Ainsi, l’article 3 du code de la famille instituée en 1972, laisse un libre choix à celle qui à porter son bébé pendant neuf mois. Aussi si la longueur du nom est causée par l’existence de plusieurs patronymes, il appartiendra à chaque parent d’en choisir celui qui lui plaira. Dans un tel cas, le comité ayant rédigé ce rapport dit vouloir conformer l’identification de l’enfant à son ascendance maternelle conformément à la civilisation africaine. S’agissant des femmes qui cherchent époux et n’ayant pas encore obtenues dix huit ans, elles devront attendre. Alors, ce serait tout autre chose que ce que stipulait l’article 111 qui selon les militants des droits de la femme favorisait les mariages précoces et forcés. A travers un tel fait, le comité scientifique tente de lutter contre l’abandon à l’école. L’option matrimoniale n’est pas sans intéresser le comité regroupant semble-t-il des marabouts et divers autres spécialistes de la société.
Modou Khabane Gueye
Source Lepeuple-sn.com
Modou Khabane Gueye
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