
L’administration Obama a soutenu la campagne des victimes pour traduire Habré en justice. En septembre 2011, la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton a écrit au Président de l’époque Abdoulaye Wade recommandant la tenue rapide d’un procès. Et selon l’Ong Human Rights Watch, le Président américain, en visite au Sénégal, s’est félicité de la mise en place des Chambres africaines extraordinaires, inaugurée en février 2013, pour juger Habré.