Ce projet financé à hauteur de 300.000 euros (soit près de 200 millions Cfa) pour une durée de 24 mois, par l’Agence catalane de coopération au développement, a fait l’objet d’une cérémonie de lancement, le mardi 13 juin dans la capitale du Fouladou. Cette cérémonie organisée sous la houlette de l’adjointe au gouverneur chargée du développement, a enregistré la participation des autorités académiques et scolaires, des Ong et associations intervenant dans le secteur de l’éducation, des chefs d’établissements, des élèves, entre autres acteurs.
Ceci, «pour faciliter leur implication dans la mise en œuvre de ce projet qui ambitionne de mettre le focus sur la sensibilisation et la mobilisation des acteurs, pour, ensemble, dérouler des actions concrètes et pertinentes favorisant l’accès des filles à une éducation de qualité et sans violence», a indiqué la coordonnatrice de ce projet, Madame Néné Mballo.
À en croire cette juriste de formation, si cette approche collaborative est privilégiée, c’est parce que Guné veut impliquer l’ensemble des acteurs dans la mise en œuvre du projet. Car, «seul, on va vite. Mais, ensemble on va plus loin», a-telle insisté. Pour réaliser les objectifs que ce projet s’est assignés, l’administration de Guné pourra compter sur l’accompagnement de l’adjointe au gouverneur.
Dans ce sillage, Mme Kouyaté appelle déjà les acteurs à développer des synergies d’actions pour améliorer les indicateurs en matière d’éducation dans la région de Kolda, où «les mariages d’enfants, les pratiques socioculturelles, la pauvreté, les travaux domestiques», entre autres violences basées sur le genre, continuent de freiner l’éducation des filles.
Tribune
Ceci, «pour faciliter leur implication dans la mise en œuvre de ce projet qui ambitionne de mettre le focus sur la sensibilisation et la mobilisation des acteurs, pour, ensemble, dérouler des actions concrètes et pertinentes favorisant l’accès des filles à une éducation de qualité et sans violence», a indiqué la coordonnatrice de ce projet, Madame Néné Mballo.
À en croire cette juriste de formation, si cette approche collaborative est privilégiée, c’est parce que Guné veut impliquer l’ensemble des acteurs dans la mise en œuvre du projet. Car, «seul, on va vite. Mais, ensemble on va plus loin», a-telle insisté. Pour réaliser les objectifs que ce projet s’est assignés, l’administration de Guné pourra compter sur l’accompagnement de l’adjointe au gouverneur.
Dans ce sillage, Mme Kouyaté appelle déjà les acteurs à développer des synergies d’actions pour améliorer les indicateurs en matière d’éducation dans la région de Kolda, où «les mariages d’enfants, les pratiques socioculturelles, la pauvreté, les travaux domestiques», entre autres violences basées sur le genre, continuent de freiner l’éducation des filles.
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