaient entraîné une vendetta, en plein jour, contre le groupe Wal Fadjri. Du sang avait coulé à flot, de leur fait. Mais, le crime fut impuni. Il n’y eut même pas de poursuite judiciaire. D’ailleurs, Kara a amené le président Wade à élargir de prison ses proches et disciples qui avaient assassiné un gardien à l’occasion d’un vol qu’ils avaient commis. Jugés et condamnés, ils pavanent, aujourd’hui, dans Dakar, on ne sait par quelle astuce. Mais, si un herbivore et un carnivore sont censés ne pas se disputer d’espace, sauf si le dernier en veut au premier, Kara ne supporte plus Youssou Ndour.
Pour plaire à Wade, Kara défie You dans son domaine
Une pétition circule pour que l’État octroie le signal de la télévision du groupe Futurs médias, créé par le chanteur. Elle a recueilli plus d’un million de signatures. Kara en lieu et place de soutenir le chanteur, qui, contrairement à lui, crée des emplois et de la plus value pour le Sénégal, a décidé de ramer à contre –courant : il a ordonné à son fils, Moustapha Mbacké, de réunir deux millions de signatures. À quelle fin ? Seul Kara, qui a beaucoup de temps à « tuer », le sait. Son entourage répond qu’il veut démontrer qu’il mobilise plus que Youssou Ndour ! D’ailleurs, il a promis de prouver que musicalement, il est plus doué et adulé que le « roi du mbalax », qu’il dit le fuir.
Pourtant, de par sa famille, Kara se devait de ne pas jouer au musicien, car, l’Islam interdit cette pratique. Son grand-père, le fondateur du mouridisme, la bannit également. Mais Kara tient à chanter, accompagné d’instruments. Après avoir eu le privilège de recevoir le président Wade au Méridien Président, pour le lancement de son récital de poèmes, prétend, maintenant, avoir inventé un piano dont les touches ne libèrent que des notes « divines ».
Modou Kara, veut maintenant en découdre avec le patron du Super Étoile et du groupe Futurs médias. Tout ceci, parce que Youssou Ndour réclame un droit que lui refuse le président Wade. En 45 jours, Modou Kara a fait trois sorties hostiles au « Roi du Mbalax » : d’abord à la Place du souvenir, quelques jours après, le 31 décembre au Stadium Iba Mar Diop, et dernièrement à Touba, le 3 février, le jour du Magal. Serigne Modou Kara prend le relais de Ameth khalifa Niasse, qui s’était attaqué au patron du groupe Futurs médias, par voie de presse, pour défendre Karim. Serigne Modou monte au créneau : une cacophonie en vue qui martyrisera les tympans des Sénégalais. Car, l’inventeur et interprète de la « mélodie divine », qui faisait des sorties tous les six mois, en fait maintenant une par mois. Il va donc parler tous les quinze jours, au moins, pour démontrer au président Wade qu’il travaille pour lui ; tout comme il lui a affecté son parti. C’est dire donc que le « guide » a décidé de rendre moins de services à la religion et à son pays. Il a revêtu des habits de « général » pour être en service commandé permanent pour les Wade. Il a même demandé à ce que le président Wade lui confie son fils Karim, qui est en bisbilles avec Youssou Ndour. Il ouvre un nouveau front pour mener une bataille qui ne doit pas être la sienne.
Les dérives de Kara inquiètent au pus haut point
Il avait attaqué le fils cadet de Serigne Touba, Serigne Mourtada Mbacké, en avançant qu’il était le seul habilité par le fondateur du Mouridisme à propager les enseignements de Bamba en Occident, par sa « mélodie divine » ; faisant table rase, du coup, de l’œuvre du saint homme, dont le fils aîné, Serigne Mame Mor Mbacké, poursuit la mission. Maintenant, Modou Kara s’en prend, presque, au Khalife général des Mourides, en soutenant que les artistes, particulièrement Youssou Ndour qu’il a cité, le fuient pour se réfugier chez Elhadj Bara , après avoir commis tous les pêchés du monde. Ces différentes déclarations inquiètent et ulcèrent les mourides et leurs dignitaires, qui se demandent que faire avec lui. Rappelons, qu’avant l’alternance, au plus fort de ses dérives, il avait occupé illégalement l’hôtel de la famille de Ibra Kassé, composée pour l’essentiel d’artistes, pendant des mois sous les prétexte qu’il avait reçu l’ordre divin de purifier les lieux. il a fallu l’intervention du regretté Serigne Saliou pour le ramener à la raison : le khalife général de l’époque, après avoir été informé des agissements de Kara, qui n’honorait pas la mouridisme, avait dépêché Serigne Saliou Touré qui le représente à Thiès, pour ordonner à Kara de cesser ses déclarations et de quitter les lieux. Aujourd’hui, bien des Mourides se demandent si le Khalife Elhadj Bara ne mettra pas le holà sur Modou Kara, avant qu’il ne soit trop tard.
La Redaction xibar