La com pagnie Emi rates, à tra vers les vols di rects Dubaï –Dakar, am bi tionne d’im pul ser si gni fi ca ti ve ment sur le long terme, le com merce pour le moyen Orient et l’Afrique de l’Ouest, a dit M. Page.
Il a donné à titre d’exemple le ni veau du com merce entre le Sé né gal et les Emi rats Arabes Unis, qui est passé de 14,2 millions de dol lars en 2003 à 184 mil lions de dol lars en 2009.
Les res pon sables de cette com pa gnie comptent as su rer la des serte des deux villes, cinq fois par se maine, grâce à un Airbus A340- 300.
Dakar, 105ème des ti na tion de Emi rates va ré duire consi dé ra ble ment la durée du voyage vers le moyen Orient à presque 8 heures, a pré ci sé M. Page, selon qui « les voya geurs Sé né ga lais n’au ront plus be soin de faire de très long dé tours vers l’Europe ou les autres pays afri cains pour ar ri ver à leur des ti na tion fi nale ».
Ci tant les avan tages que la com pa gnie Emi rates of fri ra aux voya geurs sé né ga lais, il re le vé no tam ment « la com mo di té d’une liai son non stop avec Dubaï, des connec tions aux dif fé rents centres du Moyen- Orient, du sous- conti nent in dien, de l’Asie et de l’Ex trême Orient via notre ter mi nal 3 de der nière gé né ra tion ».
M. Page men tionne aussi des « au to ri sa tions d’excès de ba gages très com pé ti tives » ou en core « d’un ser vice d’ex cel lence qui fait la re nom mée d’Emi rates ».
Emi rates qui ne fi gure dans au cune al liance stra té gique aé ro nau tique afin de gar der son in dé pen dance a réa li sé en 2009, un bé né fice se si tuant à 964 mil lions de dol lars.
Politicosn.com avec Apanews
Il a donné à titre d’exemple le ni veau du com merce entre le Sé né gal et les Emi rats Arabes Unis, qui est passé de 14,2 millions de dol lars en 2003 à 184 mil lions de dol lars en 2009.
Les res pon sables de cette com pa gnie comptent as su rer la des serte des deux villes, cinq fois par se maine, grâce à un Airbus A340- 300.
Dakar, 105ème des ti na tion de Emi rates va ré duire consi dé ra ble ment la durée du voyage vers le moyen Orient à presque 8 heures, a pré ci sé M. Page, selon qui « les voya geurs Sé né ga lais n’au ront plus be soin de faire de très long dé tours vers l’Europe ou les autres pays afri cains pour ar ri ver à leur des ti na tion fi nale ».
Ci tant les avan tages que la com pa gnie Emi rates of fri ra aux voya geurs sé né ga lais, il re le vé no tam ment « la com mo di té d’une liai son non stop avec Dubaï, des connec tions aux dif fé rents centres du Moyen- Orient, du sous- conti nent in dien, de l’Asie et de l’Ex trême Orient via notre ter mi nal 3 de der nière gé né ra tion ».
M. Page men tionne aussi des « au to ri sa tions d’excès de ba gages très com pé ti tives » ou en core « d’un ser vice d’ex cel lence qui fait la re nom mée d’Emi rates ».
Emi rates qui ne fi gure dans au cune al liance stra té gique aé ro nau tique afin de gar der son in dé pen dance a réa li sé en 2009, un bé né fice se si tuant à 964 mil lions de dol lars.
Politicosn.com avec Apanews