‘’Le Président de la République entend désormais lutter fermement contre les occupations irrégulières de la voie publique et tentatives de privatisation des espaces publics, notamment avec les opérations immobilières réalisées sur les terrains destinés aux pratiques sportives’’, a précisé la source.
Cette précision est faite au lendemain de l’opération de destruction, vendredi, de la tribune et d’un centre commercial en face du monument de la renaissance sur la route de Ouakam qui fait l’objet actuellement des travaux d’aménagement et d’élargissement.
Réagissant à l’annonce, jeudi dernier, de la volonté de l’Etat de détruire le centre commercial, le promoteur de ce bâtiment, l’architecte Pierre Atépa Goudiaby a affirmé, dans un entretien accordé à Télévision qu’il ‘’disposait d’un permis de construire dans lequel les gradins sont prévus’’.
‘’Nous faisons les choses de la manière la plus professionnelle’’, a encore dit M. Goudiaby dont les propos ont été énergiquement démentis par le Chef de la Division régionale des travaux publics et coordonnateur du Groupe opérationnel, Pape Diop.
A la question de savoir pourquoi il a laissé le promoteur poursuivre les travaux avant de procéder à la destruction de la tribune, M. Diop a affirmé : ‘’le promoteur a refusé d’obtempérer à la sommation qu’il avait reçue depuis 10 jours’’.
Selon par ailleurs la source présidentielle, document à l’appui, en plus du centre commercial érigé sur la voie publique M. Goudiaby envisageait également de construire une tribune et un parking’’.
Dans le même document intitulé ‘’compte rendu de réunion de maîtrise d’ouvrage numéro 18’’ dont copie est obtenue par l’APS, il est mentionné que les participants ont été ‘’informés, le 14 juillet 2009, du projet de construction d’une 2×2 voies sur la route d’Ouakam et notamment de la création d’un rond point et d’une bretelle d’insertion sur la route de l’aéroport’’.
‘’Ce projet de rond point et de bretelle d’insertion remet en cause une partie des travaux d’aménagement des extérieurs à savoir le parking et le centre commercial au pied du monument’’, lit-on dans le document qui rend compte de la réunion à laquelle avaient pris part plusieurs structures de l’Etat et le cabinet Atépa.
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Cette précision est faite au lendemain de l’opération de destruction, vendredi, de la tribune et d’un centre commercial en face du monument de la renaissance sur la route de Ouakam qui fait l’objet actuellement des travaux d’aménagement et d’élargissement.
Réagissant à l’annonce, jeudi dernier, de la volonté de l’Etat de détruire le centre commercial, le promoteur de ce bâtiment, l’architecte Pierre Atépa Goudiaby a affirmé, dans un entretien accordé à Télévision qu’il ‘’disposait d’un permis de construire dans lequel les gradins sont prévus’’.
‘’Nous faisons les choses de la manière la plus professionnelle’’, a encore dit M. Goudiaby dont les propos ont été énergiquement démentis par le Chef de la Division régionale des travaux publics et coordonnateur du Groupe opérationnel, Pape Diop.
A la question de savoir pourquoi il a laissé le promoteur poursuivre les travaux avant de procéder à la destruction de la tribune, M. Diop a affirmé : ‘’le promoteur a refusé d’obtempérer à la sommation qu’il avait reçue depuis 10 jours’’.
Selon par ailleurs la source présidentielle, document à l’appui, en plus du centre commercial érigé sur la voie publique M. Goudiaby envisageait également de construire une tribune et un parking’’.
Dans le même document intitulé ‘’compte rendu de réunion de maîtrise d’ouvrage numéro 18’’ dont copie est obtenue par l’APS, il est mentionné que les participants ont été ‘’informés, le 14 juillet 2009, du projet de construction d’une 2×2 voies sur la route d’Ouakam et notamment de la création d’un rond point et d’une bretelle d’insertion sur la route de l’aéroport’’.
‘’Ce projet de rond point et de bretelle d’insertion remet en cause une partie des travaux d’aménagement des extérieurs à savoir le parking et le centre commercial au pied du monument’’, lit-on dans le document qui rend compte de la réunion à laquelle avaient pris part plusieurs structures de l’Etat et le cabinet Atépa.
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