«En 2024, s’il plaît à Dieu, nous allons gagner l’élection présidentielle. Parfois il y a des hommes politiques qui annoncent leur candidat alors qu’ils n’ont pas deux militants derrière eux. Et nous n’en ferons pas partie parce qu’avec les fortes mobilisations qui nous ont accompagné lors de la campagne électorale, il n’y a pas de doute que le pays sera entre nos mains au soir de cette élection présidentielle», rassure le membre de la coalition Yewwi Askan Wi.
Ousmane Sonko se dit satisfait du fait que, dit-il, Pastef est, au niveau de l’opposition, le parti qui a le plus de maire et de président de conseil départemental lors des élections locales de janvier dernier. A cela s’ajoute le score enregistré récemment avec les élections législatives. Tous ces résultats ont été réalisés seulement en 7 ans. Ce qui signifie qu’en 2024, s’il plait à Dieu, nous allons diriger le pays», déclare-t-il.
Le leader de Pastef a profité de son discours devant les militants et sympathisants pour apporter la réplique par rapport à l’information selon laquelle, des tractions sont en train d’être menées au niveau du Palais pour lui empêcher de se présenter en 2024.
«Personne ne peut nous empêcher de présenter notre candidature. Ils peuvent renforcer la gendarmerie, recruter des magistrats ou organiser des rencontres au palais pour faire échouer notre projet, mais ce sera peine perdue», peste-t-il.
Ousmane Sonko se dit satisfait du fait que, dit-il, Pastef est, au niveau de l’opposition, le parti qui a le plus de maire et de président de conseil départemental lors des élections locales de janvier dernier. A cela s’ajoute le score enregistré récemment avec les élections législatives. Tous ces résultats ont été réalisés seulement en 7 ans. Ce qui signifie qu’en 2024, s’il plait à Dieu, nous allons diriger le pays», déclare-t-il.
Le leader de Pastef a profité de son discours devant les militants et sympathisants pour apporter la réplique par rapport à l’information selon laquelle, des tractions sont en train d’être menées au niveau du Palais pour lui empêcher de se présenter en 2024.
«Personne ne peut nous empêcher de présenter notre candidature. Ils peuvent renforcer la gendarmerie, recruter des magistrats ou organiser des rencontres au palais pour faire échouer notre projet, mais ce sera peine perdue», peste-t-il.