L'objectif de cette mesure est de faciliter l'identification des motos en circulation, notamment en cas d'accident ou de vol et de renforcer la sécurité publique. Depuis le début de la campagne, 109 631 dossiers ont été enrôlés, dont 88 751 validés, marquant une nette progression par rapport aux 18 600 dossiers traités en 2024.
Le rapport présenté par le ministre des Transports met en évidence une forte adhésion des usagers, avec une moyenne de 6 339 dossiers validés par région. Les performances les plus notables ont été enregistrées à Ziguinchor, Dakar, Kaolack et Thiès. En revanche, certaines régions comme Saint-Louis et Sédhiou, connaissent des difficultés, notamment en raison de l'absence de documents justificatifs essentiels.
Des défis à surmonter pour accélérer l'immatriculation
Parmi les principaux obstacles rencontrés figurent la légalisation des certificats de vente, qui a conduit au rejet de 13 223 dossiers, ainsi que la forte concentration de motos dans certaines zones, ralentissant le traitement des demandes. Pour y remédier, le gouvernement prévoit d'intensifier les campagnes d'information et d'augmenter les effectifs des services d'immatriculation sur le terrain.
Aucune autre prolongation après le 25 mai prochain
Selon toujours nos confrères, face à l'afflux de demandes et au nombre encore élevé de motos non immatriculées, le Premier ministre a jugé nécessaire d'accorder cette prolongation. Toutefois, le ministre Yankhoba Diémè a été catégorique : aucune autre extension ne sera accordée.
« J'invite tous les propriétaires de deux-roues à profiter de cette dernière opportunité, pour régulariser leur situation. À compter du 25 mai 2025, toute moto non immatriculée sera immédiatement sanctionnée par une amende et pourra être immobilisée par les forces de défense et de sécurité », a-t-il averti.
Les autorités espèrent ainsi atteindre un taux d'immatriculation optimal avant cette échéance, afin de garantir un meilleur contrôle des deux-roues circulant sur le territoire national.
Le rapport présenté par le ministre des Transports met en évidence une forte adhésion des usagers, avec une moyenne de 6 339 dossiers validés par région. Les performances les plus notables ont été enregistrées à Ziguinchor, Dakar, Kaolack et Thiès. En revanche, certaines régions comme Saint-Louis et Sédhiou, connaissent des difficultés, notamment en raison de l'absence de documents justificatifs essentiels.
Des défis à surmonter pour accélérer l'immatriculation
Parmi les principaux obstacles rencontrés figurent la légalisation des certificats de vente, qui a conduit au rejet de 13 223 dossiers, ainsi que la forte concentration de motos dans certaines zones, ralentissant le traitement des demandes. Pour y remédier, le gouvernement prévoit d'intensifier les campagnes d'information et d'augmenter les effectifs des services d'immatriculation sur le terrain.
Aucune autre prolongation après le 25 mai prochain
Selon toujours nos confrères, face à l'afflux de demandes et au nombre encore élevé de motos non immatriculées, le Premier ministre a jugé nécessaire d'accorder cette prolongation. Toutefois, le ministre Yankhoba Diémè a été catégorique : aucune autre extension ne sera accordée.
« J'invite tous les propriétaires de deux-roues à profiter de cette dernière opportunité, pour régulariser leur situation. À compter du 25 mai 2025, toute moto non immatriculée sera immédiatement sanctionnée par une amende et pourra être immobilisée par les forces de défense et de sécurité », a-t-il averti.
Les autorités espèrent ainsi atteindre un taux d'immatriculation optimal avant cette échéance, afin de garantir un meilleur contrôle des deux-roues circulant sur le territoire national.