« Nous sommes obligés de venir travailler, mais c’est très difficile. On est obligés d’envoyer de l’argent pour qu’on amène de la marchandise, parce qu’on ne plus se déplacer. Il y a aussi que le marché qui ouvre à 7h, doit obligatoirement fermer à 15h », déclare Assane Babou, vice-président du marché de Khombole.
Au marché de Kaba, c’est la même situation, mais les commerçants ne cachent pas leur peur de contracter le virus, malgré toutes les dispositions prises, avec le lavage des mains et le port du masque obligatoire. Surtout à cause des autres commerçants qui viennent d’autres localités, notamment de Thiès, pour vendre leurs produits aux marchés de Khombole et de Kaba. Ce qui renforce l’insécurité, selon plusieurs commerçants. « On ne sait pas avec qui on est assis, s’il est malade ou pas. Nous travaillons, la peur au ventre », disent-ils.
A Khombole et à Kaba, même si les mesures restrictives sont respectées, notamment la fermeture des mosquées et autres lieux de culte de rassemblement, les populations disent toujours attendre l’aide de l’Etat, dans le cadre de la Force Covid-19.
Par Bassirou Seck, Dieyna Sangaré & Yoro Sidibé
Au marché de Kaba, c’est la même situation, mais les commerçants ne cachent pas leur peur de contracter le virus, malgré toutes les dispositions prises, avec le lavage des mains et le port du masque obligatoire. Surtout à cause des autres commerçants qui viennent d’autres localités, notamment de Thiès, pour vendre leurs produits aux marchés de Khombole et de Kaba. Ce qui renforce l’insécurité, selon plusieurs commerçants. « On ne sait pas avec qui on est assis, s’il est malade ou pas. Nous travaillons, la peur au ventre », disent-ils.
A Khombole et à Kaba, même si les mesures restrictives sont respectées, notamment la fermeture des mosquées et autres lieux de culte de rassemblement, les populations disent toujours attendre l’aide de l’Etat, dans le cadre de la Force Covid-19.
Par Bassirou Seck, Dieyna Sangaré & Yoro Sidibé