Le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, a présidé ce 11 janvier 2024, la table-ronde autour du Programme d’accélération Compétitivité-Emploi (Pace).
Source : https://www.lejecos.com/Programme-d-acceleration-c...
Selon M. Ka, le Pace d’une importance capitale, constitue une réponse aux différents défis identifiés dans la stratégie nationale de développement du secteur privé. «Le coût global de la première phase du Pace est de 257 milliards de FCfa dont 160 milliards ont déjà été mobilisés grâce aux contributions de la banque mondiale, de la Banque africaine de développement de Kfw, du Fao et de l’état du Sénégal », a déclaré le ministre de l’Economie.
Il a expliqué que le Pace est un programme d’investissement qui vise trois objectifs stratégiques, à savoir faciliter l’accès au financement des Pme et Pmi ; renforcer la compétitivité des secteurs prioritaires à fort potentiel de croissance et créateurs d’emplois ; développer les investissements privés à travers la préparation et l’optimisation des projets Ppp. Il est essentiellement conçu pour être un instrument de mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du Secteur privé.
Dans sa structuration, souligne Doudou Ka, le Pace est un programme inclusif qui intègre dans son organisation et son fonctionnement les principes de la collaboration dans leur version la plus aboutie. Il orchestre la collaboration entre divers services administratifs et d’instruments publics tels que l’Adepme, le Fongip, le Fonsis dont les rôles se complètent et renforcent mutuellement. Selon le ministre de l’Economie, en mettant en place la Stratégie nationale de développement du secteur privé, le Sénégal donne aux acteurs privés l’opportunité de bénéficier d’un appui multidimensionnel (technique, financier, formalisation, etc.).
«Son ambition ultime est de rendre possible la création de 3 millions d’emplois formels, 300.000 entreprises et 300 champions nationaux dans les filières ciblées mettant ainsi de manière irréversible sur orbite notre pays pour se doter d’une économie émergente et résiliente à l’horizon 2035. C’est à travers ce prisme qu’il faut apprécier le Programme d’accélération compétitivité et emplois », a fait savoir Doudou Ka. Il a saisi cette occasion pour insister sur les besoins importants et impérieux d’investissements massifs pour la matérialisation de ces nobles ambitions que nous portons au nom de notre nation.
Selon le ministre de l’Economie, les besoins initiaux sont estimés à environ 1000 milliards FCfa, mais ce n’est que le début car la prise en charge de tous les éléments constitutifs de ce programme nous amènera bien au-delà de cette première estimation. C’est pour cela qu’il lance un appel solennel à tous nos partenaires de prendre la mesure de ce défi et de se mobiliser à nos côtés. La mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du secteur privé permettra à coup sûr d’intégrer un cercle vertueux de croissance forte et de compétitivité durable articulé autour de trois (3) atouts que sont : un secteur privé national fort ; des filières compétitives ; et une croissance portée par les exportations et l’investissement privé.
Adou Faye
Il a expliqué que le Pace est un programme d’investissement qui vise trois objectifs stratégiques, à savoir faciliter l’accès au financement des Pme et Pmi ; renforcer la compétitivité des secteurs prioritaires à fort potentiel de croissance et créateurs d’emplois ; développer les investissements privés à travers la préparation et l’optimisation des projets Ppp. Il est essentiellement conçu pour être un instrument de mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du Secteur privé.
Dans sa structuration, souligne Doudou Ka, le Pace est un programme inclusif qui intègre dans son organisation et son fonctionnement les principes de la collaboration dans leur version la plus aboutie. Il orchestre la collaboration entre divers services administratifs et d’instruments publics tels que l’Adepme, le Fongip, le Fonsis dont les rôles se complètent et renforcent mutuellement. Selon le ministre de l’Economie, en mettant en place la Stratégie nationale de développement du secteur privé, le Sénégal donne aux acteurs privés l’opportunité de bénéficier d’un appui multidimensionnel (technique, financier, formalisation, etc.).
«Son ambition ultime est de rendre possible la création de 3 millions d’emplois formels, 300.000 entreprises et 300 champions nationaux dans les filières ciblées mettant ainsi de manière irréversible sur orbite notre pays pour se doter d’une économie émergente et résiliente à l’horizon 2035. C’est à travers ce prisme qu’il faut apprécier le Programme d’accélération compétitivité et emplois », a fait savoir Doudou Ka. Il a saisi cette occasion pour insister sur les besoins importants et impérieux d’investissements massifs pour la matérialisation de ces nobles ambitions que nous portons au nom de notre nation.
Selon le ministre de l’Economie, les besoins initiaux sont estimés à environ 1000 milliards FCfa, mais ce n’est que le début car la prise en charge de tous les éléments constitutifs de ce programme nous amènera bien au-delà de cette première estimation. C’est pour cela qu’il lance un appel solennel à tous nos partenaires de prendre la mesure de ce défi et de se mobiliser à nos côtés. La mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du secteur privé permettra à coup sûr d’intégrer un cercle vertueux de croissance forte et de compétitivité durable articulé autour de trois (3) atouts que sont : un secteur privé national fort ; des filières compétitives ; et une croissance portée par les exportations et l’investissement privé.
Adou Faye
Source : https://www.lejecos.com/Programme-d-acceleration-c...