Est-ce que vous n’êtes pas encore sous le coup de la défaite?
A.K.A : Possible ! Pourtant, nous n’avons nullement démérité. Contrairement aux autres, entièrement responsables de la mort de douze voire treize jeunes Sénégalais, nous avons toujours loyalement combattu. Avec vous, je ne veux être dans les remords du Président Macky Sall, ni dans ceux de ses compagnons politiques. Tous ont délibérément tué ! Pour le Pouvoir ! Le voilà, maintenant, à eux. Comme tous les autres Sénégalais, nous prions pour qu’ils en fassent le meilleur usage. Remords pour remords, qu’on s’en arrête là ! Et qu’on avance!
Soyez plus explicite…
A.K.A : Le président Macky Sall n’a encore aucun pouvoir. Sinon celui de l’exécutif !
Est-ce à dire que vous allez continuer à travers le Sénat, l’Assemblée nationale, à combattre ?
A.K.A : Quelle évidence!
Depuis votre retour au quotidien le Messager, cela remonte au mois d’août, vous avez été particulièrement dur envers le candidat Macky Sall devenu aujourd’hui Président du Sénégal. Pourtant, vous n’avez jamais été un militant du Parti démocratique sénégalais (Pds). Et ni Macky Sall, ni Abdoulaye Wade n’ont jamais rien fait pour vous. Pourquoi cette immixtion dans un combat qui, politiquement, ne vous regarde pas ?
A.K.A : ça me regarde. Je suis un citoyen sénégalais engagé. Et j’ai choisi d’être à la rescousse du Président Abdoulaye Wade. Le meilleur Président de la République que nous ayons jamais eu depuis notre indépendance. Il a fait mieux que feu Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf.
Continuerez-vous à écrire, à vous activer politiquement ?
A.K.A : Ecrire, chez moi, c’est sanguin. En politique, j’accompagnerai le Président Abdoulaye Wade jusqu’à ce qu’il me libère. Présentement, on a cap sur les législatives. Et nous y allons pour garder la mainmise sur l’Assemblée nationale et le Sénat.
Pourquoi ne pas aider l’actuel Président Macky Sall, surtout quand, dans le fond, rien ne vous oppose ?
A.K.A : Il n’est pas l’homme de la situation. Nous doutons encore de ses aptitudes managériales. Surtout pour ce qui concerne la gestion d’un Etat. Et puis, il y a ces ingérences des Occidentaux. Particulièrement les régimes politiques de Nicolas Sarkozy et Barack Hussein Obama et leurs satellites. Les plus occultes, les plus douteux. Aujourd’hui, oublieux de leurs petits souliers, Sarkozy et Obama s’ingénient à faire croire que nous leur devons notre démocratie. Ah ces nains tronqués de l’histoire de l’humanité ! Bientôt, il fera clair, il fera lumière sur ce monde. Puisse Dieu éclairer le Président Macky Sall, puisse Dieu éclairer le Sénégal !
Propos recueillis par Fatou Ndiaye
A.K.A : Possible ! Pourtant, nous n’avons nullement démérité. Contrairement aux autres, entièrement responsables de la mort de douze voire treize jeunes Sénégalais, nous avons toujours loyalement combattu. Avec vous, je ne veux être dans les remords du Président Macky Sall, ni dans ceux de ses compagnons politiques. Tous ont délibérément tué ! Pour le Pouvoir ! Le voilà, maintenant, à eux. Comme tous les autres Sénégalais, nous prions pour qu’ils en fassent le meilleur usage. Remords pour remords, qu’on s’en arrête là ! Et qu’on avance!
Soyez plus explicite…
A.K.A : Le président Macky Sall n’a encore aucun pouvoir. Sinon celui de l’exécutif !
Est-ce à dire que vous allez continuer à travers le Sénat, l’Assemblée nationale, à combattre ?
A.K.A : Quelle évidence!
Depuis votre retour au quotidien le Messager, cela remonte au mois d’août, vous avez été particulièrement dur envers le candidat Macky Sall devenu aujourd’hui Président du Sénégal. Pourtant, vous n’avez jamais été un militant du Parti démocratique sénégalais (Pds). Et ni Macky Sall, ni Abdoulaye Wade n’ont jamais rien fait pour vous. Pourquoi cette immixtion dans un combat qui, politiquement, ne vous regarde pas ?
A.K.A : ça me regarde. Je suis un citoyen sénégalais engagé. Et j’ai choisi d’être à la rescousse du Président Abdoulaye Wade. Le meilleur Président de la République que nous ayons jamais eu depuis notre indépendance. Il a fait mieux que feu Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf.
Continuerez-vous à écrire, à vous activer politiquement ?
A.K.A : Ecrire, chez moi, c’est sanguin. En politique, j’accompagnerai le Président Abdoulaye Wade jusqu’à ce qu’il me libère. Présentement, on a cap sur les législatives. Et nous y allons pour garder la mainmise sur l’Assemblée nationale et le Sénat.
Pourquoi ne pas aider l’actuel Président Macky Sall, surtout quand, dans le fond, rien ne vous oppose ?
A.K.A : Il n’est pas l’homme de la situation. Nous doutons encore de ses aptitudes managériales. Surtout pour ce qui concerne la gestion d’un Etat. Et puis, il y a ces ingérences des Occidentaux. Particulièrement les régimes politiques de Nicolas Sarkozy et Barack Hussein Obama et leurs satellites. Les plus occultes, les plus douteux. Aujourd’hui, oublieux de leurs petits souliers, Sarkozy et Obama s’ingénient à faire croire que nous leur devons notre démocratie. Ah ces nains tronqués de l’histoire de l’humanité ! Bientôt, il fera clair, il fera lumière sur ce monde. Puisse Dieu éclairer le Président Macky Sall, puisse Dieu éclairer le Sénégal !
Propos recueillis par Fatou Ndiaye