A la suite de la publication de la liste des candidats admis à compétir à l’élection présidentielle du 24 mars 2024,et le retour de ces questions de mes concitoyens, moi Boubacar Sèye, citoyen sénégalais, je me dois de sortir de ma réserve et porter à la connaissance de l’opinion publique comme internationale, mon choix, sans hésitation ni faille, porté sur des élections paisibles, inclusives et transparentes.
En effet, ce choix logique reflète ma volonté de participer au changement radical de paradigme politique proposé par une candidature de changement qui, à n’en pas douter, recevra l’adhésion majoritaire de la plupart de nos concitoyens.
La justice qui est l’épine dorsale dans une démocratie qui se veut fiable et objective, à travers tous les processus inclusifs, doit en priorité subir des reformes en profondeur, pour réconcilier le citoyen et la l’institution judiciaire qui est rendue au nom du peuple sénégalais.
Je rappelle que cette justice dont moi-même fus une des victimes de l’année 2021, pour des faits dont la suite m’a donné raison, ne doit plus être un outil d’élimination et d’humiliation d’honnêtes citoyens, de lanceur d’alerte ou de journalistes, à la demande de l’exécutif.
Le Sénégal, visé par des récriminations sur le plan international par rapport à la violation massive des droits humains, comme en témoigne le dernier rapport de l’ONG Human Right Watch, doit retrouver les standards internationaux en matière de démocratie et de lutte contre des tortures souvent révélées et dénoncées.
Les différentes forfaitures notées ainsi que leurs impunités constatées, marquent une incidence dans la vie des uns et des autres, comme l’application discriminatoire des lois et l’utilisation déséquilibrée de la justice et des institutions, à des fins partisanes.
Les arrestations arbitraires en dehors de toutes procédures et du respect des lois et règlements, les placements en détention de citoyens innocents, devraient interpeller tout homme épris de justice.
A cela s’ajoute une émigration clandestine dont les maux trouvent leur source dans l’absence de l’éradication d’un chômage systémique, endémique et voire même, structurel.
L’heure est à la prise de conscience et à la définition des responsabilités des uns et des autres, pour sortir le pays de l’abime où il se trouve.
Ces milliers de jeunes qui préfèrent mourir dans la traversée du désert, ou périr dans les océans, sont nos frères, nos fils, nos concitoyens, que le désespoir a totalement engloutis.
En definitif, le chômage n’est pas une fatalité, il est juste l’expression de l’absence de réaction et d’identification des priorités de l’heure.
Des solutions existent mais ne semblent pas être la politique de l’Etat, en termes de lutte contre ce fléau.
Les nouvelles bases d’une société juste et équilibrée, ne pourront se faire sans la prise en compte de l’importance de la diaspora, à travers sa participation dans les définitions de la politique diplomatique du pays. Le Sénégal naguère un leader diplomatique, est aujourd’hui, en chute libre…
La diaspora sénégalaise, qui est aussi un poumon économique, doit être mieux traitée que ce qu’elle est aujourd’hui, à savoir être symbolisée par des représentations consulaires et diplomatiques dignes et des hommes compétents et patriotiques.
Avec l’espoir qu’une alternance crédible et paisible sera au rendez-vous, j’apporte mon soutien à la vision d’un Sénégal meilleur, où tous ses fils seront traités au même pied d’égalité et ce Sénégal là, me semble être incarné par la candidature Sonko-Diomaye, à laquelle j’apporte mon soutien patriotique.
Boubacar Sèye
En effet, ce choix logique reflète ma volonté de participer au changement radical de paradigme politique proposé par une candidature de changement qui, à n’en pas douter, recevra l’adhésion majoritaire de la plupart de nos concitoyens.
La justice qui est l’épine dorsale dans une démocratie qui se veut fiable et objective, à travers tous les processus inclusifs, doit en priorité subir des reformes en profondeur, pour réconcilier le citoyen et la l’institution judiciaire qui est rendue au nom du peuple sénégalais.
Je rappelle que cette justice dont moi-même fus une des victimes de l’année 2021, pour des faits dont la suite m’a donné raison, ne doit plus être un outil d’élimination et d’humiliation d’honnêtes citoyens, de lanceur d’alerte ou de journalistes, à la demande de l’exécutif.
Le Sénégal, visé par des récriminations sur le plan international par rapport à la violation massive des droits humains, comme en témoigne le dernier rapport de l’ONG Human Right Watch, doit retrouver les standards internationaux en matière de démocratie et de lutte contre des tortures souvent révélées et dénoncées.
Les différentes forfaitures notées ainsi que leurs impunités constatées, marquent une incidence dans la vie des uns et des autres, comme l’application discriminatoire des lois et l’utilisation déséquilibrée de la justice et des institutions, à des fins partisanes.
Les arrestations arbitraires en dehors de toutes procédures et du respect des lois et règlements, les placements en détention de citoyens innocents, devraient interpeller tout homme épris de justice.
A cela s’ajoute une émigration clandestine dont les maux trouvent leur source dans l’absence de l’éradication d’un chômage systémique, endémique et voire même, structurel.
L’heure est à la prise de conscience et à la définition des responsabilités des uns et des autres, pour sortir le pays de l’abime où il se trouve.
Ces milliers de jeunes qui préfèrent mourir dans la traversée du désert, ou périr dans les océans, sont nos frères, nos fils, nos concitoyens, que le désespoir a totalement engloutis.
En definitif, le chômage n’est pas une fatalité, il est juste l’expression de l’absence de réaction et d’identification des priorités de l’heure.
Des solutions existent mais ne semblent pas être la politique de l’Etat, en termes de lutte contre ce fléau.
Les nouvelles bases d’une société juste et équilibrée, ne pourront se faire sans la prise en compte de l’importance de la diaspora, à travers sa participation dans les définitions de la politique diplomatique du pays. Le Sénégal naguère un leader diplomatique, est aujourd’hui, en chute libre…
La diaspora sénégalaise, qui est aussi un poumon économique, doit être mieux traitée que ce qu’elle est aujourd’hui, à savoir être symbolisée par des représentations consulaires et diplomatiques dignes et des hommes compétents et patriotiques.
Avec l’espoir qu’une alternance crédible et paisible sera au rendez-vous, j’apporte mon soutien à la vision d’un Sénégal meilleur, où tous ses fils seront traités au même pied d’égalité et ce Sénégal là, me semble être incarné par la candidature Sonko-Diomaye, à laquelle j’apporte mon soutien patriotique.
Boubacar Sèye