Comme à l’accoutumée, dans une soirée grandiose, une salle colorée, la femme a été célébrée. Le leadership et l’entrepreneuriat de la femme sont au-devant de la scène. Ainsi, Africa’S Management a choisi le mois de mars qui est également un mois dédié à la femme, pour mettre en valeur la femme de manière générale.
Par le biais du directeur de Africa’S Management Abdoulaye Diawara, le Prix du Grand Manager vient à son heure. « Le Prix du Grand Manager vient apporter sa contribution en encourageant, en félicitant et en érigeant en exemples, ces entrepreneurs en général. Cette année, les femmes sont à l’honneur», a-t-il souligné dans son allocution.
Lors de cette cérémonie du Prix du Grand Manager, l’accent a été mis sur les femmes managers, celles entrepreneures dans le sens large du terme, a dit le directeur de Africa’s Management. Le thème choisi de cette année est : « Management et entreprenariat au féminin », qui vise à magnifier l’action des femmes.
Pour chanter la femme, M. Diawara explique : « ces braves dames souvent tapies dans l’ombre, mais qui jouent leur partition et remplissent pleinement leurs rôles dans l’émergence du Sénégal et de l’Afrique en général. De l’industrie à la transformation de fruits et légumes, en passant par les services, l’agriculture, entre autres, ces braves femmes ne cessent de surprendre avec grâce et tact, mais surtout avec des systèmes de management simple, profitable à tous leurs collaborateurs car basés sur le respect de la dignité humaine ».
10 femmes honorés par Africa’S Management
Pour la deuxième édition du Prix du Grand Manager, Africa’S Management a honoré 10 femmes, chacune dans son domaine. « Les prix sont destinés à récompenser les entrepreneurs et managers mais également tous les leaders qui, dans leurs domaines d’activités, représentent des rôle-modèles. Ces prix récompensent et encouragent l’excellence et le leadership dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la transformation, de la mode, du social business, de l’agriculture, de l’art, de lutte contre la pauvreté, des énergies renouvelables, entre autres », a-t-il souligné.
La représentante de ONUFemmes Oulimata Saw, pour sa part, elle milite pour l’égalité des genres et l’autonomie des femmes. Selon elle, on ne peut pas émerger sans les femmes. Ces dernières ont besoin de plus de pouvoir pour la réalisation du Plan Sénégal Emergent (PSE). Mais elle reconnait également que les femmes ont besoin des hommes pour faire émerger le pays.
Thierno Malick Ndiaye
Par le biais du directeur de Africa’S Management Abdoulaye Diawara, le Prix du Grand Manager vient à son heure. « Le Prix du Grand Manager vient apporter sa contribution en encourageant, en félicitant et en érigeant en exemples, ces entrepreneurs en général. Cette année, les femmes sont à l’honneur», a-t-il souligné dans son allocution.
Lors de cette cérémonie du Prix du Grand Manager, l’accent a été mis sur les femmes managers, celles entrepreneures dans le sens large du terme, a dit le directeur de Africa’s Management. Le thème choisi de cette année est : « Management et entreprenariat au féminin », qui vise à magnifier l’action des femmes.
Pour chanter la femme, M. Diawara explique : « ces braves dames souvent tapies dans l’ombre, mais qui jouent leur partition et remplissent pleinement leurs rôles dans l’émergence du Sénégal et de l’Afrique en général. De l’industrie à la transformation de fruits et légumes, en passant par les services, l’agriculture, entre autres, ces braves femmes ne cessent de surprendre avec grâce et tact, mais surtout avec des systèmes de management simple, profitable à tous leurs collaborateurs car basés sur le respect de la dignité humaine ».
10 femmes honorés par Africa’S Management
Pour la deuxième édition du Prix du Grand Manager, Africa’S Management a honoré 10 femmes, chacune dans son domaine. « Les prix sont destinés à récompenser les entrepreneurs et managers mais également tous les leaders qui, dans leurs domaines d’activités, représentent des rôle-modèles. Ces prix récompensent et encouragent l’excellence et le leadership dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la transformation, de la mode, du social business, de l’agriculture, de l’art, de lutte contre la pauvreté, des énergies renouvelables, entre autres », a-t-il souligné.
La représentante de ONUFemmes Oulimata Saw, pour sa part, elle milite pour l’égalité des genres et l’autonomie des femmes. Selon elle, on ne peut pas émerger sans les femmes. Ces dernières ont besoin de plus de pouvoir pour la réalisation du Plan Sénégal Emergent (PSE). Mais elle reconnait également que les femmes ont besoin des hommes pour faire émerger le pays.
Thierno Malick Ndiaye