En 5 ans, le taux de pauvreté a régressé de 6 points. Alors qu’en 2011, le taux de pauvreté était aux environs 46,7%. « Il y a des avancées qui sont notées », souligne la ministre délégué Anta Sarr Daicko, qui reconnait par ailleurs qu’ « il y a des difficultés mais il faut toujours tendre vers des progrès qui sont encore projetés et que nous allons atteindre ».
L’objectif lancé par le président de la République, c’est d’ici à 2035, la protection sociale va faire des avancées beaucoup plus marquées et va être ressentie par cette population vulnérable et pauvre de notre société.
« Nous avons signé une convention de partenariat pour toujours organiser et accompagner ces bénéficiaires de bourses de sécurité familiale. Et pour cela, nous sommes en train de chercher un package de services qui permette à ces vulnérables et aux familles démunies de pouvoir sortir rapidement de cette pauvreté », indique Mme Diacko, qui s'exprimait, ce matin, en marge d'un atelier sur la revue du secteur de la protection sociale.
A en croire ses propos, cette revue permet en même temps de parler de la Stratégie nationale de protection qui a été réactualisée cette année et qui est adossée au cycle de vie. « La protection sociale va prendre tous les paramètres, de la naissance jusqu’à la vieillesse », a-t-elle expliqué, avant d’exprimer l’engagement ferme du chef de l’Etat de lutter contre les inégalités sociales et de permettre à tous, de pouvoir bénéficier des fruits de la croissance économique et sociale du Sénégal
Concernant le retard accusé sur la tenue cette revue du secteur de protection sociale souligné par le représentant de la Banque mondiale, Sofie Naudeau, la ministre dégelée s’explique : « C’est juste parce que la stratégie nationale de protection a pris un certain temps et comme vous le savez, la protection sociale est très large et comme elle est horizontale et sectorielle. Au niveau de la société civile, il fallait exactement prendre des consultants pour faire ce travail de façon très claire, sans pour autant tromper la population, le chef de l’Etat. Et sortir un document de valeur qui nous permet de faire des avancées. »
A l’occasion de cet atelier initié depuis 2015, Anta Sarr Diacko en a profité pour informer que, lors du Conseil présidentiel, le président de la République a parlé de la loi d’orientation sur la protection sociale. Et selon elle, « ceci nous montre toujours la volonté politique permanente du chef de l’Etat mais aussi un engagement permanant et soutenu de tous les acteurs. Et c’est ce qui nous permet aujourd’hui, de faire des avancées très significatives ».
Cheikh Makhfou Diop
L’objectif lancé par le président de la République, c’est d’ici à 2035, la protection sociale va faire des avancées beaucoup plus marquées et va être ressentie par cette population vulnérable et pauvre de notre société.
« Nous avons signé une convention de partenariat pour toujours organiser et accompagner ces bénéficiaires de bourses de sécurité familiale. Et pour cela, nous sommes en train de chercher un package de services qui permette à ces vulnérables et aux familles démunies de pouvoir sortir rapidement de cette pauvreté », indique Mme Diacko, qui s'exprimait, ce matin, en marge d'un atelier sur la revue du secteur de la protection sociale.
A en croire ses propos, cette revue permet en même temps de parler de la Stratégie nationale de protection qui a été réactualisée cette année et qui est adossée au cycle de vie. « La protection sociale va prendre tous les paramètres, de la naissance jusqu’à la vieillesse », a-t-elle expliqué, avant d’exprimer l’engagement ferme du chef de l’Etat de lutter contre les inégalités sociales et de permettre à tous, de pouvoir bénéficier des fruits de la croissance économique et sociale du Sénégal
Concernant le retard accusé sur la tenue cette revue du secteur de protection sociale souligné par le représentant de la Banque mondiale, Sofie Naudeau, la ministre dégelée s’explique : « C’est juste parce que la stratégie nationale de protection a pris un certain temps et comme vous le savez, la protection sociale est très large et comme elle est horizontale et sectorielle. Au niveau de la société civile, il fallait exactement prendre des consultants pour faire ce travail de façon très claire, sans pour autant tromper la population, le chef de l’Etat. Et sortir un document de valeur qui nous permet de faire des avancées. »
A l’occasion de cet atelier initié depuis 2015, Anta Sarr Diacko en a profité pour informer que, lors du Conseil présidentiel, le président de la République a parlé de la loi d’orientation sur la protection sociale. Et selon elle, « ceci nous montre toujours la volonté politique permanente du chef de l’Etat mais aussi un engagement permanant et soutenu de tous les acteurs. Et c’est ce qui nous permet aujourd’hui, de faire des avancées très significatives ».
Cheikh Makhfou Diop