« Monsieur le président de la République, je vous appelle en tant de garant des institutions, à repousser l’élection au regard de cette situation qui prévaut. Nous constatons que la Cour constitutionnel est accusée. Elle ne peut plus arbitrer pour désigner le prochain président de la République… , considère Ahmed Khalifa Niasse, qui ne fait pas dans la langue de bois, quand il s’agit selon lui, « de l’intérêt supérieur de la nation ».
Considérant les réalisations du chef de l’État, son bilan, le natif de Kaolack ne veut pas être regardant sur « une situation qui risque de provoquer la non-sincérité du suffrage…».
Ahmed Khalifa Niasse qui connaît bien le bilan du Président Macky Sall, prend les devants pour que l'élection soit repoussée à une date ultérieure
« Vous devez tout faire pour sauvegarder ce bilan. Pour cela, il ne faut pas laisser cette situation perdurer. Prenez vos responsabilités pour que nous puissions aller vers une élection apaisée…», a confié le guide religieux. Avant de faire cette proposition, Ahmed Khalifa Niasse indique avoir échangé, sur cette situation avec plusieurs guides religieux, qui ont marqué leur intérêt à voir les acteurs travailler pour un scrutin transparent et apaisé. Même « des gens de la société civile ont été consultés », d’après Ahmed Khalifa Niasse, qui appelle à « sauver le Sénégal ».
Considérant les réalisations du chef de l’État, son bilan, le natif de Kaolack ne veut pas être regardant sur « une situation qui risque de provoquer la non-sincérité du suffrage…».
Ahmed Khalifa Niasse qui connaît bien le bilan du Président Macky Sall, prend les devants pour que l'élection soit repoussée à une date ultérieure
« Vous devez tout faire pour sauvegarder ce bilan. Pour cela, il ne faut pas laisser cette situation perdurer. Prenez vos responsabilités pour que nous puissions aller vers une élection apaisée…», a confié le guide religieux. Avant de faire cette proposition, Ahmed Khalifa Niasse indique avoir échangé, sur cette situation avec plusieurs guides religieux, qui ont marqué leur intérêt à voir les acteurs travailler pour un scrutin transparent et apaisé. Même « des gens de la société civile ont été consultés », d’après Ahmed Khalifa Niasse, qui appelle à « sauver le Sénégal ».