La presse écrite, serait-elle menacée par la presse en ligne? C’est ce que pensent, du moins, certains experts de ce domaine, selon qui, d’ici quelques années, la presse écrite disparaitra au profit des nouveaux médias, dominés par le numérique, l’internet, notamment. Selon le Président Directeur Général (PDG) de Microsoft, Steve BALLMER, d’ici à dix ans, la presse écrite sera morte car, aucun journal ou magazine ne sera publié, sous format papier.
Tout sera distribué via le canal digital. Le mode de consommation de la presse écrite n’est pas remis en cause mais plutôt, son modèle économique, développera le patron de Microsoft. Son avis ne sera pas partagé par Ouriel Ohayon, créateur de TechCrunch et co-fondateur de AppsFire (guide des meilleures applications sur iPhone), pour qui, l’écrit ne disparaitra pas mais, qu’il va plutôt coexister deux modes de consommations complémentaires.
M. Ohayon précisera que la nouvelle génération privilégie, certes, le digital et donne raison à M. Ballmer, jugeant que l’écran est roi, mais, n’en croit pas moins que d’ici à dix ans, le papier sera encore là car, il offre un confort et un mode de lecture très différent du digital, contrairement à la pensée de Steve BALLMER. Si les occidentaux pensent à la disparition du papier, beaucoup d’africains sont d’avis que le gap numérique est loin d’être comblé.
Cheikh Moussa SARR
(Stagiaire)
REWMI QUOTIDIEN
Tout sera distribué via le canal digital. Le mode de consommation de la presse écrite n’est pas remis en cause mais plutôt, son modèle économique, développera le patron de Microsoft. Son avis ne sera pas partagé par Ouriel Ohayon, créateur de TechCrunch et co-fondateur de AppsFire (guide des meilleures applications sur iPhone), pour qui, l’écrit ne disparaitra pas mais, qu’il va plutôt coexister deux modes de consommations complémentaires.
M. Ohayon précisera que la nouvelle génération privilégie, certes, le digital et donne raison à M. Ballmer, jugeant que l’écran est roi, mais, n’en croit pas moins que d’ici à dix ans, le papier sera encore là car, il offre un confort et un mode de lecture très différent du digital, contrairement à la pensée de Steve BALLMER. Si les occidentaux pensent à la disparition du papier, beaucoup d’africains sont d’avis que le gap numérique est loin d’être comblé.
Cheikh Moussa SARR
(Stagiaire)
REWMI QUOTIDIEN