Car on l'a dit et répété : la première Dame n'a aucun statut et il incombe donc à chacune d'entre elles de trouver sa place et de définir son style. Si Valérie Trierweiler a déclaré qu'elle ne se contenterait pas d'un rôle de "potiche", cette femme libre a secoué la République par son soutien à Olivier Falorni (alors que le Président soutenait officiellement Ségolène Royal). Interprétée par beaucoup comme une incartade de la sphère privée dans la sphère publique et politique cette prise de position a également été vue par certains comme le signe d'une jalousie incontrôlable. Ils ont été peu nombreux à la défendre et, si Cécilia Attias, ex-Sarkozy, n'ira pas jusque là, elle ne se permettra pas non plus de juger la compagne de François Hollande car elle a elle aussi connu des débuts difficiles à l'Elysée.
Interviewée par le magazine du Monde, elle déclare : "Je me suis fait assez démolir comme ça pour de toutes petites choses. La première dame, on lui prête beaucoup, c'est un rôle ambigu, il faut savoir raison garder. (…) Quand on est dans cette position, soit on prend le tout, soit on ne prend pas !" Voilà une nouvelle adepte de la réserve !
Interviewée par le magazine du Monde, elle déclare : "Je me suis fait assez démolir comme ça pour de toutes petites choses. La première dame, on lui prête beaucoup, c'est un rôle ambigu, il faut savoir raison garder. (…) Quand on est dans cette position, soit on prend le tout, soit on ne prend pas !" Voilà une nouvelle adepte de la réserve !