« Les agents de l’entreprise dénoncent cette situation d’autant plus que la direction ne semble pas être en mesure de donner des assurances ou à tout le moins des indications claires sur la question. Le personnel est d’autant plus surpris qu’il avait reçu l’assurance ferme en octobre que le paiement du salaire de novembre ne se poserait pas », déclare le bureau du Synpics, section de l’APS.
Il poursuit pour expliquer « qu’en effet, l’ancien Directeur général et les responsables de la Diamond Bank avaient convenu d’un accord, aux termes duquel, l’APS devait reverser à cette banque les 60 millions de francs obtenus au titre de la Loi de finances rectificative (LFR).
C’est sur cette base que la banque s’était, à son tour, engagée à prêter de l’argent pour le paiement des salaires de décembre et janvier. La nouvelle direction a fait fi de cet accord prétextant qu’elle n’avait aucune base formelle dudit accord et a initié une nouvelle procédure ».
Alors que pour les travailleurs, explique Ousmane Ibrahima Dia, la solution trouvée par l’ancienne direction était viable parce qu’elle nous avait permis de recevoir nos salaires d’octobre. Le problème des salaires ne se serait pas posé si le Directeur général et l’Agent comptable particulier avaient appliqué l’accord avec la Diamond Bank.
« Eu égard à toutes ces considérations, les agents de l’APS estiment que la Direction et l’ACP en particulier ont échoué dans la recherche de solutions à cette question ponctuelle. Par conséquent, les travailleurs exigent le départ de l’ACP pour redonner un nouveau souffle à la comptabilité ».
En ce sens que « l’ACP manque d’imagination pour trouver des solutions viables à nos problèmes. Il ne paraît plus en mesure d’assurer les missions financières et comptables de l’APS », soutient-ils avant de prendre, par la même occasion, acte de la volonté des autorités de procéder à un audit administratif, technique et financier de l’entreprise.
Sur cette base, les travailleurs comptent déposer dès la semaine prochaine un préavis de grève, en perspective d’une « journée sans travail » et invitent à nouveau les pouvoirs publics sénégalais sur la nécessité de trouver des solutions aux problèmes structurels de l’APS, résultant du sous financement de l’APS, avec comme conséquence les mauvaises conditions de travail des agents qui sont les plus mal payés du service public de l’information. (…).
Par ailleurs, les travailleurs disent attendre toujours une réponse à la question du siège. Car, selon eux, l’immeuble qui abrite actuellement l’APS a été classé depuis 1998 dans la catégorie d’immeuble à risques élevés susceptibles de s’effondrer à tout moment par la Direction de la protection civile.
Ferloo.com
Il poursuit pour expliquer « qu’en effet, l’ancien Directeur général et les responsables de la Diamond Bank avaient convenu d’un accord, aux termes duquel, l’APS devait reverser à cette banque les 60 millions de francs obtenus au titre de la Loi de finances rectificative (LFR).
C’est sur cette base que la banque s’était, à son tour, engagée à prêter de l’argent pour le paiement des salaires de décembre et janvier. La nouvelle direction a fait fi de cet accord prétextant qu’elle n’avait aucune base formelle dudit accord et a initié une nouvelle procédure ».
Alors que pour les travailleurs, explique Ousmane Ibrahima Dia, la solution trouvée par l’ancienne direction était viable parce qu’elle nous avait permis de recevoir nos salaires d’octobre. Le problème des salaires ne se serait pas posé si le Directeur général et l’Agent comptable particulier avaient appliqué l’accord avec la Diamond Bank.
« Eu égard à toutes ces considérations, les agents de l’APS estiment que la Direction et l’ACP en particulier ont échoué dans la recherche de solutions à cette question ponctuelle. Par conséquent, les travailleurs exigent le départ de l’ACP pour redonner un nouveau souffle à la comptabilité ».
En ce sens que « l’ACP manque d’imagination pour trouver des solutions viables à nos problèmes. Il ne paraît plus en mesure d’assurer les missions financières et comptables de l’APS », soutient-ils avant de prendre, par la même occasion, acte de la volonté des autorités de procéder à un audit administratif, technique et financier de l’entreprise.
Sur cette base, les travailleurs comptent déposer dès la semaine prochaine un préavis de grève, en perspective d’une « journée sans travail » et invitent à nouveau les pouvoirs publics sénégalais sur la nécessité de trouver des solutions aux problèmes structurels de l’APS, résultant du sous financement de l’APS, avec comme conséquence les mauvaises conditions de travail des agents qui sont les plus mal payés du service public de l’information. (…).
Par ailleurs, les travailleurs disent attendre toujours une réponse à la question du siège. Car, selon eux, l’immeuble qui abrite actuellement l’APS a été classé depuis 1998 dans la catégorie d’immeuble à risques élevés susceptibles de s’effondrer à tout moment par la Direction de la protection civile.
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