Après de longs mois de calvaire, les agents de la cellule de communication de la présidence de la République sont encore dans l’expectative. Malgré les onze mois d’arriérés de salaires et d’incessantes sollicitations des autorités gouvernementales et des collaborateurs du Chef de l’Etat, les travailleurs au service du président de la République, attendent avec impatience une audience avec Me Wade pour le règlement de leurs salaires.
Le collectif des agents de la cellule de communication a, dans un communiqué envoyé hier, mercredi 27 octobre, démenti toutes informations véhiculées et faisant état d’une rencontre avec le président de la République.« Suite à une information véhiculée, faisant état d’une audience que le président nous aurait accordée, le 20 octobre 2010, en présence d’Habib Sy, Aminata Tall et Serigne Mbacké Ndiaye. Nous agents de la cellule communication, précisons que rien de tout cela n’est fondé. Jusque-là nous n’avons pas été reçus par le président de la République et continuons à en formuler la demande », souligne ces agents qui estiment avoir été laissé en rade dans leur locaux à Mermoz depuis le départ de Hassan Bâ de la cellule qu’il a piloté à ses débuts.
Aujourd’hui, en attendant d’accéder à ce souhait de rencontrer le président Wade, « seul a même de réparer cette injustice », les travailleurs entendent poursuivre le combat à travers différentes actions. Sur ce, ils ont dores et déjà commis l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye pour « le règlement heureux » de ce problème qui constitue, à leur sens, une violation flagrante des Droits humains. « Pour le respect de nos droits, Me Assane Dioma Ndiaye a été chargé, par nous-mêmes, de prendre toutes initiatives en vue d’un. Le choix de Me Assane Dioma Ndiaye s’explique par sa double qualité d’avocat et de coordonnateur de la Ligue sénégalaise des Droits humains », informent encore les membres de la cellule présidentielle.
Aussi envisagent-t-ils d’organiser dans les jours à venir, un point de presse auquel ils invitent « tous les citoyens épris de paix, de justice et de respect des Droits fondamentaux de l’Homme ». « Nous avons envoyé des lettres d’informations et des demandes de soutien aux représentants des organismes internationaux, particulièrement à l’Organisation internationale du Travail (Oit). Nous entendons poursuivre notre combat, qui est celui du respect de la dignité humaine. En attendant, nous souhaitons rencontrer le chef de l’Etat », précisent-t-ils
sudonline.sn
Le collectif des agents de la cellule de communication a, dans un communiqué envoyé hier, mercredi 27 octobre, démenti toutes informations véhiculées et faisant état d’une rencontre avec le président de la République.« Suite à une information véhiculée, faisant état d’une audience que le président nous aurait accordée, le 20 octobre 2010, en présence d’Habib Sy, Aminata Tall et Serigne Mbacké Ndiaye. Nous agents de la cellule communication, précisons que rien de tout cela n’est fondé. Jusque-là nous n’avons pas été reçus par le président de la République et continuons à en formuler la demande », souligne ces agents qui estiment avoir été laissé en rade dans leur locaux à Mermoz depuis le départ de Hassan Bâ de la cellule qu’il a piloté à ses débuts.
Aujourd’hui, en attendant d’accéder à ce souhait de rencontrer le président Wade, « seul a même de réparer cette injustice », les travailleurs entendent poursuivre le combat à travers différentes actions. Sur ce, ils ont dores et déjà commis l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye pour « le règlement heureux » de ce problème qui constitue, à leur sens, une violation flagrante des Droits humains. « Pour le respect de nos droits, Me Assane Dioma Ndiaye a été chargé, par nous-mêmes, de prendre toutes initiatives en vue d’un. Le choix de Me Assane Dioma Ndiaye s’explique par sa double qualité d’avocat et de coordonnateur de la Ligue sénégalaise des Droits humains », informent encore les membres de la cellule présidentielle.
Aussi envisagent-t-ils d’organiser dans les jours à venir, un point de presse auquel ils invitent « tous les citoyens épris de paix, de justice et de respect des Droits fondamentaux de l’Homme ». « Nous avons envoyé des lettres d’informations et des demandes de soutien aux représentants des organismes internationaux, particulièrement à l’Organisation internationale du Travail (Oit). Nous entendons poursuivre notre combat, qui est celui du respect de la dignité humaine. En attendant, nous souhaitons rencontrer le chef de l’Etat », précisent-t-ils
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