1. Les antécédents familiaux
Avoir tendance à l’embonpoint, c’est héréditaire ! Ainsi, un enfant a 15% de risque d’être obèse si aucun de ses parents ne présente d’excès de poids, 40% si un de ses parents présente un excès de poids, et 80% si ses deux parents présentent un excès de poids.
2. Les désordres endocriniens
Certains dérèglements hormonaux (hypothyroïdie, hypercortisolisme) se répercutent sur le poids. Ils nécessitent un bilan médical et une prise en charge adaptée.
3. La sédentarité
L’inactivité favorise le surpoids : moins on bouge, moins on dépense d’énergie, et plus on peine à maintenir un poids stable.
4. Les mauvais comportements alimentaires
Trop manger ou mal manger font évidemment grossir. Les erreurs à ce niveau sont nombreuses et la plupart du temps cumulées : attirance pour les aliments énergétiques, gras et sucrés, façon de cuisiner trop riche, gros appétit, mauvaise perception des signaux de faim et de rassasiement, rythme alimentaire déstructuré (repas sautés ou vite avalés, grignotage, mauvaise répartition des prises alimentaires quotidiennes…), méconnaissance de l’équilibre alimentaire …
5. La prise de médicaments
C’est incontestable : certains médicaments (anti-dépresseurs, hormones féminines, corticoïdes…) font prendre du poids, et d’autres peuvent freiner l’amaigrissement.
6. Certains épisodes de la vie intime
Bouleversements hormonaux obligent, la puberté, la grossesse et la ménopause favorisent la prise de poids chez les femmes.
7. Les changements de mode de vie
Arrêt ou changement de travail, retraite, déménagement, décès d’un proche, mise en ménage, amour, divorce…sont autant d’événements qui, en influençant le moral et les habitudes, peuvent engendrer des perturbations pondérales…parfois conséquentes.
8. L’arrêt du tabac
Diminution de la dépense énergétique au repos, augmentation de l’appétit, attirance pour le sucre, compensation de la gestuelle… : stopper la cigarette équivaut le plus souvent à prendre quelques kilos (voire beaucoup).
<img class="af-override-size af-lazyloaded" data-cke-saved-src="http://imworld.aufeminin.com/story/20140723/comment-ne-pas-grossir-sport-317905_w300.jpg" src="http://imworld.aufeminin.com/story/20140723/comment-ne-pas-grossir-sport-317905_w300.jpg" data-origin="" alt="comment ne pas grossir sport " "="" style="opacity: 1; width: 300px; max-height: none; max-width: 100%; margin: 5px;"> 9. L’arrêt du sport
Passer d’actif à sédentaire engendre une perte de masse musculaire, une diminution du métabolisme de base et une réduction de la dépense énergétique qui se soldent fatalement par une prise de poids si aucun réajustement alimentaire n’est effectué en parallèle.
10. Le stress et le surmenage
ien de tel pour compenser fatigue et anxiété que de consommer des aliments énergétiques qui entraînent par divers mécanismes hormonaux une sensation de bien-être. Et quand on mange trop gras et sucré, on grossit !
11. L’alternance travail de jour et de nuit
Il est difficile d’adopter une alimentation saine et régulière quand on ne vit pas au même rythme que les autres.Une étude portant sur des infirmières de nuit a ainsi montré qu’elles ont deux fois plus de risques de prendre plus de 5 kilos après 10 ans de travail que leurs collègues travaillant de jour.
12. Les facteurs d’amplification
L’alternance excès/restriction plus connue sous le nom d’effet yoyo. Plus on impose de régimes répétés à son organisme, plus on le rend résistant aux restrictions et plus on augmente ses capacités de stockage à chaque nouvel excès. A chaque fois qu’on reprend, on a tendance à reprendre davantage et à augmenter son poids.
aufeminin.com