Si vous faîtes partie des femmes qui ont programmé leur grossesse, ce moment-là sera une grande joie. Mais, cette nouvelle vous prend au dépourvu, vous ressentirez peut-être un sentiment de refus, voire de panique face à ce bouleversement inattendu dans votre vie.
Dès le départ, une psychologie particulière s’installe chez la plupart des femmes enceintes. D’abord les transformations liées à la grossesse sont subies par l’organisme, puis la présence chaque jour plus manifeste de cette vie nouvelle qui se développe, font évoluer le mental de la femme.
Le doute du premier trimestre.
Le premier trimestre est une période d’incertitude et d’adaptation, qui se traduit généralement par une ambiguïté des sentiments où se mêlent la joie et la crainte :
• Une sensation étrange qu’éprouve une femme placée dans cette situation alors que rien en apparence n’a encore changé : elle sait qu’elle attend un enfant, mais elle ne le sent pas encore vivre en elle et son corps ne présente pas extérieurement de modifications sensibles, sinon un léger gonflement des seins.
• Un sentiment de crainte : cette vie qui s’installe discrètement en elle soulève déjà quelques interrogations. L’enfant sera-t-il normal ? de nombreuses femmes savent, en effet, que les avortements spontanés se produisent essentiellement au cours du premier trimestre.
Sur le plan physique, les trois premiers mois et particulièrement les premières semaines de la grossesse sont caractérisés par une série de troubles qui varient en intensité d’une femme à une autre, et qui sont liés aux transformations qui s’opèrent au sein de l’organisme maternel.
Le deuxième trimestre, source d’épanouissement.
Au premier trimestre, l’échographie renvoie à la future mère l’image de l’embryon qu’elle porte, mais ce n’est pas lorsqu’elle percevra les premiers mouvements de son enfant. Elle le ressent réellement vivre en elle au deuxième trimestre. À ce moment là, le désir de maternité devient plus intense et il n’est pas rare de voir une femme qui avait mal vécu l’annonce de sa grossesse devenir alors très maternelle.
Au cours du deuxième trimestre, le corps de la femme enceinte s’épanouit : en effet, c’est vers quatre ou cinq mois que la grossesse commence à se voir. Les risques de complication se minimisent. Elles disent « Adieux » très souvent, aux malaises du premier trimestre : la salivation exagérée, les nausées. L’organisme s’est adapté à ses nouvelles fonctions : l’appétit revient.
L’impatience du troisième trimestre.
Au troisième trimestre, on remarque que :
• L’enfant bouge de plus en plus dans le ventre de sa mère, qui progressivement concentre sur lui toute son attention. Ses sujets de conversation tournent généralement autour de lui : elle en parle comme s’il était né, lui attribuant déjà certains traits de caractère ;
• L’utérus atteint son volume maximal à quelques semaines de l’accouchement
• La pression du bébé sur le diaphragme gêne la respiration de la future mère et ses déplacements deviennent de plus en plus fatigants et son sommeil est très pertubé.
• La femme se concentre essentiellement sur les préparatifs liés à la naissance de son enfant et elle attend avec impatience le jour de l’accouchement.
Lili.ISCAYE
noiraufeminin.com
Dès le départ, une psychologie particulière s’installe chez la plupart des femmes enceintes. D’abord les transformations liées à la grossesse sont subies par l’organisme, puis la présence chaque jour plus manifeste de cette vie nouvelle qui se développe, font évoluer le mental de la femme.
Le doute du premier trimestre.
Le premier trimestre est une période d’incertitude et d’adaptation, qui se traduit généralement par une ambiguïté des sentiments où se mêlent la joie et la crainte :
• Une sensation étrange qu’éprouve une femme placée dans cette situation alors que rien en apparence n’a encore changé : elle sait qu’elle attend un enfant, mais elle ne le sent pas encore vivre en elle et son corps ne présente pas extérieurement de modifications sensibles, sinon un léger gonflement des seins.
• Un sentiment de crainte : cette vie qui s’installe discrètement en elle soulève déjà quelques interrogations. L’enfant sera-t-il normal ? de nombreuses femmes savent, en effet, que les avortements spontanés se produisent essentiellement au cours du premier trimestre.
Sur le plan physique, les trois premiers mois et particulièrement les premières semaines de la grossesse sont caractérisés par une série de troubles qui varient en intensité d’une femme à une autre, et qui sont liés aux transformations qui s’opèrent au sein de l’organisme maternel.
Le deuxième trimestre, source d’épanouissement.
Au premier trimestre, l’échographie renvoie à la future mère l’image de l’embryon qu’elle porte, mais ce n’est pas lorsqu’elle percevra les premiers mouvements de son enfant. Elle le ressent réellement vivre en elle au deuxième trimestre. À ce moment là, le désir de maternité devient plus intense et il n’est pas rare de voir une femme qui avait mal vécu l’annonce de sa grossesse devenir alors très maternelle.
Au cours du deuxième trimestre, le corps de la femme enceinte s’épanouit : en effet, c’est vers quatre ou cinq mois que la grossesse commence à se voir. Les risques de complication se minimisent. Elles disent « Adieux » très souvent, aux malaises du premier trimestre : la salivation exagérée, les nausées. L’organisme s’est adapté à ses nouvelles fonctions : l’appétit revient.
L’impatience du troisième trimestre.
Au troisième trimestre, on remarque que :
• L’enfant bouge de plus en plus dans le ventre de sa mère, qui progressivement concentre sur lui toute son attention. Ses sujets de conversation tournent généralement autour de lui : elle en parle comme s’il était né, lui attribuant déjà certains traits de caractère ;
• L’utérus atteint son volume maximal à quelques semaines de l’accouchement
• La pression du bébé sur le diaphragme gêne la respiration de la future mère et ses déplacements deviennent de plus en plus fatigants et son sommeil est très pertubé.
• La femme se concentre essentiellement sur les préparatifs liés à la naissance de son enfant et elle attend avec impatience le jour de l’accouchement.
Lili.ISCAYE
noiraufeminin.com