Le plus cocasse dans cette affaire, est que DakarActu a fourni toutes les pièces demandées et a coché toutes les cases de la plateforme mise en place pour répertorier les médias sénégalais (voir capture d'écran). La veille de la publication, mercredi, les noms et prénoms des journalistes de Dakaractu figuraient clairement sur la plateforme, tout comme leurs contrats enregistrés par les services de l'État. Pourtant, contre toute attente, ces informations ont été effacées avant la publication officielle.
Pionnier du paysage médiatique en ligne au Sénégal, Dakaractu s'est imposé comme une référence dans ce domaine, malgré les manœuvres de certains qui semblent obnubilés par l'idée de museler des médias qui dérangent. Dakaractu pliera, mais ne rompra pas.
En excluant DakarActu, le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique met en péril des dizaines d'emplois dans un secteur déjà précaire, où le métier de journaliste relève souvent du sacerdoce. Malgré les difficultés, des Sénégalais continuent d'investir dans ce domaine et se battent pour préserver la démocratie.
Dakaractu survivra à cette tempête. Nous ne demandons aucune faveur ni ne quémandons une quelconque reconnaissance. Cependant, nous exigeons le rétablissement de nos droits. Personne ne pourra nous empêcher d'exercer notre passion de manière légale. Face à cette situation, nous avons pris la décision difficile de fermer nos bureaux au Sénégal et de nous exiler provisoirement dans un pays où la liberté de la presse et la liberté d'entreprendre sont une réalité.
Pionnier du paysage médiatique en ligne au Sénégal, Dakaractu s'est imposé comme une référence dans ce domaine, malgré les manœuvres de certains qui semblent obnubilés par l'idée de museler des médias qui dérangent. Dakaractu pliera, mais ne rompra pas.
En excluant DakarActu, le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique met en péril des dizaines d'emplois dans un secteur déjà précaire, où le métier de journaliste relève souvent du sacerdoce. Malgré les difficultés, des Sénégalais continuent d'investir dans ce domaine et se battent pour préserver la démocratie.
Dakaractu survivra à cette tempête. Nous ne demandons aucune faveur ni ne quémandons une quelconque reconnaissance. Cependant, nous exigeons le rétablissement de nos droits. Personne ne pourra nous empêcher d'exercer notre passion de manière légale. Face à cette situation, nous avons pris la décision difficile de fermer nos bureaux au Sénégal et de nous exiler provisoirement dans un pays où la liberté de la presse et la liberté d'entreprendre sont une réalité.