Mahammed Boun Abdallah Dionne, candidat à l'élection présidentielle de février 2024, s'est dit "très préoccupé par cette situation". L'ancien Premier ministre estime que "c'est un devoir d'examiner la question en profondeur et d'y apporter des solutions structurelles". Il en fait "une priorité, un des axes phares" de son programme, dont le nom et le slogan restent pour l'heure, jalousement bien gardés.
Le président Mahammed Boun Abdallah Dionne se dit "résolument engagé pour réduire sensiblement le chômage des jeunes, par un changement de paradigme, d'approche et par une nouvelle politique industrielle créatrice de plus de valeurs et d'emplois".
L'ancien Directeur national de l'industrie et patron du même secteur aux Nations-Unies, n'est pas en terrain inconnu lorsqu'il parle de l'industrie comme levier important pour la résorption du chômage.
Pour lui, le modèle utilisé par le régime sortant, "est à suffisance et a - il le reconnaître - ses imperfections et ses limites". Il indique la voie appropriée, laquelle ne peut être, toujours selon lui, "empruntée à succes, sans une révolution dans les approches formation, employabilité-insertion, entrepreneuriat et auto-entrepreneuriat".
"Le modèle sénégalais est imparfait et doit être corrigé par, d'abord, des réformes législatives pour un bonne mise à disposition de toute la palette légale des modes de financement pouvant servir à la cause". Il parle de démocratiser le financement aux jeunes, par la multiplication des sources légales, "non par l'accompagnement managérial ad hoc". Mahammed Boun Abdallah Dionne veut rectifier le tir, en instaurant "une forte culture entrepreneuriale, pour faire émerger dans les années à venir, une flopée de jeunes milliardaires".
Mahammed Boun Abdallah Dionne a eu la chance d'avoir été dans le système et de savoir ce qui va et ce qui ne va pas, d'avoir eu 32 mois de disponibilité pour aller (discrètement) à la rencontre des Sénégalais et des jeunes en souffrance.
C'est d'ailleurs à la considération de ces nombreuses et récurrentes doléances recues, qu'il a décidé de maintenir sa candidature, avec un seul mot d'ordre : "révolutionner la prise en charge des jeunes".
Le président Mahammed Boun Abdallah Dionne se dit "résolument engagé pour réduire sensiblement le chômage des jeunes, par un changement de paradigme, d'approche et par une nouvelle politique industrielle créatrice de plus de valeurs et d'emplois".
L'ancien Directeur national de l'industrie et patron du même secteur aux Nations-Unies, n'est pas en terrain inconnu lorsqu'il parle de l'industrie comme levier important pour la résorption du chômage.
Pour lui, le modèle utilisé par le régime sortant, "est à suffisance et a - il le reconnaître - ses imperfections et ses limites". Il indique la voie appropriée, laquelle ne peut être, toujours selon lui, "empruntée à succes, sans une révolution dans les approches formation, employabilité-insertion, entrepreneuriat et auto-entrepreneuriat".
"Le modèle sénégalais est imparfait et doit être corrigé par, d'abord, des réformes législatives pour un bonne mise à disposition de toute la palette légale des modes de financement pouvant servir à la cause". Il parle de démocratiser le financement aux jeunes, par la multiplication des sources légales, "non par l'accompagnement managérial ad hoc". Mahammed Boun Abdallah Dionne veut rectifier le tir, en instaurant "une forte culture entrepreneuriale, pour faire émerger dans les années à venir, une flopée de jeunes milliardaires".
Mahammed Boun Abdallah Dionne a eu la chance d'avoir été dans le système et de savoir ce qui va et ce qui ne va pas, d'avoir eu 32 mois de disponibilité pour aller (discrètement) à la rencontre des Sénégalais et des jeunes en souffrance.
C'est d'ailleurs à la considération de ces nombreuses et récurrentes doléances recues, qu'il a décidé de maintenir sa candidature, avec un seul mot d'ordre : "révolutionner la prise en charge des jeunes".