
Dans un communiqué de presse repris par le journal EnQête, Amadou Guèye et Cie pensent qu’"après 12 ans d’espoirs trahis par les stratégies de ruse et de corruption, les 18 premiers mois de la deuxième alternance n’augurent pas un changement de cap dans le sens attendu par les Sénégalais". Aussi, considèrent-ils que "l’horizon 2017 peut sembler trop lointain et même dépressif pour les populations qui attendent la réalisation des promesses électorales". Pour Amadou Guèye et ses camarades, "il faut agir ou du moins se préparer à agir". Et, le moyen, affirment-ils, "c’est d’organiser un vote populaire qui devra sanctionner positivement ou négativement".