Le conseil du prévenu, Me Michel Ndong y est allé de ses réflexions salaces. Il a présenté Awa Mbaye comme une fille de moralité douteuse. l’avocat ne s’en est pas limité là .Il est aller même jusqu'à évoqué l’affaire « Goudi town » ; il s’agit d’une vidéo postée , il y a trois ans sur internet montrant Ndéye Guéye dans des danses lascives et qui avait valu à la danseuse et certains de ses collègues d’être traduites en justice pour outrage aux bonnes mœurs. Selon l’avocat la fille cherche à incriminé son client mieux il exige la relaxe de son client car pour lui il n’y a pas .Quant à Awa Mbaye elle, elle persiste d’avoir était violé par Tiam « téranga ». Cependant aux yeux du procureur, les faits sont constant « le prévenu n’est pas cohérant dans ses déclarations. Il veut brouiller les pistes en soutenant que la partie civile s’est rendu chez lui à 3h du matin il est de mauvaise foi » a martelé Cheikh Dieng qui a requis cinq ans ferme. Awa Mbaye n’a pas demandé de dommage et intérêt « je n’attends rien de lui. Je veux uniquement que justice soit rendu « assène t –elle.
Moussfa
Moussfa
La famille de Mamadou Diop accuse : « C’est un montage pour piéger Thiam »
LERAL.NET - Pape Amadou Niang porte la parole de la famille de Mamadou Diop alias Thiam Téranga qui est accusé de viol par une amie de la danseuse Ndèye Guèye. Dans un entretien avec le quotidien l’Observateur lu par Leral.net, Pape Amadou Niang démonte les arguments d’Awa Mbaye dont les accointances avec son cousin a valu à ce dernier un séjour carcéral en attendant le délibéré qui est fixé au 30 aout prochain.
La conviction de Pape Amadou Niang est faite dans cette affaire. Pour lui, la fille Awa Mbaye a été manipulée. En tout cas, c’est elle-même qui leur aurait confié qu’elle a été influencée dans sa démarche qui a consisté à faire écrouer un des leurs, en l’occurrence Thiam Téranga. Ce, devant un certain Serigne Cheikhouna Mbacké, marabout de la famille du prévenu. « Versant de chaudes larmes, elle a avoué avoir été entrainée dans cette histoire. Pour protéger celle qui l’avait entrainé dans cette histoire, elle n’a pas voulu que son nom soit cité lors du procès », dira le cousin de l’accusé. A l’en croire, quand Awa Mbaye soutient devant le juge qu’elle ne demande à Thiam Téranga le moindre centime, elle raconte des balivernes puisque lors de la médiation entreprise par le marabout, la partie civile leur a fixé une somme (400 000 francs) pour que l’affaire soit oubliée. Amadou Niang est convaincu que son cousin est victime de la cabale d’un gang de filles véreuses qui n’en ont que pour son argent. « C’est un montage pour piéger Thiam », convainc-t-il avant de faire une révélation : « le jour de la soirée, sur le chemin du retour, deux malfrats ont essayé de l’agresser à bord de son scooter, mais ça n’a pas marché. C’est par la suite qu’elles ont mis sur pied le plan B ».
La conviction de Pape Amadou Niang est faite dans cette affaire. Pour lui, la fille Awa Mbaye a été manipulée. En tout cas, c’est elle-même qui leur aurait confié qu’elle a été influencée dans sa démarche qui a consisté à faire écrouer un des leurs, en l’occurrence Thiam Téranga. Ce, devant un certain Serigne Cheikhouna Mbacké, marabout de la famille du prévenu. « Versant de chaudes larmes, elle a avoué avoir été entrainée dans cette histoire. Pour protéger celle qui l’avait entrainé dans cette histoire, elle n’a pas voulu que son nom soit cité lors du procès », dira le cousin de l’accusé. A l’en croire, quand Awa Mbaye soutient devant le juge qu’elle ne demande à Thiam Téranga le moindre centime, elle raconte des balivernes puisque lors de la médiation entreprise par le marabout, la partie civile leur a fixé une somme (400 000 francs) pour que l’affaire soit oubliée. Amadou Niang est convaincu que son cousin est victime de la cabale d’un gang de filles véreuses qui n’en ont que pour son argent. « C’est un montage pour piéger Thiam », convainc-t-il avant de faire une révélation : « le jour de la soirée, sur le chemin du retour, deux malfrats ont essayé de l’agresser à bord de son scooter, mais ça n’a pas marché. C’est par la suite qu’elles ont mis sur pied le plan B ».