Tout le long de son règne, Ablaye Wade s’est employé à une série de bavardages effrénés et passéistes : Népad, rabâchage sur l’antériorité de la race noire, renaissance, Fesman, érection de ce maudit monument du diable dit « celui de la renaissance africaine», etc. Cela dit long sur le peu de souci de ce complexé de Senghor de travailler au salut du peuple sénégalais qui l’attendait tel un sauveur, un messie, voire une solution – refuge. Tous les vrais acteurs de cette alternance chantée et enviée à travers le monde ont été esseulés comme des pestiférées de la période médiévale. Il s’est fait environner d’une clique de valets louangeurs, grignotant sensiblement les caisses de l’Etat et dont l’utilité s’avérait être synonyme de nullité. Mais, ils l’ont aidé, quand même, dans sa mission : sucer le sang du peuple jusqu’à la dernière goutte : mettre à genou son tissu industriel, affamer davantage goorgorlou, dynamiter son système éducatif, arracher insolemment les terres des mains des braves paysans ,opposer les familles religieuses, accentuer la perversion des mœurs, gauchir la solennité de notre constitution, désacraliser nos institutions, contraindre les jeunes à l’exil vers d’autres cieux plus prometteurs, usurper la volonté des populations , tuer les compatriotes impunément , intensifier la rébellion en Casamance, faire couler le « Joola » pour des raisons mystiques ,étrangler la liberté d’expression pour ne citer que cette partie visible de l’iceberg.
Le peuple à bout de nerfs a donné un signal fort depuis 2009 mais, on a comme l’intension que Wade et sa bande d’abimeurs de la République sont atteints de cécité. Ils continuaient à s’être distingués dans le pillage systématique des ressources publiques. Des parvenus sont ainsi devenus financièrement dodus et, au premier rang desquels, son fils biologique, Karim Wade. Ce dernier, maître d’œuvre des cochonneries au niveau de la corniche était mis sur un piédestal fabuleux par ce que doré de 432 milliards de nos francs. Sans aucune expérience gouvernementale, l’ex-courtier du Président déchu de la France, Nicolas Sarkozy l’a nommé Ministre d’Etat Ministre du ciel et de la terre de Sunugaal. Wade-fils, dévaliseur éhonté du peuple se tape d’un jet privé pour se pavaner à Rabat, Paris, Londres, Tokyo et New York.
Défait au terme d’un deuxième tour de la Présidentielle du 26 Février 2012 où il a franchi le Rubicon de l’illégalité pour être partant , la torse Wade « refuse » encore de quitter le pays de la Téranga pour aller déposer, selon ses propres mots, son sac de péchés aux Lieux Saints de l’Islam. Il joue à saper la morale de la nouvelle équipe gouvernementale. Et on le voit ou l’entendre débiter des énormités qui ne le grandissent pas, du genre : « Je peux rendre ce pays ingouvernable».Indigne d’un ex-chef d’Etat !
Nous invitons le Président Macky Sall et son gouvernement à ne se fier au populisme verbal de ce vieux qui a tristement raté le train de l’histoire.
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste
Tel : 77 728 40 52/76 386 45 95
E-mail : yboupenda@yahoo.fr
Le peuple à bout de nerfs a donné un signal fort depuis 2009 mais, on a comme l’intension que Wade et sa bande d’abimeurs de la République sont atteints de cécité. Ils continuaient à s’être distingués dans le pillage systématique des ressources publiques. Des parvenus sont ainsi devenus financièrement dodus et, au premier rang desquels, son fils biologique, Karim Wade. Ce dernier, maître d’œuvre des cochonneries au niveau de la corniche était mis sur un piédestal fabuleux par ce que doré de 432 milliards de nos francs. Sans aucune expérience gouvernementale, l’ex-courtier du Président déchu de la France, Nicolas Sarkozy l’a nommé Ministre d’Etat Ministre du ciel et de la terre de Sunugaal. Wade-fils, dévaliseur éhonté du peuple se tape d’un jet privé pour se pavaner à Rabat, Paris, Londres, Tokyo et New York.
Défait au terme d’un deuxième tour de la Présidentielle du 26 Février 2012 où il a franchi le Rubicon de l’illégalité pour être partant , la torse Wade « refuse » encore de quitter le pays de la Téranga pour aller déposer, selon ses propres mots, son sac de péchés aux Lieux Saints de l’Islam. Il joue à saper la morale de la nouvelle équipe gouvernementale. Et on le voit ou l’entendre débiter des énormités qui ne le grandissent pas, du genre : « Je peux rendre ce pays ingouvernable».Indigne d’un ex-chef d’Etat !
Nous invitons le Président Macky Sall et son gouvernement à ne se fier au populisme verbal de ce vieux qui a tristement raté le train de l’histoire.
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste
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