Après le refus de Karim Wade de comparaître à la barre de Cour de répression de l'enrichissement illicite, la polémique enfle. Selon ses avocats, Wade-fils n'est pas en état de se présenter devant les juges du fait qu'il a été brutalisé et menotté lors d'une audience. Mais la partie civile à son idée sur la question. Selon Me Yérim Thiam, le prévenu est entrain de faire du cinéma. « Il a fait des actes de rébellion et s'est blessé, tout seul lors de l'audience », renseigne Me Thiam.
D'après lui, Karim Wade refuse de comparaître parce qu'il est de plus en plus enfoncé par les témoins produits par le parquet spécial. Pour illustrer sa position, Me Yérim Thiam évoque les contrats mirobolants offerts à des sociétés qui disent avoir empoché le double des sommes normales. Et Me Thiam en profite pour dire que c'est le fils de Me Abdoulaye Wade qui est derrière toutes ces malversations.
Selon Me Thiam, Karim n'oppose aucune résistance quand il est extrait de sa cellule. C'est à la cave du palais de Justice qu'il commence à refuser de comparaître. « C'est juste pour pousser la Cour à le forcer pour qu'il fasse son cinéma devant ses militants », dit-il. L'avocat va plus loin en indiquant que la Cour a bel et bien le pouvoir de le faire comparaître. D'ailleurs, il cite l'article 395 du Code de procédure pénale qui dit « au jour indiqué pour la comparution à l'audience, le prévenu en état de détention y est conduit par la force publique ».
Leral avec PressAfrik
D'après lui, Karim Wade refuse de comparaître parce qu'il est de plus en plus enfoncé par les témoins produits par le parquet spécial. Pour illustrer sa position, Me Yérim Thiam évoque les contrats mirobolants offerts à des sociétés qui disent avoir empoché le double des sommes normales. Et Me Thiam en profite pour dire que c'est le fils de Me Abdoulaye Wade qui est derrière toutes ces malversations.
Selon Me Thiam, Karim n'oppose aucune résistance quand il est extrait de sa cellule. C'est à la cave du palais de Justice qu'il commence à refuser de comparaître. « C'est juste pour pousser la Cour à le forcer pour qu'il fasse son cinéma devant ses militants », dit-il. L'avocat va plus loin en indiquant que la Cour a bel et bien le pouvoir de le faire comparaître. D'ailleurs, il cite l'article 395 du Code de procédure pénale qui dit « au jour indiqué pour la comparution à l'audience, le prévenu en état de détention y est conduit par la force publique ».
Leral avec PressAfrik