Il est donc important pour nous de dire d’abord qui est Mr Mounirou SY ou du moins Docteur Mounirou SY :
Après de brillantes études à l’université de Saint Louis, il décide d’aller poursuivre ses études supérieures en France où il décroche son doctorat en droit publique. Ce jeune spécialiste des questions constitutionnelles a su défendre avec abnégation ; brio et une parfaite maitrise du droit constitutionnel lors des débats portant sur la validité ou non de la candidature de l’ex-président Abdoulaye WADE. C’est cet homme de conviction, de rigueur qui se voit confier le poste de Directeur du BSDA. Il faut le dire Dr SY est l’homme qu’il faut à
la place qu’il faut. Donc pourquoi vouloir le déstabiliser ?
Au Sénégal, on a l’impression si quelqu’un (surtout un jeune) à qui on confie un poste de direction, certaines personnes mal intentionnées ne souhaitent que son échec en utilisant divers canaux via les médias. Mais au fond qui sont ces hommes ?
Ce sont ces personnes à qui on douterait même de leur « capacité intellectuelle » et qui se permettent de se considérer comme « défenseurs ou protecteurs de la culture sénégalaise » qui passent tout leur temps à critiquer la gestion du Dr SY.
Je me devais en tant que jeune prendre ma plume et de dire à ces gens là d’arrêter!!!!!!
Critiquer c’est bien mais dans le sens que se soient des accompagnées de solutions et de propositions concrètes.
Vous savez quand docteur SY avait quitté l’enseignement pour diriger le BSDA, ce que ces gens là ne savent pas ou ignorent même c’est que son statut d’enseignant apportait plus (du point de vue finance et intellectuel) qu’à ses fonctions de Directeur.
Par ailleurs, par souci de transparence, le Dr Mounirou SY dès son installation avait fait appel au chargé des finances pour lui demander de lui faire la situation avec exactitude afin de savoir ce à quoi il a droit. Ce qui veut que son salaire avait été fixé par ses services compétents.
Mais maintenant si son prédécesseur avait renoncé à certaines de ses indemnités ; c’était son droit le plus absolu.
critiques constructives,
Dans ce pays, on assiste maintenant à l’apparition du nouveau type de sénégalais (NTS) prôné par mes amis de « y’en a marre », incarné par des jeunes de la trempe du Docteur
SY, qui a su se battre farouchement avec l’aide de son ex-ministre de la Culture Youssou NDOUR pour mettre sur la bonne voie la loi sur la nouvelle société d’auteur. Cette loi, en plus de renforcer les droits d’auteurs, consacrait deux nouveaux droits très important : les droits voisins et les droits de rémunération pour copies privées. Juste pour dire ce sont des droits qui vont rapporter de l’argent à de nouvelles catégories d’acteurs culturels. Le deuxième point important de cette loi, c’est la réforme de la gestion collective. En plus on a noté une nette amélioration du revenu des auteurs qui est passé du simple au double (environ 80.000 millions).
Maintenant, certains « vieux » nostalgique peut être, qui devaient aller à la retraite ou servent de conseillés, se mettent tout le temps à critiquer et à défendre une ex-directrice qui a fait plus de 17 ans dans cette direction. Mais ce qu’ils doivent savoir c’est qu’elle a déjà fait son temps et elle a fait ce qu’elle pouvait faire. Mais ce que ces « vieux » ignorent c’est que les Hommes passent mais les institutions restent. S’il vous plait laissez travailler Docteur Sy
Pour vous Docteur SY : comme le dit le l’adage « le chien aboie, la caravane passe ». Allez y les artistes, la jeunesse, vos employés…….j’en suis sur sont tous derrière vous.
Oumar TRAORE-Juriste
Enseignant/chercheur
Après de brillantes études à l’université de Saint Louis, il décide d’aller poursuivre ses études supérieures en France où il décroche son doctorat en droit publique. Ce jeune spécialiste des questions constitutionnelles a su défendre avec abnégation ; brio et une parfaite maitrise du droit constitutionnel lors des débats portant sur la validité ou non de la candidature de l’ex-président Abdoulaye WADE. C’est cet homme de conviction, de rigueur qui se voit confier le poste de Directeur du BSDA. Il faut le dire Dr SY est l’homme qu’il faut à
la place qu’il faut. Donc pourquoi vouloir le déstabiliser ?
Au Sénégal, on a l’impression si quelqu’un (surtout un jeune) à qui on confie un poste de direction, certaines personnes mal intentionnées ne souhaitent que son échec en utilisant divers canaux via les médias. Mais au fond qui sont ces hommes ?
Ce sont ces personnes à qui on douterait même de leur « capacité intellectuelle » et qui se permettent de se considérer comme « défenseurs ou protecteurs de la culture sénégalaise » qui passent tout leur temps à critiquer la gestion du Dr SY.
Je me devais en tant que jeune prendre ma plume et de dire à ces gens là d’arrêter!!!!!!
Critiquer c’est bien mais dans le sens que se soient des accompagnées de solutions et de propositions concrètes.
Vous savez quand docteur SY avait quitté l’enseignement pour diriger le BSDA, ce que ces gens là ne savent pas ou ignorent même c’est que son statut d’enseignant apportait plus (du point de vue finance et intellectuel) qu’à ses fonctions de Directeur.
Par ailleurs, par souci de transparence, le Dr Mounirou SY dès son installation avait fait appel au chargé des finances pour lui demander de lui faire la situation avec exactitude afin de savoir ce à quoi il a droit. Ce qui veut que son salaire avait été fixé par ses services compétents.
Mais maintenant si son prédécesseur avait renoncé à certaines de ses indemnités ; c’était son droit le plus absolu.
critiques constructives,
Dans ce pays, on assiste maintenant à l’apparition du nouveau type de sénégalais (NTS) prôné par mes amis de « y’en a marre », incarné par des jeunes de la trempe du Docteur
SY, qui a su se battre farouchement avec l’aide de son ex-ministre de la Culture Youssou NDOUR pour mettre sur la bonne voie la loi sur la nouvelle société d’auteur. Cette loi, en plus de renforcer les droits d’auteurs, consacrait deux nouveaux droits très important : les droits voisins et les droits de rémunération pour copies privées. Juste pour dire ce sont des droits qui vont rapporter de l’argent à de nouvelles catégories d’acteurs culturels. Le deuxième point important de cette loi, c’est la réforme de la gestion collective. En plus on a noté une nette amélioration du revenu des auteurs qui est passé du simple au double (environ 80.000 millions).
Maintenant, certains « vieux » nostalgique peut être, qui devaient aller à la retraite ou servent de conseillés, se mettent tout le temps à critiquer et à défendre une ex-directrice qui a fait plus de 17 ans dans cette direction. Mais ce qu’ils doivent savoir c’est qu’elle a déjà fait son temps et elle a fait ce qu’elle pouvait faire. Mais ce que ces « vieux » ignorent c’est que les Hommes passent mais les institutions restent. S’il vous plait laissez travailler Docteur Sy
Pour vous Docteur SY : comme le dit le l’adage « le chien aboie, la caravane passe ». Allez y les artistes, la jeunesse, vos employés…….j’en suis sur sont tous derrière vous.
Oumar TRAORE-Juriste
Enseignant/chercheur