Le Canal 6 appelé « Plaie de la Baie de Hann », parce que naguère dépotoir d’ordures et d’autres déchets qui au finish, atterrissaient en mer, va bientôt être dépollué.
Comme solution, une grille en acier, munie de trois socles bien solidifiés, le tout renforcé par des barres, appelées aussi pattes de scellement, soudées et bétonnées presque indéboulonnables, selon les explications d’un technicien, est en cours de montage. Et le côté rassurant de cet ouvrage, est que des déchets durs comme les pneus usagés et autres corps solides ne pourront pas l’affecter.
Selon Mme Altiné Sow, troisième adjointe au Maire de cette localité, cette initiative date de plusieurs mois. Comme autorité locale, elle a magnifie cet élan suscité par Mbacké Seck surnommé « le Gardien de la Baie », qui depuis presque trente ans, s’est investi dans cette protection, dans une recherche de solutions pour résoudre cet important problème environnemental mais aussi sanitaire.
Au-delà de cet outil de protection avec à la clé, tous les six mois, des nettoyages systématiques, c'est une vision partagée qui vient à son heure, car la pollution était plus qu’une menace sur l’économie de la pêche, mamelle nourricière de cette localité.
D’après Ibrahima, le président du collectif Suxali Yarakh, tout a commencé par un éveil de conscience des populations, une sensibilisation, puis un plain d’assainissement. L’implication de la Mairie, de l’ONAS et d’autres bonnes volontés, a permis de démarrer cette initiative qui va donner à cette localité, un autre visage.
Comme solution, une grille en acier, munie de trois socles bien solidifiés, le tout renforcé par des barres, appelées aussi pattes de scellement, soudées et bétonnées presque indéboulonnables, selon les explications d’un technicien, est en cours de montage. Et le côté rassurant de cet ouvrage, est que des déchets durs comme les pneus usagés et autres corps solides ne pourront pas l’affecter.
Selon Mme Altiné Sow, troisième adjointe au Maire de cette localité, cette initiative date de plusieurs mois. Comme autorité locale, elle a magnifie cet élan suscité par Mbacké Seck surnommé « le Gardien de la Baie », qui depuis presque trente ans, s’est investi dans cette protection, dans une recherche de solutions pour résoudre cet important problème environnemental mais aussi sanitaire.
Au-delà de cet outil de protection avec à la clé, tous les six mois, des nettoyages systématiques, c'est une vision partagée qui vient à son heure, car la pollution était plus qu’une menace sur l’économie de la pêche, mamelle nourricière de cette localité.
D’après Ibrahima, le président du collectif Suxali Yarakh, tout a commencé par un éveil de conscience des populations, une sensibilisation, puis un plain d’assainissement. L’implication de la Mairie, de l’ONAS et d’autres bonnes volontés, a permis de démarrer cette initiative qui va donner à cette localité, un autre visage.