Entourée d'une nuée de caméras et d'appareils photo, la blonde jeune fille de 22 ans a éclipsé les autres candidats du Front national dans le département lors d'une conférence de presse organisée à Cavaillon sous l'égide du président d'honneur du parti.
"Je ne débute pas réellement en politique car j'ai déjà été candidate à deux reprises, aux municipales à Saint-Cloud et aux dernières régionales en 2010 où j'étais deuxième de liste dans les Yvelines", s'est-elle justifiée d'emblée.
"Adhérente au Front national depuis mes 17 ans, militante de terrain depuis très longtemps (...), je dispose d'une certaine légitimité à être candidate. C'est vrai que la députation, c'est quelque chose de tout nouveau et c'est une énorme responsabilité, donc nous allons battre le terrain au maximum", a poursuivi Marion Le Pen, après s'être rendue sur un marché de Carpentras dans la matinée.
Sans "fantasmer" sur la fonction de députée, elle a estimé avoir "de grandes chances d'être élue au vu des circonstances actuelles qui nous donnent raison, en particulier dans le Vaucluse qui souffre peut-être encore plus que le reste de la France des maux que nous dénonçons depuis des dizaines d'années".
Pas coachée par sa famille
La petite-fille de Jean-Marie Le Pen a par ailleurs démenti s'engager en politique "par mimétisme". "Je ne suis pas coachée par ma famille, je suis autonome, avec ma personnalité et mon point de vue (...) Je ne suis pas la marionnette de mon grand-père, contrairement à ce que peut dire Jean-Michel Ferrand (le député UMP sortant)", a insisté Marion Le Pen.
Le Vaucluse est une terre sensible aux thèses du FN. Marine Le Pen y a réalisé son meilleur score national au 1er tour de la présidentielle (27,03%, juste derrière Nicolas Sarkozy). Et c'est dans la 3e circonscription, qui inclut une partie de Carpentras, que le FN a battu son record national le 22 avril, avec 31,5% des voix. C'est également dans le canton de Carpentras-nord que le FN compte son seul conseiller général de France.
SOURCE:7sur7.be
"Je ne débute pas réellement en politique car j'ai déjà été candidate à deux reprises, aux municipales à Saint-Cloud et aux dernières régionales en 2010 où j'étais deuxième de liste dans les Yvelines", s'est-elle justifiée d'emblée.
"Adhérente au Front national depuis mes 17 ans, militante de terrain depuis très longtemps (...), je dispose d'une certaine légitimité à être candidate. C'est vrai que la députation, c'est quelque chose de tout nouveau et c'est une énorme responsabilité, donc nous allons battre le terrain au maximum", a poursuivi Marion Le Pen, après s'être rendue sur un marché de Carpentras dans la matinée.
Sans "fantasmer" sur la fonction de députée, elle a estimé avoir "de grandes chances d'être élue au vu des circonstances actuelles qui nous donnent raison, en particulier dans le Vaucluse qui souffre peut-être encore plus que le reste de la France des maux que nous dénonçons depuis des dizaines d'années".
Pas coachée par sa famille
La petite-fille de Jean-Marie Le Pen a par ailleurs démenti s'engager en politique "par mimétisme". "Je ne suis pas coachée par ma famille, je suis autonome, avec ma personnalité et mon point de vue (...) Je ne suis pas la marionnette de mon grand-père, contrairement à ce que peut dire Jean-Michel Ferrand (le député UMP sortant)", a insisté Marion Le Pen.
Le Vaucluse est une terre sensible aux thèses du FN. Marine Le Pen y a réalisé son meilleur score national au 1er tour de la présidentielle (27,03%, juste derrière Nicolas Sarkozy). Et c'est dans la 3e circonscription, qui inclut une partie de Carpentras, que le FN a battu son record national le 22 avril, avec 31,5% des voix. C'est également dans le canton de Carpentras-nord que le FN compte son seul conseiller général de France.
SOURCE:7sur7.be