Ils avaient prévu d'attaquer deux ou trois banques pour être sûrs de rentrer dans leurs fonds, une fois retour de la première zone de guerre véritable où le Sénégal envoyait ses fils, le Liberia de Charles Taylor. L'État de Abdou Diouf mis au parfum les a dispersés sur le territoire national, majoritairement en Casamance ; la tension permanente locale les occuperait, avançait-on dans certains services de sécurité militaires, avec juste raison d'ailleurs. Il en sera de même pour les officiers : des affectations de complaisance leur permettront de se rattraper. Parmi eux, un certain Mountaga Diallo et un futur chef d'état-major général (Pape M. Fall, pour ne pas le nommer). C'était au début années 90, lorsque les "Diambars" du Libéria auront fait montre d'un professionnalisme reconnu par les États-Unis et la France.
Depuis leur retour, en 1993, ils attendent leur dû dignement, en hommes disciplinés, prêts pour le service qu'ils ont assuré au Sénégal, principalement en Casamance, et à l'extérieur
Depuis, les rescapés de l'enfer du Liberia attendent toujours leurs sous, sous le ciel des tropiques, et espèrent que les nouvelles autorités civiles et militaires les incluront dans les sacrifices consentis pour ceux qui ont honoré leur pays ici et ailleurs, sur le territoire des opérations extérieures.
Pathembodji.com
Depuis leur retour, en 1993, ils attendent leur dû dignement, en hommes disciplinés, prêts pour le service qu'ils ont assuré au Sénégal, principalement en Casamance, et à l'extérieur
Depuis, les rescapés de l'enfer du Liberia attendent toujours leurs sous, sous le ciel des tropiques, et espèrent que les nouvelles autorités civiles et militaires les incluront dans les sacrifices consentis pour ceux qui ont honoré leur pays ici et ailleurs, sur le territoire des opérations extérieures.
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