Dans les colonnes du journal l’observateur, notre confrère est revenu sur la descente des nervis chez Tanor et Niasse. Ce jour-là, d’autres nervis ont apporté leur soutien à Tanor et à Niasse, aidés en cela par des agences de sécurité. Mais il suffisait de peu pour qu’il y ait mort d’homme. Mais le pire a été évité de justesse. Sans que personne ne soit mis aux arrêts. Jusque hier, personne n’a été arrêtée pour ces faits dangereux.
La mort de Ndiaga Diouf va refroidir les ardeurs des nervis. Il intervient à la veille de ce vendredi 23 décembre tant redouté. Jour choisi aussi bien par la mouvance présidentielle pour organiser leur congrès d’investiture, mais aussi par le mouvement du 23 juin pour tenir leur congrès du peuple. Un jour lourd de danger. Avec des potentiels risques d’affrontements. Car Barthélémy Dias a laissé entendre que « si le ministre de l’intérieur na prend pas des dispositions pour sécuriser Dakar, stopper les nervis, il n’y aura pas de congrès d’investiture ». En d’autres termes si les autorités ne mettent pas fin au recrutement des nervis, pour s’en prendre à ses adversaire politiques, le Sénégal connaitra à coup sur d’autres Ndiaga Diouf.
La mort de Ndiaga Diouf va refroidir les ardeurs des nervis. Il intervient à la veille de ce vendredi 23 décembre tant redouté. Jour choisi aussi bien par la mouvance présidentielle pour organiser leur congrès d’investiture, mais aussi par le mouvement du 23 juin pour tenir leur congrès du peuple. Un jour lourd de danger. Avec des potentiels risques d’affrontements. Car Barthélémy Dias a laissé entendre que « si le ministre de l’intérieur na prend pas des dispositions pour sécuriser Dakar, stopper les nervis, il n’y aura pas de congrès d’investiture ». En d’autres termes si les autorités ne mettent pas fin au recrutement des nervis, pour s’en prendre à ses adversaire politiques, le Sénégal connaitra à coup sur d’autres Ndiaga Diouf.