Des exemples de ses écrits sont nombreux où il annonce des choses qui s'avèrent totalement fausses par la suite. Pire, depuis son audience avec Wade, bon nombre de ses articles sont tendancieux, partiaux et parcellaires et visent à saper l'unité de l'opposition au sein du mouvement du M23. Et tout ceci sans aucune preuve de la part de ce personnage qui se faisait payer des billets d'avions par l'ancien Maire PDS de Dakar, Pape Diop. Drôle de comportement pour quelqu'un qui doit faire preuve d'une certaine impartialité. Comme être impartial si on reçoit un financement de la part de ceux qui doivent être l'objet d'articles objectifs.
Avoir été journaliste de jeune Afrique ne vous confère pas automatiquement un crédit quelconque. Tous les africains conscients savent ce qui se passe au sein de ce journal plus guidé par l'appât du gain que par le désir d'informer juste et vrai. Car il y a très longtemps que Jeune Afrique n’est plus qu’un hebdomadaire de propagande commerciale, comme l’a si bien montré Vincent HUGEUX dans son excellent livre intitulé « Les sorciers blancs : enquêtes sur les faux amis français de l’Afrique ».
Plus qu'un journaliste, Cheikh Yérim seck a été un bon V.R.P. (voyageur, représentant, placier) pour jeune Afrique. Nous disons que M. Cheikh Yérim Seck s’est vraisemblablement trompé de métier.
Mais au sein de JA, Cheikh Yérim Seck a été à bonne école lui qui passe son temps à fantasmer sur son site fourre tout qui mélange des images à la limite de la pornographie avec des articles dont le but principal est de manipuler l'opinion dans un sens qui n'a rien à voir avec l'information. Informer n'est pas tromper. Malheureusement il existe des gens pour croire ce qu'il raconte mais heureusement qu'il existe également une bonne frange de l'opinion qui n'accorde aucun crédit à ses délires.
Or Cheikh Yérim Seck donne l'impression de vouloir tromper son monde comme il a essayé de tromper des personnalités.
Le net pullule d'articles dénonçant en effet le comportement à des années lumières de la déontologie qui sied à sa profession de ce pseudo journaliste, adepte de l'argent et des filles (tout Paris le sait), au français mal maitrisé et qui passe son temps à traduire en articles des faits imaginaires issus de son esprit tordu et qui ne sont motivés que par l'appât du gain.
Pour ne pas lasser nos lecteurs, nous ne reproduisons ici qu'un article parmi d'autres dénonçant la cupidité d'un homme qui a fait de son métier un moyen de s'enrichir à la vitesse éclair.
"Jeune Afrique et son envoyé spécial Cheikh Yérim SECK en Guinée : Les masques tombent.
A l'arrivée au pouvoir du Capitaine Moussa Dadis Camara, le journaliste Cheikh Yerim Seck de J.A. était tout sucre tout miel pour le Capitaine, sur les plateaux de télévision (émission Kiosque de TV5), il ne tarissait guère d’éloges pour ce Capitaine qui faisait des choses très intéressantes comme la lutte contre les narco trafiquants, contre la corruption, des fléaux qui ont ravagé l’Afrique de l’Ouest.
L’envoyé spécial de J.A. atterrit à Conakry et le capitaine Dadis Camara vient de dévoiler ce qui s’est passé lors d’une grande interview accordée à la chaine câblée 3ATELESUD et diffusée le 8 octobre 2009 : « Cheikh Yerim SECK de Jeune Afrique est venu en Guinée me demander 500.000 euros par trimestre pour gérer mon image (et donc faire la propagande du régime guinéen). Moi, Dadis Camara, je lutte contre les gens qui ont détruit la Guinée, pas un franc n’est aujourd’hui détourné des caisses de l’état, moi-même, je dors dans une petite chambre, je n’ai aucun compte bancaire à l’étranger. Les guinéens sont parmi les plus pauvres et sont obligés de vendre des bananes pour survivre. Chaque année, la Guinée produit 8 tonnes d’or qui disparaissent, où est l’or du peuple guinéen ? Et cet escroc de Cheikh Yerim Seck demande 500.000 Euros par trimestre, j’ai chassé cette prostituée, après cela, il est parti m’insulter, il n’a qu’à dire ce qu’il veut ……. ».
Hier, J.A. était lié au Colonel Kaddafi par un contrat, ce dernier occupait la moitié du Tchad avec ses 10.000 hommes, J.A. titrait « Tchad : Etat Néant », aujourd’hui ? Dadis Camara refuse de passer à la caisse et la Guinée est devenue un « Etat Sauvage ».
Jeune Afrique et son chantage, secret de polichinelle, qui se souvient de l’affaire Amara Essy rendue publique par le journal Fraternité Matin ? En 2003, M. ESSY, ancien ministre des affaires étrangères de la Cote d’Ivoire, souhaitait se présenter au poste de président de la commission de l’Union Africaine face à Alpha Oumar Konaré, il reçoit une offre de communication du groupe J.A. qu’il juge exorbitante et dépassant totalement son budget et par conséquent décline l’offre. La sanction tombe aussitôt. Béchir Ben Yahmed (BBY) prend sa plume et descend en flèche Amara ESSY. J.A. engagea des mesures de rétorsions éditoriales et fit campagne pour Konaré. Amara Essy déclara : « Ils m’ont demandé 4 fois mon budget de communication, pour les satisfaire, il aurait fallu aller mendier auprès de Kaddafi et Bongo (allusion à KONARE ?). Ce n’est pas dans mes habitudes. J’étais aux affaires étrangères et donc parfaitement au courant de tous les marchandages auxquels ils soumettaient le président Houphouet, malgré cela je les ai aidé, ouvert les portes, alors leur politique de représailles m’a beaucoup déçu.
Les exemples sont innombrables du Rwanda, au Togo en passant par la Mauritanie et le Maroc. On a même vu en 2004, Jeune Afrique proposé ses services au régime de Paul BIYA pour contrecarrer un rapport accablant de la FIDH, allant jusqu’à suggérer une intervention directe auprès de M Baudoin Patrick et Sidiki Kaba des potes aux responsables de J.A. Le journalisme mène à tout, a-t-on l’habitude de dire, chantage, représailles, menaces, insultes, J.A. un média sans foi ni loi, une véritable imposture africaine."
Source : zoomtchad.com via http://socialisme-republiquesn.org/
Et pour finir nous empruntons la maxime de Abraham Lincoln reprise par Bob Marley dans sa célèbre chanson "Get up stand up" pour dire à ce journaleux que "You can fool some of the people all the time, and all of the people some of the time, but you cannot fool all of the people all the time"
Ce qui signifie en gros "On peut tromper son monde un temps mais on ne peut tromper tout le monde tout le temps"
Le peuple sénégalais sera debout et ne se laissera pas tromper ou divertir par d'égoïstes individus qui ne perdent rien pour attendre car quand la lame de la révolution s'abattra, ils ne seront pas épargnés.
Avoir été journaliste de jeune Afrique ne vous confère pas automatiquement un crédit quelconque. Tous les africains conscients savent ce qui se passe au sein de ce journal plus guidé par l'appât du gain que par le désir d'informer juste et vrai. Car il y a très longtemps que Jeune Afrique n’est plus qu’un hebdomadaire de propagande commerciale, comme l’a si bien montré Vincent HUGEUX dans son excellent livre intitulé « Les sorciers blancs : enquêtes sur les faux amis français de l’Afrique ».
Plus qu'un journaliste, Cheikh Yérim seck a été un bon V.R.P. (voyageur, représentant, placier) pour jeune Afrique. Nous disons que M. Cheikh Yérim Seck s’est vraisemblablement trompé de métier.
Mais au sein de JA, Cheikh Yérim Seck a été à bonne école lui qui passe son temps à fantasmer sur son site fourre tout qui mélange des images à la limite de la pornographie avec des articles dont le but principal est de manipuler l'opinion dans un sens qui n'a rien à voir avec l'information. Informer n'est pas tromper. Malheureusement il existe des gens pour croire ce qu'il raconte mais heureusement qu'il existe également une bonne frange de l'opinion qui n'accorde aucun crédit à ses délires.
Or Cheikh Yérim Seck donne l'impression de vouloir tromper son monde comme il a essayé de tromper des personnalités.
Le net pullule d'articles dénonçant en effet le comportement à des années lumières de la déontologie qui sied à sa profession de ce pseudo journaliste, adepte de l'argent et des filles (tout Paris le sait), au français mal maitrisé et qui passe son temps à traduire en articles des faits imaginaires issus de son esprit tordu et qui ne sont motivés que par l'appât du gain.
Pour ne pas lasser nos lecteurs, nous ne reproduisons ici qu'un article parmi d'autres dénonçant la cupidité d'un homme qui a fait de son métier un moyen de s'enrichir à la vitesse éclair.
"Jeune Afrique et son envoyé spécial Cheikh Yérim SECK en Guinée : Les masques tombent.
A l'arrivée au pouvoir du Capitaine Moussa Dadis Camara, le journaliste Cheikh Yerim Seck de J.A. était tout sucre tout miel pour le Capitaine, sur les plateaux de télévision (émission Kiosque de TV5), il ne tarissait guère d’éloges pour ce Capitaine qui faisait des choses très intéressantes comme la lutte contre les narco trafiquants, contre la corruption, des fléaux qui ont ravagé l’Afrique de l’Ouest.
L’envoyé spécial de J.A. atterrit à Conakry et le capitaine Dadis Camara vient de dévoiler ce qui s’est passé lors d’une grande interview accordée à la chaine câblée 3ATELESUD et diffusée le 8 octobre 2009 : « Cheikh Yerim SECK de Jeune Afrique est venu en Guinée me demander 500.000 euros par trimestre pour gérer mon image (et donc faire la propagande du régime guinéen). Moi, Dadis Camara, je lutte contre les gens qui ont détruit la Guinée, pas un franc n’est aujourd’hui détourné des caisses de l’état, moi-même, je dors dans une petite chambre, je n’ai aucun compte bancaire à l’étranger. Les guinéens sont parmi les plus pauvres et sont obligés de vendre des bananes pour survivre. Chaque année, la Guinée produit 8 tonnes d’or qui disparaissent, où est l’or du peuple guinéen ? Et cet escroc de Cheikh Yerim Seck demande 500.000 Euros par trimestre, j’ai chassé cette prostituée, après cela, il est parti m’insulter, il n’a qu’à dire ce qu’il veut ……. ».
Hier, J.A. était lié au Colonel Kaddafi par un contrat, ce dernier occupait la moitié du Tchad avec ses 10.000 hommes, J.A. titrait « Tchad : Etat Néant », aujourd’hui ? Dadis Camara refuse de passer à la caisse et la Guinée est devenue un « Etat Sauvage ».
Jeune Afrique et son chantage, secret de polichinelle, qui se souvient de l’affaire Amara Essy rendue publique par le journal Fraternité Matin ? En 2003, M. ESSY, ancien ministre des affaires étrangères de la Cote d’Ivoire, souhaitait se présenter au poste de président de la commission de l’Union Africaine face à Alpha Oumar Konaré, il reçoit une offre de communication du groupe J.A. qu’il juge exorbitante et dépassant totalement son budget et par conséquent décline l’offre. La sanction tombe aussitôt. Béchir Ben Yahmed (BBY) prend sa plume et descend en flèche Amara ESSY. J.A. engagea des mesures de rétorsions éditoriales et fit campagne pour Konaré. Amara Essy déclara : « Ils m’ont demandé 4 fois mon budget de communication, pour les satisfaire, il aurait fallu aller mendier auprès de Kaddafi et Bongo (allusion à KONARE ?). Ce n’est pas dans mes habitudes. J’étais aux affaires étrangères et donc parfaitement au courant de tous les marchandages auxquels ils soumettaient le président Houphouet, malgré cela je les ai aidé, ouvert les portes, alors leur politique de représailles m’a beaucoup déçu.
Les exemples sont innombrables du Rwanda, au Togo en passant par la Mauritanie et le Maroc. On a même vu en 2004, Jeune Afrique proposé ses services au régime de Paul BIYA pour contrecarrer un rapport accablant de la FIDH, allant jusqu’à suggérer une intervention directe auprès de M Baudoin Patrick et Sidiki Kaba des potes aux responsables de J.A. Le journalisme mène à tout, a-t-on l’habitude de dire, chantage, représailles, menaces, insultes, J.A. un média sans foi ni loi, une véritable imposture africaine."
Source : zoomtchad.com via http://socialisme-republiquesn.org/
Et pour finir nous empruntons la maxime de Abraham Lincoln reprise par Bob Marley dans sa célèbre chanson "Get up stand up" pour dire à ce journaleux que "You can fool some of the people all the time, and all of the people some of the time, but you cannot fool all of the people all the time"
Ce qui signifie en gros "On peut tromper son monde un temps mais on ne peut tromper tout le monde tout le temps"
Le peuple sénégalais sera debout et ne se laissera pas tromper ou divertir par d'égoïstes individus qui ne perdent rien pour attendre car quand la lame de la révolution s'abattra, ils ne seront pas épargnés.