On a longtemps vu des lutteurs redescendre dans l'arène après une défaite soit par des séances de "bakk", lors des combats de lutte, soit à travers les médias. Mais tel n'a pas été le cas pour Yékini. La seule apparition publique qu'on a pu avoir de lui fut lors de la soirée de Pape et Cheikh au Grand Théâtre, le 06 avril dernier. Yékini a esquissé, pour faire plaisir aux fans, quelques pas de danse, tenant en haleine les amateurs qui ont fortement demandé son retour dans l'arène. Yékini, évasif, a promis son come-back.
Mais quelles sont les vraies raisons de ce mutisme ? La première raison, indique La Tribune, est inéluctablement la douleur de la défaite. Yékini n'avait jusque-là pas connu cette douleur. D'ailleurs, il aimait dire qu'il ne croit pas à la défaite. La pilule a été donc dure à avaler. L'autre raison, évoquée par nos confrères, est qu'après la chute d'un lutteur aussi charismatique que lui, le retour se prépare. Il veut sans doute revenir en force et montrer que ce n'est pas pour rien qu'il est le meilleur lutteur du cinquantenaire. Une dernière raison du silence de Yékini est qu'il veut certainement sonder sa cote de popularité auprès des amateurs. Mais, nos confrères estiment qu'il ne devrait point se faire du souci pour cela, car l'arène a la nostalgie du"Roi".
Mais quelles sont les vraies raisons de ce mutisme ? La première raison, indique La Tribune, est inéluctablement la douleur de la défaite. Yékini n'avait jusque-là pas connu cette douleur. D'ailleurs, il aimait dire qu'il ne croit pas à la défaite. La pilule a été donc dure à avaler. L'autre raison, évoquée par nos confrères, est qu'après la chute d'un lutteur aussi charismatique que lui, le retour se prépare. Il veut sans doute revenir en force et montrer que ce n'est pas pour rien qu'il est le meilleur lutteur du cinquantenaire. Une dernière raison du silence de Yékini est qu'il veut certainement sonder sa cote de popularité auprès des amateurs. Mais, nos confrères estiment qu'il ne devrait point se faire du souci pour cela, car l'arène a la nostalgie du"Roi".