La vrai question devrait plutôt être si Bara Ndiaye est capable de gérer la Maison de la Presse
Sa nomination, source de de contestations au sein de certains acteurs de la presse, semble être un veille souvenir. En effet, au lendemain de sa nomination, la Coordination des associations de presse (CAP), dans une missive intitulé " Excellence, rendez-nous notre Maison de la Presse", avait déploré une manque de considération envers les acteurs de la presse. Des questions dépassées, selon l'actuel et premier DG de la Maison de la Presse, Bara Ndiaye, qui estime qu'il reconnais à la CAP, son rôle et son importance, mais souhaite qu'on reconnaisse en retour à l'Etat du Sénégal, et à son Président, les efforts consentis pour le bon fonctionnement de cette structure très importante. Il a ainsi rappelé que, Le Président Macky Sall, qui en tant que Premier Ministre sous Wade, avait posé la première pierre, a mis d'importants moyens afin de doter aux differents acteurs de la presse, de disposer un cadre de dialogue imposant et adéquat pour mener à bien leurs missions. Par rapport au choix de sa personne, il dira que l'essentiel est qu'il fasse correctement son travail, et que son appartenance à l'Alliance Pour la République, ne peut en aucun cas entraver sa mission. La vrai question devrait plutôt être si moi, Bara Ndiaye, suis capable de gérer la Maison de la Presse, et cette question ne se pose plus, a-t-il déclaré.
Le PAP 1 a donné des résultats palpables.. Le PAP 2 est une suite logique du PSE
L'un des fervents défenseurs du PSE, le responsable politique de l'APR a soutenu qu'en 6 ans, le bilan du Président Macky Sall, est beaucoup plus reluisant que celui de ses prédécesseurs réunis . Le PAP 1 a donné des résultats palpables dans plusieurs domaines. Rien que sur le plan énergétique, on ne nous parle plus de Mégawatt (MW) mais de Gigawatt (GW), et ceci grâce à la vision du Chef de l'Etat, d'instaurer le mixte énergétique, s'est-il defendu. Dans le contexte actuelle de la Covid-19, Monsieur Ndiaye trouve qu'avec les réajustements budgétaires et une bonne politique économique du Président Macky Sall, Le PAP 2 qui qui est ssuite logique du PSE, n'aura aucune difficulté à decrocher les 14.712 milliards nécessaires d'ici à 2023 pour relancer l'économie sénégalaise.
À Tobène, Le Ministre de L'intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, a jugé dérisoire l'indemnisation proposée par les ICS...des politiciens ont manipulé certains jeunes
Maire de Méouane, Bara Ndiaye a catégoriquement dénoncé l'expropriation des terres des paysans sans pour autant mettre le prix quil faut. Cependant, dans le dossier qui oppose les paysans de Tobène aux ICS, Le Maire se désole de l'attitude de certains politiciens qui, dit-il, manipulent une certaine partie des jeunes de Tobène. En réalité, Aar Liñu Bok ne peut rien apporter à la population de Tobène, sinon inciter certains jeunes à la violence qui débouche sur des arrestations, s'est-il offusqué. Pour les ICS, l'homme fort de Méouane, déplore l'attitude de l'entreprise qui gagne pourtant beaucoup, et ceci grâce au plan de sauvetage entrepris par l'Etat en période de difficultés. Il trouve ainsi, les ICS n'investi pas assez dans les villages environnants pour aider la population. Dans ce problème, J'ai fait des demarches qui ont abouti à la venue à Tobène, du Ministre de l'Interieur, Aly Ngouille Ndiaye, qui sous l'arbre à palabre, devant tous les paysans, a jugé dérisoire le montant de l'indemnisation, affirme-t-il. Il ajoute que si les membres de Aar Liñu Bok veulent aider la population, ils n'ont qu'à venir s'associer au Maire qui depuis le debout à tenu un langage de vérité aux ICS. Mais, ceux sont des politiciens, a-t-il affirmé, qui n'ont pas de travail, et cherche à manipuler certains jeunes ; ils ne peuvent rien apporter à la population de Tobène.
Pourquoi vouloir nous imposer unnuméro 2... Que ça soit Amadou Bâ, Mimi ou autre si vous deraillez, je vous rappelle à l'ordre.
La lancinante question du numéro 2, au sein de l'Allliance Pour la République (APR), n'a aucun sens selon le DG de la Maison de la Presse, Bara Ndiaye . En effet, ce dernier rappelant que leur formation politique ayant emporté toutes les élections depuis 2012, n'a pas besoin qu'on suscite une telle question. Pourquoi vouloir nous imposer un numéro 2, alors que dans l'essentiel, l'APR fonctionne comme il se doit, dit-il. Ça sera sans doute pas, avec certains personnalités qu'on s'apprête le souhait de succéder au Président Macky Sall en 2024. Dans cette catégorie , les noms d'Amadou Bâ et Mimi Touré sont souvent cités. Ayant ainsi, précédemment attaqué les deux responsables de l'APR, de manipuler certains jeunes avec des groupes WhatsApp afin de lancer des sondes via certaines presses , Bara Ndiaye se voudra être clair et campe sur position. Quand Le Président Macky Sall avait une ambition présidentielle, il a tout simplement quitter le navire du PDS, en demissionnant de toutes les instances politiques et de tous les postes nominatifs et électifs obtenu sous la bannière libérale, c'est ça le courage politique, fulmine t-il. Donc moi je n'ai pas de problème personnel avec personne mais mon engagement politique et mon courage me permet de corriger à tous ceux là qui continuent de créer des groupes et soulèvent la question d'une éventuelle succession, a-t-il poursuivi. Donc que ça soit Amadou Bâ, Mimi Touré ou autre, si vous déraillez, je vous rappelle a l'ordre,conclu t-il.
Il ne faut surtout pas faire une corrélation de la situation au Mali avec le Sénégal
Certains analystes ont, après la crise malienne, alerté les autorités sénégalaises sur les conséquences qui pourraient découler de cette crise au Sénégal. Un raisonnement qui ne satisfait pas du tout Monsieur Ndiaye, car dit-il les réalités socio-politiques ne sont pas les mêmes. Pays voisins, le Mali connaît depuis u'. Non moment des difficultés dues à la montée en puissance de l'islamisme radical dans le nord. Hors, le Sénégal malgré tout ce que peut dire, ne vit pas cette situation. Alors, les contexte n'etant pas les mêmes, malgré notre proximité, il ne faut surtout pas faire une corrélation de la situation au Mali avec le Sénégal, martèle t-il.
Sa nomination, source de de contestations au sein de certains acteurs de la presse, semble être un veille souvenir. En effet, au lendemain de sa nomination, la Coordination des associations de presse (CAP), dans une missive intitulé " Excellence, rendez-nous notre Maison de la Presse", avait déploré une manque de considération envers les acteurs de la presse. Des questions dépassées, selon l'actuel et premier DG de la Maison de la Presse, Bara Ndiaye, qui estime qu'il reconnais à la CAP, son rôle et son importance, mais souhaite qu'on reconnaisse en retour à l'Etat du Sénégal, et à son Président, les efforts consentis pour le bon fonctionnement de cette structure très importante. Il a ainsi rappelé que, Le Président Macky Sall, qui en tant que Premier Ministre sous Wade, avait posé la première pierre, a mis d'importants moyens afin de doter aux differents acteurs de la presse, de disposer un cadre de dialogue imposant et adéquat pour mener à bien leurs missions. Par rapport au choix de sa personne, il dira que l'essentiel est qu'il fasse correctement son travail, et que son appartenance à l'Alliance Pour la République, ne peut en aucun cas entraver sa mission. La vrai question devrait plutôt être si moi, Bara Ndiaye, suis capable de gérer la Maison de la Presse, et cette question ne se pose plus, a-t-il déclaré.
Le PAP 1 a donné des résultats palpables.. Le PAP 2 est une suite logique du PSE
L'un des fervents défenseurs du PSE, le responsable politique de l'APR a soutenu qu'en 6 ans, le bilan du Président Macky Sall, est beaucoup plus reluisant que celui de ses prédécesseurs réunis . Le PAP 1 a donné des résultats palpables dans plusieurs domaines. Rien que sur le plan énergétique, on ne nous parle plus de Mégawatt (MW) mais de Gigawatt (GW), et ceci grâce à la vision du Chef de l'Etat, d'instaurer le mixte énergétique, s'est-il defendu. Dans le contexte actuelle de la Covid-19, Monsieur Ndiaye trouve qu'avec les réajustements budgétaires et une bonne politique économique du Président Macky Sall, Le PAP 2 qui qui est ssuite logique du PSE, n'aura aucune difficulté à decrocher les 14.712 milliards nécessaires d'ici à 2023 pour relancer l'économie sénégalaise.
À Tobène, Le Ministre de L'intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, a jugé dérisoire l'indemnisation proposée par les ICS...des politiciens ont manipulé certains jeunes
Maire de Méouane, Bara Ndiaye a catégoriquement dénoncé l'expropriation des terres des paysans sans pour autant mettre le prix quil faut. Cependant, dans le dossier qui oppose les paysans de Tobène aux ICS, Le Maire se désole de l'attitude de certains politiciens qui, dit-il, manipulent une certaine partie des jeunes de Tobène. En réalité, Aar Liñu Bok ne peut rien apporter à la population de Tobène, sinon inciter certains jeunes à la violence qui débouche sur des arrestations, s'est-il offusqué. Pour les ICS, l'homme fort de Méouane, déplore l'attitude de l'entreprise qui gagne pourtant beaucoup, et ceci grâce au plan de sauvetage entrepris par l'Etat en période de difficultés. Il trouve ainsi, les ICS n'investi pas assez dans les villages environnants pour aider la population. Dans ce problème, J'ai fait des demarches qui ont abouti à la venue à Tobène, du Ministre de l'Interieur, Aly Ngouille Ndiaye, qui sous l'arbre à palabre, devant tous les paysans, a jugé dérisoire le montant de l'indemnisation, affirme-t-il. Il ajoute que si les membres de Aar Liñu Bok veulent aider la population, ils n'ont qu'à venir s'associer au Maire qui depuis le debout à tenu un langage de vérité aux ICS. Mais, ceux sont des politiciens, a-t-il affirmé, qui n'ont pas de travail, et cherche à manipuler certains jeunes ; ils ne peuvent rien apporter à la population de Tobène.
Pourquoi vouloir nous imposer unnuméro 2... Que ça soit Amadou Bâ, Mimi ou autre si vous deraillez, je vous rappelle à l'ordre.
La lancinante question du numéro 2, au sein de l'Allliance Pour la République (APR), n'a aucun sens selon le DG de la Maison de la Presse, Bara Ndiaye . En effet, ce dernier rappelant que leur formation politique ayant emporté toutes les élections depuis 2012, n'a pas besoin qu'on suscite une telle question. Pourquoi vouloir nous imposer un numéro 2, alors que dans l'essentiel, l'APR fonctionne comme il se doit, dit-il. Ça sera sans doute pas, avec certains personnalités qu'on s'apprête le souhait de succéder au Président Macky Sall en 2024. Dans cette catégorie , les noms d'Amadou Bâ et Mimi Touré sont souvent cités. Ayant ainsi, précédemment attaqué les deux responsables de l'APR, de manipuler certains jeunes avec des groupes WhatsApp afin de lancer des sondes via certaines presses , Bara Ndiaye se voudra être clair et campe sur position. Quand Le Président Macky Sall avait une ambition présidentielle, il a tout simplement quitter le navire du PDS, en demissionnant de toutes les instances politiques et de tous les postes nominatifs et électifs obtenu sous la bannière libérale, c'est ça le courage politique, fulmine t-il. Donc moi je n'ai pas de problème personnel avec personne mais mon engagement politique et mon courage me permet de corriger à tous ceux là qui continuent de créer des groupes et soulèvent la question d'une éventuelle succession, a-t-il poursuivi. Donc que ça soit Amadou Bâ, Mimi Touré ou autre, si vous déraillez, je vous rappelle a l'ordre,conclu t-il.
Il ne faut surtout pas faire une corrélation de la situation au Mali avec le Sénégal
Certains analystes ont, après la crise malienne, alerté les autorités sénégalaises sur les conséquences qui pourraient découler de cette crise au Sénégal. Un raisonnement qui ne satisfait pas du tout Monsieur Ndiaye, car dit-il les réalités socio-politiques ne sont pas les mêmes. Pays voisins, le Mali connaît depuis u'. Non moment des difficultés dues à la montée en puissance de l'islamisme radical dans le nord. Hors, le Sénégal malgré tout ce que peut dire, ne vit pas cette situation. Alors, les contexte n'etant pas les mêmes, malgré notre proximité, il ne faut surtout pas faire une corrélation de la situation au Mali avec le Sénégal, martèle t-il.