Mamadou Diop Decroix, secrétaire général d’And-Jef/PADS, s’est montré très alerte et averti de l’évolution politique du pays et de ses différentes péripéties. Il a pris son engagement à conquérir les suffrages des Sénégalais à l’élection présidentielle de février 2024. Et face à une salle archi-comble, constituée de militants et de sympathisants de son parti, il a fait étalage de son expérience politique, très ancrée dans les réalités du monde actuel. Brièvement, il a procédé à une conscientisation des leaders politiques, ainsi que des populations, qui semblent être dans une autre dynamique de violence, de tiraillements et d’invectives, susceptible d’installer une instabilité méconnue des Sénégalais.
Très pratique dans sa démarche, il a évoqué le recensement général de la population et de l’habitat, engagé par l’Agence nationale de la Statistique et de la démographie, pour démontrer l’infériorité numérique des populations intéressées par la politique et le processus électoral. Il précise qu’à l’issue de ce recensement, la population sénégalaise pourra, peut-être, atteindre les 18 millions d’habitants. « Entre la population en âge de voter et celle inscrite, il y a peut-être une différence de 1 million à deux millions ou plus. La majorité des inscrits ne votent pas. Il faut simplement dire que ceux s’activent en politique, ne sont pas les plus nombreux », prévient Mamadou Diop Decroix. Et de cette population, souligne-t-il, le nombre de personnes inscrites sur les listes électorales, serait insignifiant par rapport à la population globale. Donc, il exhorte à tenir compte de cette masse silencieuse qui souhaitent vivre dans une paix durable. M. Diop Decroix appelle les politiques à la prudence.
Ainsi, le leader d’And-Jef/PADS relève le fait que beaucoup de Sénégalais, des autorités, ont envoyé des émissaires pour lui parler. D’autres qui appuient financièrement. En plus de la volonté du parti d’avoir un candidat, il s’est dit donc, qu’il portera une attention particulière à tout cela. Fondamentalement, il a considéré qu’il en serait capable de conduire les destinées du pays. Avec une expérience politique de 50 ans, il remercie Dieu de l’avoir accorder cette longévité politique. N’empêche, en plus d’avoir vécu des expériences du pouvoir, il a rappelé les nombreux moments et évènements difficiles traversés avec des compagnons de lutte qui ont perdu la vie ou avec d’autres qui sont morts naturellement.
Le leader d’And-Jef/PADS se souvient des nombreux obstacles, pièges et embûches. Le candidat Diop Decroix qui égratigne le Président Sall avec son Plan Sénégal émergent, promet de parler aux Sénégalais sans démagogie. En politique, il souligne la nécessité d’avoir une vision et une stratégie dynamique. « Le Sénégal est un pays adorable. Je ne le dis pas pour séduire. Je le pense et le vit. Regarder l’ensemble des pays de la Cedeao, le Sénégal est le seul pays où il n’y a jamais eu de coup d’Etat. Ce n’est pas un hasard », s’enorgueillit Diop M. Decroix.
Mais, il constate que depuis un certain temps, le Sénégal traverse une phase de crise et de rudes épreuves, nécessitant des échanges sincères. Il signale qu’au Sénégal, les gens parlent beaucoup, mais, ils ne s’écoutent pas. Raison pour laquelle, il promet que sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, sera un moment de faire falloir un discours qui sera différent de ce qu’on a l’habitude d’entendre. M. Diop Decroix a parle de l’idéologie de la Gauche, pour faire la différence d'avec une autre perception. Cette idéologie, dont il parle, s’attache au peuple des marginalisés.
Malgré tout, Mamadou Diop Decroix estime qu’un discours est nécessaire. Parce que tout simplement, un système a été laissé ici, depuis 63 ans. « On nous a laissé un système. Après l’époque coloniale, les Anglais sont partis sans se soucier des colonisés, les Portigais ont été chassés pour partir. Mais, les Francais sont partis de manière hypocrite », décrypte-t-il. D’après Mamadou Diop Decroix, l’opposition a des raisons de s’unir. Il n’est pas nécessaire de se planter des couteaux. Chacun pourra décider de participer au dialogue. Dans la vie, insiste-t-il, il exige de partir des réalités, tout en fustigeant l’absence d’établissement d’un rapport de force pour évaluer cette situation.
Très pratique dans sa démarche, il a évoqué le recensement général de la population et de l’habitat, engagé par l’Agence nationale de la Statistique et de la démographie, pour démontrer l’infériorité numérique des populations intéressées par la politique et le processus électoral. Il précise qu’à l’issue de ce recensement, la population sénégalaise pourra, peut-être, atteindre les 18 millions d’habitants. « Entre la population en âge de voter et celle inscrite, il y a peut-être une différence de 1 million à deux millions ou plus. La majorité des inscrits ne votent pas. Il faut simplement dire que ceux s’activent en politique, ne sont pas les plus nombreux », prévient Mamadou Diop Decroix. Et de cette population, souligne-t-il, le nombre de personnes inscrites sur les listes électorales, serait insignifiant par rapport à la population globale. Donc, il exhorte à tenir compte de cette masse silencieuse qui souhaitent vivre dans une paix durable. M. Diop Decroix appelle les politiques à la prudence.
Ainsi, le leader d’And-Jef/PADS relève le fait que beaucoup de Sénégalais, des autorités, ont envoyé des émissaires pour lui parler. D’autres qui appuient financièrement. En plus de la volonté du parti d’avoir un candidat, il s’est dit donc, qu’il portera une attention particulière à tout cela. Fondamentalement, il a considéré qu’il en serait capable de conduire les destinées du pays. Avec une expérience politique de 50 ans, il remercie Dieu de l’avoir accorder cette longévité politique. N’empêche, en plus d’avoir vécu des expériences du pouvoir, il a rappelé les nombreux moments et évènements difficiles traversés avec des compagnons de lutte qui ont perdu la vie ou avec d’autres qui sont morts naturellement.
Le leader d’And-Jef/PADS se souvient des nombreux obstacles, pièges et embûches. Le candidat Diop Decroix qui égratigne le Président Sall avec son Plan Sénégal émergent, promet de parler aux Sénégalais sans démagogie. En politique, il souligne la nécessité d’avoir une vision et une stratégie dynamique. « Le Sénégal est un pays adorable. Je ne le dis pas pour séduire. Je le pense et le vit. Regarder l’ensemble des pays de la Cedeao, le Sénégal est le seul pays où il n’y a jamais eu de coup d’Etat. Ce n’est pas un hasard », s’enorgueillit Diop M. Decroix.
Mais, il constate que depuis un certain temps, le Sénégal traverse une phase de crise et de rudes épreuves, nécessitant des échanges sincères. Il signale qu’au Sénégal, les gens parlent beaucoup, mais, ils ne s’écoutent pas. Raison pour laquelle, il promet que sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, sera un moment de faire falloir un discours qui sera différent de ce qu’on a l’habitude d’entendre. M. Diop Decroix a parle de l’idéologie de la Gauche, pour faire la différence d'avec une autre perception. Cette idéologie, dont il parle, s’attache au peuple des marginalisés.
Malgré tout, Mamadou Diop Decroix estime qu’un discours est nécessaire. Parce que tout simplement, un système a été laissé ici, depuis 63 ans. « On nous a laissé un système. Après l’époque coloniale, les Anglais sont partis sans se soucier des colonisés, les Portigais ont été chassés pour partir. Mais, les Francais sont partis de manière hypocrite », décrypte-t-il. D’après Mamadou Diop Decroix, l’opposition a des raisons de s’unir. Il n’est pas nécessaire de se planter des couteaux. Chacun pourra décider de participer au dialogue. Dans la vie, insiste-t-il, il exige de partir des réalités, tout en fustigeant l’absence d’établissement d’un rapport de force pour évaluer cette situation.