Durant le khilafa de SERIGNE FALLOU beaucoup de détracteurs du Mouridisme se demandaient comment il pouvait soutenir Leopol Sedar Sengor et délaisser Lamine Gueye qui est un candidat musulman? Avec sa sagesse et sa piété inégalable, il leur répondit : si ce musulman candidat avait manifesté une aussi grande considération pour SERIGNE TOUBA et sa communauté comme son opposant chrétien, ils occuperaient la même place.
En 1988 l’opposant Abdoulaye Wade était disciple de SERIGNE ABDOU KHADR et le président de l’époque Abdou Diouf n’avait aucune adhésion confrérique. Cependant SERIGNE ABDOUL AHAD un véridique avéré a soutenu ouvertement Abdou Diouf le non-Mouride. Depuis la disparition de notre vénéré grand père SERIGNE SALIOU beaucoup de politiciens ont retourné leur veston. En guise d’exemple ses champs situés «Pout» ont été retirés à sa famille au profit d’un milliardaire étranger, les milliards des travaux de construction des chantiers de Touba ont connu de mauvais jour.
La corruption qui est une arme redoutable contre certains chefs religieux a comme but une démystification de ces hommes de Ndiguel. Le fait de fricoter avec ces politiciens et de se détourner de leur mission présente un réel risque pour l’élite religieux. Donc, prendre comme argument un candidat est un Mouride sans pour autant prouver la non-mouridté de son opposant revient à remettre en question ces soutiens historiques proclamés par SERIGNE FALLOU et SERIGNE ABDOU AHAD. De source sure des millions sont injectés dans le milieu religieux pour décrocher des Ndiguel auprès des porteurs de voies. La question à nous demander est la suivante : ces dignitaires Mourides et Bayfall sont-ils en train de légitimer un hold-up électoral qui plongerait notre cher Sénégal dans une impasse?
Pourquoi devant le souhait de SERIGNE SIDY MAKHATAR de préserver la paix au Sénégal, ces marabouts ne se portent pas comme acteurs et gardiens de cette stabilité? Sont-ils sourds aux maux de la nation sénégalaise vivant sous le joug d’une conjoncture sociale extrême? Revenons à l’essence de nos valeurs soit« Travailler comme vous ne devez jamais mourir, et adorer Dieu comme vous mourrez demain».
En 1988 l’opposant Abdoulaye Wade était disciple de SERIGNE ABDOU KHADR et le président de l’époque Abdou Diouf n’avait aucune adhésion confrérique. Cependant SERIGNE ABDOUL AHAD un véridique avéré a soutenu ouvertement Abdou Diouf le non-Mouride. Depuis la disparition de notre vénéré grand père SERIGNE SALIOU beaucoup de politiciens ont retourné leur veston. En guise d’exemple ses champs situés «Pout» ont été retirés à sa famille au profit d’un milliardaire étranger, les milliards des travaux de construction des chantiers de Touba ont connu de mauvais jour.
La corruption qui est une arme redoutable contre certains chefs religieux a comme but une démystification de ces hommes de Ndiguel. Le fait de fricoter avec ces politiciens et de se détourner de leur mission présente un réel risque pour l’élite religieux. Donc, prendre comme argument un candidat est un Mouride sans pour autant prouver la non-mouridté de son opposant revient à remettre en question ces soutiens historiques proclamés par SERIGNE FALLOU et SERIGNE ABDOU AHAD. De source sure des millions sont injectés dans le milieu religieux pour décrocher des Ndiguel auprès des porteurs de voies. La question à nous demander est la suivante : ces dignitaires Mourides et Bayfall sont-ils en train de légitimer un hold-up électoral qui plongerait notre cher Sénégal dans une impasse?
Pourquoi devant le souhait de SERIGNE SIDY MAKHATAR de préserver la paix au Sénégal, ces marabouts ne se portent pas comme acteurs et gardiens de cette stabilité? Sont-ils sourds aux maux de la nation sénégalaise vivant sous le joug d’une conjoncture sociale extrême? Revenons à l’essence de nos valeurs soit« Travailler comme vous ne devez jamais mourir, et adorer Dieu comme vous mourrez demain».