Les avocats des prévenus ont dès l’ouverture du procès jugé que l’enquête était nulle et de nul effet, estimant également que leurs clients avaient été placés en garde à vue au-delà de ce que permet la loi.
Un avis bien à l’opposé de celui du procureur de la République. ‘’Le délai de garde à vue a débuté le 24 mai, comme il apparait dans le procès-verbal. La loi a permis à l’officier de police une prolongation de la garde à vue. Cette prolongation est terminée le 26 mai. Les enquêteurs étaient bien dans les délais de garde à vue’’, a-t-il déclaré.
‘’Les prévenus ont été appréhendés pour des faits délictueux. Ils ont été trouvés avec des armes. La flagrance est établie’’, a-t-il ajouté, rejetant les exceptions de nullité soulevées par les avocats concernant la garde à vue et la perquisition.
APS
Un avis bien à l’opposé de celui du procureur de la République. ‘’Le délai de garde à vue a débuté le 24 mai, comme il apparait dans le procès-verbal. La loi a permis à l’officier de police une prolongation de la garde à vue. Cette prolongation est terminée le 26 mai. Les enquêteurs étaient bien dans les délais de garde à vue’’, a-t-il déclaré.
‘’Les prévenus ont été appréhendés pour des faits délictueux. Ils ont été trouvés avec des armes. La flagrance est établie’’, a-t-il ajouté, rejetant les exceptions de nullité soulevées par les avocats concernant la garde à vue et la perquisition.
APS