Il suffit de faire un tour au Casino ,pour découvrir ces filles,ou vers le virage pour s’en rendre compte de cette situation.
Les unes, Arame Kiné, habitant à Guédiawaye sont allées à l’école ; les autres comme Daba et Soukeyna des Parcelles assainies n’ont pas eu cette chance. Personne ne les aide, et elles ne restent pas à la tentation de gagner de l’argent en vendant ce qu’elles ont de plus précieux. Elles ont entre dix huit et vingt huit ans. Le noctambule qui franchit pour la première fois le seuil du casino est secoué par l’allongement de nos jeunes filles. Habituées des lieux,Fatou Kiné de Guédiawaye et Salimata, habitant la cité millionnaire à Grand-yoff soutiennent « les employés du bar nous servent d’intermédiaire, autrement dit, il y’a quelques uns qui sont en contact avec nos clients ». Nous trouvons sur place de jeunes prostituées qui commencent leur travail l’après-midi et ça pousse jusqu’au petit matin. Certaines d’entre elles ne détiennent pas de carnet sanitaire.
Le plus souvent on y découvre des mariées qui déclarent aller au travail quand elles quittent leur domicile, nous apprend une prostituée. Des jeunes filles à la poitrine pleine, aux hanches fournies. Elles s’habillent légèrement,puisque nues (dioumbakh out,fuseau, mini-juppe avec leur dial-di ali).
La liberté sexuelle c’est la liberté de changer de partenaires chaque fois qu’on en a envie. Même mariées,les jeunes femmes se tapent des partenaires occasionnels. Autrefois, cela s’appelait adultère et était sévèrement punie. Les rapports extra-conjugaux ont souvent pour conséquence des maladies sexuellement transmissibles. Le mari infidèle contamine sa légitime et inversement.
Senenews.com
Les unes, Arame Kiné, habitant à Guédiawaye sont allées à l’école ; les autres comme Daba et Soukeyna des Parcelles assainies n’ont pas eu cette chance. Personne ne les aide, et elles ne restent pas à la tentation de gagner de l’argent en vendant ce qu’elles ont de plus précieux. Elles ont entre dix huit et vingt huit ans. Le noctambule qui franchit pour la première fois le seuil du casino est secoué par l’allongement de nos jeunes filles. Habituées des lieux,Fatou Kiné de Guédiawaye et Salimata, habitant la cité millionnaire à Grand-yoff soutiennent « les employés du bar nous servent d’intermédiaire, autrement dit, il y’a quelques uns qui sont en contact avec nos clients ». Nous trouvons sur place de jeunes prostituées qui commencent leur travail l’après-midi et ça pousse jusqu’au petit matin. Certaines d’entre elles ne détiennent pas de carnet sanitaire.
Le plus souvent on y découvre des mariées qui déclarent aller au travail quand elles quittent leur domicile, nous apprend une prostituée. Des jeunes filles à la poitrine pleine, aux hanches fournies. Elles s’habillent légèrement,puisque nues (dioumbakh out,fuseau, mini-juppe avec leur dial-di ali).
La liberté sexuelle c’est la liberté de changer de partenaires chaque fois qu’on en a envie. Même mariées,les jeunes femmes se tapent des partenaires occasionnels. Autrefois, cela s’appelait adultère et était sévèrement punie. Les rapports extra-conjugaux ont souvent pour conséquence des maladies sexuellement transmissibles. Le mari infidèle contamine sa légitime et inversement.
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